Ce matin-là, son téléphone ne cesse de vibrer. Bruno Julliard vient de signer la tribune «Trop c'est trop !» aux côtés de Martine Aubry à l’encontre de la proposition de loi travail El Khomri. Dans ses bureaux de l’Hôtel de Ville, ce membre de l’aile gauche du PS ne mâche pas ses mots au sujet des réformes du gouvernement.
Son visage est forcément le plus familier, son parcours aussi. Bruno Julliard, président de l’UNEF en 2006, a beau expliquer qu’il n’avait que très peu d’expérience lors de la crise du CPE, il reste pour beaucoup la figure de cette mobilisation. Repéré par les cadres du PS, l’étudiant en droit public est petit à petit propulsé dans la cour des grands et finit par être nommé premier adjoint à la mairie de Paris en 2014. Il est le seul à avoir percé en politique après la crise du CPE.
Son visage est forcément le plus familier, son parcours aussi. Bruno Julliard, président de l’UNEF en 2006, a beau expliquer qu’il n’avait que très peu d’expérience lors de la crise du CPE, il reste pour beaucoup la figure de cette mobilisation. Repéré par les cadres du PS, l’étudiant en droit public est petit à petit propulsé dans la cour des grands et finit par être nommé premier adjoint à la mairie de Paris en 2014. Il est le seul à avoir percé en politique après la crise du CPE.
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