Le cimetière Terre Cabade, l’un des plus anciens de Toulouse, a été vandalisé dans la nuit du samedi 9 au dimanche 10 juin. Une centaine de tombes ont été profanées.
Une centaine de tombes de l’un des plus vieux cimetières de Toulouse a été profanée dans la nuit de samedi à dimanche avec des objets renversés ou brisés.
« C’est un spectacle désolant, on a jamais vu autant de tombes touchées, des crucifix, des plaques, des colonnes ou des vases cassés ou projetés dans les allées », a indiqué le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc qui s’est rendu au cimetière Terre Cabade dans la matinée.
Des dégradations qui touchent des objets appartenant à une centaine de tombes dans différentes portions de ce cimetière qui s’étend sur 33 hectares, a précisé le maire, soulignant « (qu') une seule tombe a été éventrée » et « (qu') aucune des quelques tombes israélites ou musulmanes n’avait été dégradée ».
« C’est véritablement indigne et nous allons porter plainte », a ajouté Jean-Luc Moudenc, indiquant que des agents de la police technique et scientifique procédaient dimanche matin aux premières constatations dans le cimetière qui a été fermé au public.
C’est le gardien qui, en prenant son service, a découvert vers 7 h les dégradations. Aucune inscription n’a été découverte, indique encore la mairie, précisant que les services municipaux, sont en train d’inventorier les tombes touchées pour prévenir les familles.
Une centaine de tombes de l’un des plus vieux cimetières de Toulouse a été profanée dans la nuit de samedi à dimanche avec des objets renversés ou brisés.
« C’est un spectacle désolant, on a jamais vu autant de tombes touchées, des crucifix, des plaques, des colonnes ou des vases cassés ou projetés dans les allées », a indiqué le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc qui s’est rendu au cimetière Terre Cabade dans la matinée.
Des dégradations qui touchent des objets appartenant à une centaine de tombes dans différentes portions de ce cimetière qui s’étend sur 33 hectares, a précisé le maire, soulignant « (qu') une seule tombe a été éventrée » et « (qu') aucune des quelques tombes israélites ou musulmanes n’avait été dégradée ».
« C’est véritablement indigne et nous allons porter plainte », a ajouté Jean-Luc Moudenc, indiquant que des agents de la police technique et scientifique procédaient dimanche matin aux premières constatations dans le cimetière qui a été fermé au public.
C’est le gardien qui, en prenant son service, a découvert vers 7 h les dégradations. Aucune inscription n’a été découverte, indique encore la mairie, précisant que les services municipaux, sont en train d’inventorier les tombes touchées pour prévenir les familles.
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