Des navires restés à quai, symbole d’une Grèce partiellement paralysée ce jeudi par une grève générale de 24 heures, initiée par les principaux syndicats du public et du privé. Le mouvement a impacté le trafic maritime et ferroviaire, les transports en commun, les services publics ou encore les banques.
À Athènes, quelque 15.000 personnes ont défilé pour protester contre la poursuite de l’austérité réclamée par les créanciers du pays, UE-FMI. Parmi les mesures, figurent une révision du droit du travail, davantage de privatisations et de nouvelles taxes et hausses d’impôts. Pour ces Grecs, trop, c’est trop :
“Il y a un sentiment de déprime dans presque toutes les familles. Il y a d‘énormes difficultés, non seulement économiques, mais aussi dans la sphère sociale”, explique cette manifestante.
“Nos pensions de retraites ont été amputées d’au moins 40%. Les gens n’ont pas assez d’argent pour payer davantage de taxes. Ils ont travaillé dur et cotisé énormément, dit ce retraité grec.
Notre correspondant à Athènes, Stamatis Giannisis : “La possibilité d’une révision de l’accord entre le gouvernement et les bailleurs de fonds du pays, qui doit probablement conduire à davantage d’austérité, a alarmé les syndicats des travailleurs grecs, qui redoutent davantage de coupes dans les salaires et les pensions de retraite.”
Avec AFP
À Athènes, quelque 15.000 personnes ont défilé pour protester contre la poursuite de l’austérité réclamée par les créanciers du pays, UE-FMI. Parmi les mesures, figurent une révision du droit du travail, davantage de privatisations et de nouvelles taxes et hausses d’impôts. Pour ces Grecs, trop, c’est trop :
“Il y a un sentiment de déprime dans presque toutes les familles. Il y a d‘énormes difficultés, non seulement économiques, mais aussi dans la sphère sociale”, explique cette manifestante.
“Nos pensions de retraites ont été amputées d’au moins 40%. Les gens n’ont pas assez d’argent pour payer davantage de taxes. Ils ont travaillé dur et cotisé énormément, dit ce retraité grec.
Notre correspondant à Athènes, Stamatis Giannisis : “La possibilité d’une révision de l’accord entre le gouvernement et les bailleurs de fonds du pays, qui doit probablement conduire à davantage d’austérité, a alarmé les syndicats des travailleurs grecs, qui redoutent davantage de coupes dans les salaires et les pensions de retraite.”
Avec AFP
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