Jongler, marcher avec des échasses, chanter, faire le clown : c’est l’idée lancée il y a plus de 10 ans par David Mason, un professeur de danse danois. C’est ainsi qu’un mini-cirque mobile a vu le jour. Malgré les dangers, il sillonne le pays et se rend dans des camps de déplacés, des écoles, et des orphelinats. Au programme : spectacles mais aussi une école du cirque pour les enfants.
Le projet est devenu si populaire qu’il existe aujourd’hui des centres de formation dans dix provinces. Et des centaines de jeunes apprennent l’art du cirque. Objectif : redonner le sourire aux enfants.
“Je propose aux enfants d’apprendre des numéros de cirques et je leur dit d’ignorer la guerre explique une des membres du cirque. Le cirque est un art joyeux et je suis persuadée qu’en faisant des numéros, les enfants oublieront toute la peine et la panique liée à la guerre.”
Tout comme la musique, le cirque aurait été interdit et qualifié d’hérétique par les talibans. Les fondamentalistes avait aus
Le projet est devenu si populaire qu’il existe aujourd’hui des centres de formation dans dix provinces. Et des centaines de jeunes apprennent l’art du cirque. Objectif : redonner le sourire aux enfants.
“Je propose aux enfants d’apprendre des numéros de cirques et je leur dit d’ignorer la guerre explique une des membres du cirque. Le cirque est un art joyeux et je suis persuadée qu’en faisant des numéros, les enfants oublieront toute la peine et la panique liée à la guerre.”
Tout comme la musique, le cirque aurait été interdit et qualifié d’hérétique par les talibans. Les fondamentalistes avait aus
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