Conversation avec Guy Férez maire socialiste d'Auxerre à l'entre-deux tours de l'élection présidentielle.
Le FN peut-il gagner ? Que se passerait-il ensuite ? Quels sont les dangers ?
Avant la primaire à gauche, il a annoncé qu'il voterait pour Emmanuel Macron si Benoît Hamon ou Arnaud Montebourg étaient choisis. Il est comme le député maire d'Avallon sous la menace d'une expulsion du PS.
Social démocrate depuis toujours, il définit la sociale démocratie comme la nécessité d'écouter, d'entendre et de négocier des compromis en faisant la synthèse.
Longtemps dans l'opposition à Jean-Pierre Soisson dont il fut l'adjoint lors de la période d'ouverture, il évoque son cheminement politique à Auxerre et à Dijon, la victoire de la gauche à Auxerre en 2001 à la faveur de la division de la droite et ses deux réélections en 2008 et 2014.
Guy Férez entend terminer le vaste chantier de rénovation urbaine entrepris en 2001 afin de "recoudre la ville sur elle-même", une ville apaisée.
Il poursuivra en se présentant pour un quatrième mandat en 2020.
Ses élections, il les a gagnées en pratiquant une politique d'ouverture au centre et à droite, dépassant les clivages politiques partisans traditionnels dans l'intérêt de la cité.
C'est ainsi qu'il a été élu président de la Communauté d'agglomération des communes de l'Auxerrois détentrice désormais de la compétence économique puis président du PETR (pôle d'équilibre territorial et rural) pôle prospectif qui rassemble toutes les intercommunalités et communes du territoire du centre Yonne couvrant un bassin de 150 000 habitants.
Le FN peut-il gagner ? Que se passerait-il ensuite ? Quels sont les dangers ?
Avant la primaire à gauche, il a annoncé qu'il voterait pour Emmanuel Macron si Benoît Hamon ou Arnaud Montebourg étaient choisis. Il est comme le député maire d'Avallon sous la menace d'une expulsion du PS.
Social démocrate depuis toujours, il définit la sociale démocratie comme la nécessité d'écouter, d'entendre et de négocier des compromis en faisant la synthèse.
Longtemps dans l'opposition à Jean-Pierre Soisson dont il fut l'adjoint lors de la période d'ouverture, il évoque son cheminement politique à Auxerre et à Dijon, la victoire de la gauche à Auxerre en 2001 à la faveur de la division de la droite et ses deux réélections en 2008 et 2014.
Guy Férez entend terminer le vaste chantier de rénovation urbaine entrepris en 2001 afin de "recoudre la ville sur elle-même", une ville apaisée.
Il poursuivra en se présentant pour un quatrième mandat en 2020.
Ses élections, il les a gagnées en pratiquant une politique d'ouverture au centre et à droite, dépassant les clivages politiques partisans traditionnels dans l'intérêt de la cité.
C'est ainsi qu'il a été élu président de la Communauté d'agglomération des communes de l'Auxerrois détentrice désormais de la compétence économique puis président du PETR (pôle d'équilibre territorial et rural) pôle prospectif qui rassemble toutes les intercommunalités et communes du territoire du centre Yonne couvrant un bassin de 150 000 habitants.
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