Mort, il revient à la vie !
Voici l'histoire de Frank Breido, un Allemand d'Osnabrück qui est mort quelques courts instants d'une leucémie en 1992 et peu après est sorti complètement guéri de l'hôpital à la stupéfaction des médecins de la clinique universitaire de Essen dans la Ruhr
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Moi... Je me redresse, je me sens bien. Pas de douleur. Pas de tuyau dans les poumons. Je me sens libre et me vois là étendu en dessous et ma mère qui prie. Je passe à travers le plafond et remarque que je suis dans une tout autre dimension. Je suis mort. Je me dirige vers une montagne et vois sur un sommet la ville d'or, comme elle est décrite dans la Bible (chapitre 21 de l'Apocalypse). Je suis enthousiasmé. Aujourd'hui encore, c'est comme si je pouvais sentir la bonne odeur qui émanait de la "mer de verre". Je me disais: "J'y suis arrivé". Si à ce moment là, j'avais su que je devais repartir de là-haut, j'aurais essayé d'accéder à la ville par derrière. Mais là, je me suis dirigé vers la porte semblable à une énorme perle s'ouvrant en deux et Jésus m'est apparu. "Me voilà", m'écriai-je, mais Il me sourit seulement et dit: "Quelqu'un ne te laisse pas partir, tu dois retourner". Je me suis tourné mécaniquement. Je n'aurais pas voulu m'en aller de là-haut. Juste à ce moment-là, c'est de nouveau à travers mes yeux malades, pleins de sang que je voyais à nouveau. Mon corps était tout aussi malade qu'avant. "Oh, pourquoi?" Ma mère avait prié: "Au Nom de Jésus tu reviens, tu ne mourras pas, mais tu proclameras les œuvres du Seigneur" (Psaumes 118, 17). J'ai donc dû revenir.
Voici l'histoire de Frank Breido, un Allemand d'Osnabrück qui est mort quelques courts instants d'une leucémie en 1992 et peu après est sorti complètement guéri de l'hôpital à la stupéfaction des médecins de la clinique universitaire de Essen dans la Ruhr
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Moi... Je me redresse, je me sens bien. Pas de douleur. Pas de tuyau dans les poumons. Je me sens libre et me vois là étendu en dessous et ma mère qui prie. Je passe à travers le plafond et remarque que je suis dans une tout autre dimension. Je suis mort. Je me dirige vers une montagne et vois sur un sommet la ville d'or, comme elle est décrite dans la Bible (chapitre 21 de l'Apocalypse). Je suis enthousiasmé. Aujourd'hui encore, c'est comme si je pouvais sentir la bonne odeur qui émanait de la "mer de verre". Je me disais: "J'y suis arrivé". Si à ce moment là, j'avais su que je devais repartir de là-haut, j'aurais essayé d'accéder à la ville par derrière. Mais là, je me suis dirigé vers la porte semblable à une énorme perle s'ouvrant en deux et Jésus m'est apparu. "Me voilà", m'écriai-je, mais Il me sourit seulement et dit: "Quelqu'un ne te laisse pas partir, tu dois retourner". Je me suis tourné mécaniquement. Je n'aurais pas voulu m'en aller de là-haut. Juste à ce moment-là, c'est de nouveau à travers mes yeux malades, pleins de sang que je voyais à nouveau. Mon corps était tout aussi malade qu'avant. "Oh, pourquoi?" Ma mère avait prié: "Au Nom de Jésus tu reviens, tu ne mourras pas, mais tu proclameras les œuvres du Seigneur" (Psaumes 118, 17). J'ai donc dû revenir.
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