ON PEUT TOUT COUPER EN DEUX
"PANTIN PANTINE" d’Allain LEPREST et Romain DIDIER
« Histoire chantée en vrai pour les P’tits pas si p’tits »
Un petit garçon, Pantin, mi-ange, mi-diablotin, transforme par son absence la vie de ceux qui l’ont connue. Pantin partageait toujours ce qu’il avait : ses carambars, ses sandwichs, son vélo, son cœur, ses émotions et son petit coin de ciel bleu. Un matin de pluie, il disparaît dans un accident de vélo.
Toute la cour de l’école se rassemble autour de son vélo cassé : les camarades de sa bande « les p’tits pantins » mais aussi ceux de la bande rivale « les corbeaux ».
Les premiers, forts du souvenir de leur copain disparu, vont tenter d’amener « les corbeaux » à de beaux sentiments et les convaincre de partager avec eux les valeurs d’amitié et de solidarité que représentait leur copain Pantin. C’est pas gagné, mais c’est pas perdu !…
Les plus belles fables pour les enfants sont éternellement celles qui touchent les grands. C’est un spectacle qui s’ouvre sur la mort mais c’est pour mieux danser dessus et faire une fête de la vie.
« Les enfants ne sont pas des sous-adultes. Dans la vie courante, nos problèmes, ils les prennent en compte. La mort, ça existe ! L’indifférence et l’interdit aussi !
Alors pourquoi leur représenter autrement les choses, enjoliver les explications ? Ca existe et ils sont obligés de vivre avec tous les jours…
L’idée d’écrire une fable sans concession au niveau du langage, c’est que s’ils ne comprennent pas, ils iront demander à leurs parents ou à leurs professeurs… »
(Romain Didier)
« On peut tout couper en deux,
Son lit, son oreiller bleu,
Son carambar, son sandwich,
Même un nuage, on s’en fiche !
La vie c’est moitié-moitié,
On peut tout éparpiller !
Y’a qu’l’amour et l’amitié,
Qu’on ne peut pas couper... »
(Allain Leprest - PANTIN PANTINE)
« Histoire chantée en vrai pour les P’tits pas si p’tits »
Un petit garçon, Pantin, mi-ange, mi-diablotin, transforme par son absence la vie de ceux qui l’ont connue. Pantin partageait toujours ce qu’il avait : ses carambars, ses sandwichs, son vélo, son cœur, ses émotions et son petit coin de ciel bleu. Un matin de pluie, il disparaît dans un accident de vélo.
Toute la cour de l’école se rassemble autour de son vélo cassé : les camarades de sa bande « les p’tits pantins » mais aussi ceux de la bande rivale « les corbeaux ».
Les premiers, forts du souvenir de leur copain disparu, vont tenter d’amener « les corbeaux » à de beaux sentiments et les convaincre de partager avec eux les valeurs d’amitié et de solidarité que représentait leur copain Pantin. C’est pas gagné, mais c’est pas perdu !…
Les plus belles fables pour les enfants sont éternellement celles qui touchent les grands. C’est un spectacle qui s’ouvre sur la mort mais c’est pour mieux danser dessus et faire une fête de la vie.
« Les enfants ne sont pas des sous-adultes. Dans la vie courante, nos problèmes, ils les prennent en compte. La mort, ça existe ! L’indifférence et l’interdit aussi !
Alors pourquoi leur représenter autrement les choses, enjoliver les explications ? Ca existe et ils sont obligés de vivre avec tous les jours…
L’idée d’écrire une fable sans concession au niveau du langage, c’est que s’ils ne comprennent pas, ils iront demander à leurs parents ou à leurs professeurs… »
(Romain Didier)
« On peut tout couper en deux,
Son lit, son oreiller bleu,
Son carambar, son sandwich,
Même un nuage, on s’en fiche !
La vie c’est moitié-moitié,
On peut tout éparpiller !
Y’a qu’l’amour et l’amitié,
Qu’on ne peut pas couper... »
(Allain Leprest - PANTIN PANTINE)
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