Ma proposition de loi visant à lutter contre le recours à une mère porteuse forme un tout avec la proposition de loi constitutionnelle de Philippe Gosselin.
Comme cette dernière, elle devrait nous rassembler au-delà des clivages partisans. Elle concerne en effet le respect de principes et valeurs que nous avons en partage : la dignité de la personne, l’indisponibilité du corps humain face aux tentatives d’aliénation et de marchandisation, la protection des femmes contre toute forme d’exploitation et la préservation de l’intérêt supérieur de l’enfant, qui passe par le fait de ne pas être cédé comme une vulgaire marchandise.
Je veux remercier d’ailleurs, l’ensemble de mes collègues qui m’ont soutenu dans ce travail : François FILLON, Dino CINIERI, Guy TEISSIER, Yannick MOREAU, Véronique LOUWAGIE, Claudine SCHMID et bien d’autres…
Lorsqu’il s’agit de « dumping éthique » ou de traite d’êtres humains, il nous appartient à nous, législateur d’être ferme !
Oui, nous parlons bien de respect de dignité humaine.
Si nous sommes engagés dans la vie publique, ce n’est pas pour prendre des postures mais pour défendre des convictions.
Sous l’impulsion de François Mitterrand, nous avons un droit original de la bioéthique. L’exception française qu’est l’existence d’un Comité national d’éthique devrait servir d’exemple aux autres pays.
Je vous annonce d’ailleurs une très mauvaise nouvelle qui nous oblige à agir. Le Conseil de l’Europe va examiner dès lundi le « nouveau projet de rapport sur la gestation pour autrui » présenté par la sénatrice belge Petra De Sutter.
La marchandisation du corps avance, nous nous devons de résister !
L’histoire nous oblige, notre héritage nous oblige : c’est un rendez-vous que nous ne devons pas manquer…
Rappelons-nous les mots de notre ancien et regretté collègue, Lacordaire : « Entre le fort et le faible [...], c’est la liberté qui opprime, et la loi qui affranchit. »
C’est tout le sens du travail que nous effectuons aujourd’hui sur la maternité de substitution.
Retrouvez mon intervention.
Comme cette dernière, elle devrait nous rassembler au-delà des clivages partisans. Elle concerne en effet le respect de principes et valeurs que nous avons en partage : la dignité de la personne, l’indisponibilité du corps humain face aux tentatives d’aliénation et de marchandisation, la protection des femmes contre toute forme d’exploitation et la préservation de l’intérêt supérieur de l’enfant, qui passe par le fait de ne pas être cédé comme une vulgaire marchandise.
Je veux remercier d’ailleurs, l’ensemble de mes collègues qui m’ont soutenu dans ce travail : François FILLON, Dino CINIERI, Guy TEISSIER, Yannick MOREAU, Véronique LOUWAGIE, Claudine SCHMID et bien d’autres…
Lorsqu’il s’agit de « dumping éthique » ou de traite d’êtres humains, il nous appartient à nous, législateur d’être ferme !
Oui, nous parlons bien de respect de dignité humaine.
Si nous sommes engagés dans la vie publique, ce n’est pas pour prendre des postures mais pour défendre des convictions.
Sous l’impulsion de François Mitterrand, nous avons un droit original de la bioéthique. L’exception française qu’est l’existence d’un Comité national d’éthique devrait servir d’exemple aux autres pays.
Je vous annonce d’ailleurs une très mauvaise nouvelle qui nous oblige à agir. Le Conseil de l’Europe va examiner dès lundi le « nouveau projet de rapport sur la gestation pour autrui » présenté par la sénatrice belge Petra De Sutter.
La marchandisation du corps avance, nous nous devons de résister !
L’histoire nous oblige, notre héritage nous oblige : c’est un rendez-vous que nous ne devons pas manquer…
Rappelons-nous les mots de notre ancien et regretté collègue, Lacordaire : « Entre le fort et le faible [...], c’est la liberté qui opprime, et la loi qui affranchit. »
C’est tout le sens du travail que nous effectuons aujourd’hui sur la maternité de substitution.
Retrouvez mon intervention.
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