Photographe majeur du XXe siècle, Walker Evans a marqué, de son « style documentaire », plusieurs générations de photographes et d’artistes.
Ses photographies réalisées durant la crise des années 1930 et ses projets publiés dans le magazine Fortune dans les années 1940 et 1950 donnent la vision d’une Amérique modeste, celle des gens de peu et de la banalité.
Vues d’architecture, boutiques, entrepôts, enseignes, photographies de rue et photographies d’intérieurs jalonnent une œuvre qui prête attention à l’usage des lieux et aux détails du quotidien, en laissant transparaître, de façon sous-jacente, la profonde sensibilité littéraire qui a toujours animé le photographe. C’est en privilégiant cette vision de l’architecture et de la ville que l’œuvre de Walker Evans sera abordée au cours du débat.
Projection-débat en présence de Gilles Mora, historien, spécialiste de la modernité photographique américaine, directeur artistique du Pavillon populaire à Montpellier.
Ses photographies réalisées durant la crise des années 1930 et ses projets publiés dans le magazine Fortune dans les années 1940 et 1950 donnent la vision d’une Amérique modeste, celle des gens de peu et de la banalité.
Vues d’architecture, boutiques, entrepôts, enseignes, photographies de rue et photographies d’intérieurs jalonnent une œuvre qui prête attention à l’usage des lieux et aux détails du quotidien, en laissant transparaître, de façon sous-jacente, la profonde sensibilité littéraire qui a toujours animé le photographe. C’est en privilégiant cette vision de l’architecture et de la ville que l’œuvre de Walker Evans sera abordée au cours du débat.
Projection-débat en présence de Gilles Mora, historien, spécialiste de la modernité photographique américaine, directeur artistique du Pavillon populaire à Montpellier.
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Art et design