Lutte contre la marchandisation du corps : "J'avais un espoir !"
Comme des milliers de Français, j’avais, aujourd’hui, un espoir dans le cadre de ma proposition de loi contre les mères porteuses, que j’ai défendue cet après-midi.
Au sein de l’hémicycle, j’avais l’espoir d’une Gauche prête à débattre.
J’avais l’espoir d’une majorité, à mes côtés, prête à lutter contre cette marchandisation des corps.
J’avais l’espoir que les députés, réaffirme notre vision française de l’éthique qui se refuse à réduire l’être humain à un objet, le privant de son humanité.
Mais en vain…
A l’image du Premier Ministre, la Gauche, a dit aux Français, la main sur le cœur « nous sommes contre la GPA ! » et comme l’a rappelé Manuel Valls, le 02 octobre 2014 : « il ne faut pas normaliser la GPA. Il faut rappeler la responsabilité de tous les Etats dans la lutte contre la commercialisation des corps. A la demande du Président de la République, le Ministre des Affaires Étrangères prendra, dans les semaines à venir des initiatives pour trouver le cadre approprié. ».
Un an et demi après ces propos, ils ont apparemment trouvé le cadre approprié : la passivité !
D’un côté, cette Gauche dit que le dispositif que je propose et inutile et de l’autre elle reconnait que certains Français ont recours à la GPA à l’étranger.
Elle dit que notre droit est suffisant mais souhaite quand même un cadre international, comme je le propose.
A un an des élections législatives, à l’heure où les Français, demandent des représentants sincères, transparents et qui ont des convictions, la majorité fait une nouvelle fois le choix de la posture politicienne !
En effet, après l’échec de leur motion de rejet, le Gouvernement demande la réserve des votes, faute de majorité.
Ce 16 juin 2016, les masques sont tombés. La Gauche affaiblie, piétine une nouvelle fois la démocratie et ne souhaite pas s’opposer à la marchandisation des corps.
Au sein de l’hémicycle, j’avais l’espoir d’une Gauche prête à débattre.
J’avais l’espoir d’une majorité, à mes côtés, prête à lutter contre cette marchandisation des corps.
J’avais l’espoir que les députés, réaffirme notre vision française de l’éthique qui se refuse à réduire l’être humain à un objet, le privant de son humanité.
Mais en vain…
A l’image du Premier Ministre, la Gauche, a dit aux Français, la main sur le cœur « nous sommes contre la GPA ! » et comme l’a rappelé Manuel Valls, le 02 octobre 2014 : « il ne faut pas normaliser la GPA. Il faut rappeler la responsabilité de tous les Etats dans la lutte contre la commercialisation des corps. A la demande du Président de la République, le Ministre des Affaires Étrangères prendra, dans les semaines à venir des initiatives pour trouver le cadre approprié. ».
Un an et demi après ces propos, ils ont apparemment trouvé le cadre approprié : la passivité !
D’un côté, cette Gauche dit que le dispositif que je propose et inutile et de l’autre elle reconnait que certains Français ont recours à la GPA à l’étranger.
Elle dit que notre droit est suffisant mais souhaite quand même un cadre international, comme je le propose.
A un an des élections législatives, à l’heure où les Français, demandent des représentants sincères, transparents et qui ont des convictions, la majorité fait une nouvelle fois le choix de la posture politicienne !
En effet, après l’échec de leur motion de rejet, le Gouvernement demande la réserve des votes, faute de majorité.
Ce 16 juin 2016, les masques sont tombés. La Gauche affaiblie, piétine une nouvelle fois la démocratie et ne souhaite pas s’opposer à la marchandisation des corps.
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