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François de Closets regrette qu'il faille sans cesse rassurer les français en leur proposant, pour leurs enfants, des choses "un peu réac'", telles la dictée quotidienne, relancée vendredi dernier par la ministre de l'éducation national, de l'enseignement supérieur et de la recherche, Najat Vallaud Belkacem, dans une tribune au Monde.
Si selon selon l'écrivain, la dictée est évidemment nécessaire, elle n'est pas suffisante. En effet se pose aussi la nécessité d'apprendre aux enfants à écrire leur langue comme ils l'écriront dans le futur, c'est-à-dire en s'adaptant à la nouvelle écriture du XXIè siècle, et en investissant d'avantage sur le numérique, en commençant par d'avantage équiper les écoles. L'apprentissage par la dictée classique, tout nécessaire qu'il est ses yeux, ne serait en vérité qu'une première étape, qui devrait être idéalement prolongée, au lycée, par une seconde étape, qui aurait lieu au lycée, où les élèves apprendraient à écrire sur ordinateur, en utilisant toutes ressources proposées par l'informatique.
François de Closets, écrivain et journaliste
Edwige Antier, pédiatre
Martine Estelle Pech, journaliste spécialiste éducation au Figaro
Retrouvez "Il n'y en a pas deux comme Elle" sur : http://www.europe1.fr/emissions/il-n-y-en-a-pas-deux-comme-elle
LE DIRECT : http://www.europe1.fr/direct-video
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François de Closets regrette qu'il faille sans cesse rassurer les français en leur proposant, pour leurs enfants, des choses "un peu réac'", telles la dictée quotidienne, relancée vendredi dernier par la ministre de l'éducation national, de l'enseignement supérieur et de la recherche, Najat Vallaud Belkacem, dans une tribune au Monde.
Si selon selon l'écrivain, la dictée est évidemment nécessaire, elle n'est pas suffisante. En effet se pose aussi la nécessité d'apprendre aux enfants à écrire leur langue comme ils l'écriront dans le futur, c'est-à-dire en s'adaptant à la nouvelle écriture du XXIè siècle, et en investissant d'avantage sur le numérique, en commençant par d'avantage équiper les écoles. L'apprentissage par la dictée classique, tout nécessaire qu'il est ses yeux, ne serait en vérité qu'une première étape, qui devrait être idéalement prolongée, au lycée, par une seconde étape, qui aurait lieu au lycée, où les élèves apprendraient à écrire sur ordinateur, en utilisant toutes ressources proposées par l'informatique.
François de Closets, écrivain et journaliste
Edwige Antier, pédiatre
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