Une grande partie de la population de l’Etat de Borno est privée de moyens de subsistance à cause du conflit entre l’armée nigériane et Boko Haram. Même dans Maiduguri, la capitale de l’Etat aujourd’hui épargnée par les combats, la nourriture est difficilement accessible.
Environ 340 familles vivent dans le site de déplacés de Goni Kachallari, après avoir dû fuir leur village. La plupart des déplacés n’ont rien pour survivre. Et dans la ville, les prix des aliments de base ont explosé. L’insécurité sur les routes rend difficile le commerce avec les pays voisins. Les producteurs locaux sont eux aussi touchés par la violence.
Depuis le début de leur intervention dans l’état de Borno, les équipes MSF constatent des taux de malnutrition alarmants. Premières victimes, les enfants de moins de cinq ans, les plus vulnérables. Mais, plus inhabituel, des enfants plus âgés, et même des adolescents, sont aussi touchés, et soignés dans les centres de nutrition thérapeutique.
Environ 340 familles vivent dans le site de déplacés de Goni Kachallari, après avoir dû fuir leur village. La plupart des déplacés n’ont rien pour survivre. Et dans la ville, les prix des aliments de base ont explosé. L’insécurité sur les routes rend difficile le commerce avec les pays voisins. Les producteurs locaux sont eux aussi touchés par la violence.
Depuis le début de leur intervention dans l’état de Borno, les équipes MSF constatent des taux de malnutrition alarmants. Premières victimes, les enfants de moins de cinq ans, les plus vulnérables. Mais, plus inhabituel, des enfants plus âgés, et même des adolescents, sont aussi touchés, et soignés dans les centres de nutrition thérapeutique.
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