Grosse ambiance, samedi, à Cardiff pour le Quart de finale de la Coupe du Monde de rugby opposant les Français aux All Blacks néo-zélandais. Face au haka des All Black, la France semblait déjà avoir perdu.
La question était sur les lèvres de tout fan de rugby qui se respecte, depuis quelques jours: quelle réponse allait donner le XV de France au toujours aussi impressionnant "Haka" des All Blacks. À Cardiff, samedi soir, la réponse s'est vite fait connaître: les Bleus...n'ont rien tenté.
Il faut dire que devant eux, dans ce match, cette guerre de nerf avait commencé avant même que le coup d'envoi soit donné, les All Blacks se sont montrés impressionnants, voire même effrayants. Face aux "Bleus" tous alignés, soudés et se prenant par les épaules, le "Kapa o Pango" (la dernière version du Haka) pyramidal effectué par les hommes de Richie Mc Caw était puissant et surhumain. De quoi créer la liesse du public massif et rendre la France fébrile. Une bande de petits gamins face à de grands méchants ogres leur tirant la langu et avides de victoire.
Une fois ce préambule gagné, facilement et sans résistance, les Néo-Zélandais ont déroulé un jeu propre et brut, massif, qui n'a laissé aucun espoir aux Bleus. Le score en témoigne: un très sec 62-13. Et face à une si faible adversité, déjà résignée?, les All Blacks ont fait ce qu'ils voulaient.
La question était sur les lèvres de tout fan de rugby qui se respecte, depuis quelques jours: quelle réponse allait donner le XV de France au toujours aussi impressionnant "Haka" des All Blacks. À Cardiff, samedi soir, la réponse s'est vite fait connaître: les Bleus...n'ont rien tenté.
Il faut dire que devant eux, dans ce match, cette guerre de nerf avait commencé avant même que le coup d'envoi soit donné, les All Blacks se sont montrés impressionnants, voire même effrayants. Face aux "Bleus" tous alignés, soudés et se prenant par les épaules, le "Kapa o Pango" (la dernière version du Haka) pyramidal effectué par les hommes de Richie Mc Caw était puissant et surhumain. De quoi créer la liesse du public massif et rendre la France fébrile. Une bande de petits gamins face à de grands méchants ogres leur tirant la langu et avides de victoire.
Une fois ce préambule gagné, facilement et sans résistance, les Néo-Zélandais ont déroulé un jeu propre et brut, massif, qui n'a laissé aucun espoir aux Bleus. Le score en témoigne: un très sec 62-13. Et face à une si faible adversité, déjà résignée?, les All Blacks ont fait ce qu'ils voulaient.
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