• il y a 6 ans
Cette étude se base sur des tests de logique réalisés sur 20 000 personnes et démontre que la pollution atmosphérique à un fort impact sur nos capacités de réflexion.

Les périodes de l’année où la pollution atmosphérique était la plus forte affectent fortement les résultats des tests mathématiques et verbaux.

Cet effet se trouve encore renforcé dans les villes où la qualité de l’air était la plus mauvaise.

Selon les auteurs de l’étude, cela pourrait rendre le traitement des maladies cérébrales touchant les personnes âgées encore plus complexe et coûteux.

Enfin, rappelons qu’un étude a démontré que 95 % des humains vivent dans des zones présentant des niveaux de pollution atmosphérique dangereux.

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