Immigration : "Défendons le statut de la femme !"
A l'occasion des Questions au Gouvernement de ce mercredi 10 février j'ai souhaité interpeller le 1er Ministre sur la situation dramatique dans laquelle se trouve certaines femmes dans les camps de migrants.
"Monsieur le 1er ministre,
Vous le savez, à Grande Synthe et à Calais, la situation est de plus en plus préoccupante.
Sur les six-mille personnes qui vivent actuellement dans ces camps, il y a environ 10% de femmes, âgées de 20 à 30 ans.
Gynécologue Sans Frontières nous alarme sur leur situation. Plusieurs d’entre-elles, disent-ils, subissent agressions sexuelles, viols et même prostitution !
D’après les témoignages recueillis, si certaines femmes sont enceintes volontairement, nombre d’entre elles souhaitent avorter de l’enfant, fruit d’un viol parfois collectif, pendant la traversée ou sur le camp.
Alors que nous pouvons nous louer de la fraternité des Européens dont les Français pour l’accueil et la prise en charge de ces personnes, force est de constater qu’un grand nombre de migrants ne partagent pas notre conception du droit des femmes.
Le 13 janvier, je vous interpellais au sujet de violences faites aux femmes à la fois à Cologne et dans ces camps de migrants. Le 27 janvier, ma collègue Marie-Jo Zimmermann vous interrogeait de même.
Comme vous, nous sommes préoccupés par la cause des femmes, nos questions demeurent aujourd’hui sans réponse !
J’ai trois questions précises :
1°) Pourquoi ces migrants sont majoritairement des hommes ?
Alors que nos ascendants sont restés en France pour combattre le nazisme, pourquoi des jeunes hommes en capacité de se battre qui composent la majorité des immigrés, clandestins ou réfugiés nul ne le sait, quittent leur pays au lieu de lutter pour leur liberté et la liberté de leur famille ?
2°) Pouvez-vous nous dire s’il y a en France des plaintes identiques à celles de Cologne ou si il s’agit de simples rumeurs ?
3°) Enfin, quelles actions concrètes comptez-vous mettre en place pour toutes ces femmes ?
Il y a le symbole et le concret : pour notre pays, défendre le statut de la femme, est un message fort d’unité nationale envoyé à l’Etat Islamique qui les réduit en esclavage.
Alors que nous débattons actuellement de la loi sur la protection de la nation, la liberté, l’égalité et la fraternité doivent concerner tous les citoyens, y compris les femmes.
Pas d’omerta sur ces questions ! Merci de mettre fin au silence ! Ne lâchons rien et agissons concrètement !"
"Monsieur le 1er ministre,
Vous le savez, à Grande Synthe et à Calais, la situation est de plus en plus préoccupante.
Sur les six-mille personnes qui vivent actuellement dans ces camps, il y a environ 10% de femmes, âgées de 20 à 30 ans.
Gynécologue Sans Frontières nous alarme sur leur situation. Plusieurs d’entre-elles, disent-ils, subissent agressions sexuelles, viols et même prostitution !
D’après les témoignages recueillis, si certaines femmes sont enceintes volontairement, nombre d’entre elles souhaitent avorter de l’enfant, fruit d’un viol parfois collectif, pendant la traversée ou sur le camp.
Alors que nous pouvons nous louer de la fraternité des Européens dont les Français pour l’accueil et la prise en charge de ces personnes, force est de constater qu’un grand nombre de migrants ne partagent pas notre conception du droit des femmes.
Le 13 janvier, je vous interpellais au sujet de violences faites aux femmes à la fois à Cologne et dans ces camps de migrants. Le 27 janvier, ma collègue Marie-Jo Zimmermann vous interrogeait de même.
Comme vous, nous sommes préoccupés par la cause des femmes, nos questions demeurent aujourd’hui sans réponse !
J’ai trois questions précises :
1°) Pourquoi ces migrants sont majoritairement des hommes ?
Alors que nos ascendants sont restés en France pour combattre le nazisme, pourquoi des jeunes hommes en capacité de se battre qui composent la majorité des immigrés, clandestins ou réfugiés nul ne le sait, quittent leur pays au lieu de lutter pour leur liberté et la liberté de leur famille ?
2°) Pouvez-vous nous dire s’il y a en France des plaintes identiques à celles de Cologne ou si il s’agit de simples rumeurs ?
3°) Enfin, quelles actions concrètes comptez-vous mettre en place pour toutes ces femmes ?
Il y a le symbole et le concret : pour notre pays, défendre le statut de la femme, est un message fort d’unité nationale envoyé à l’Etat Islamique qui les réduit en esclavage.
Alors que nous débattons actuellement de la loi sur la protection de la nation, la liberté, l’égalité et la fraternité doivent concerner tous les citoyens, y compris les femmes.
Pas d’omerta sur ces questions ! Merci de mettre fin au silence ! Ne lâchons rien et agissons concrètement !"
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