L'impact désastreux du streaming vidéo sur l'environnement
La diffusion et le visionnage de vidéos en ligne génère environ 300 millions de tonnes de dioxyde de carbone par an.
Cela représente environ 1 % des émissions mondiales.
Le secteur de la vidéo à la demande ou du porno génère chaque année autant de CO2 qu’un pays comme la Belgique.
En 2018, le streaming vidéo, hors appels ou tchats vidéo, représentait 60 % des flux de données mondiaux.
Une part qui pourrait être amenée à augmenter largement dans le années à venir avec l’arrivée de contenus en 8K.
Les auteurs du rapport préconisent de ne plus recourir à la lecture automatique.
Il faudrait aussi ne transmettre des vidéos en haute, voire très haute, définition que lorsque le contenu le justifie.
Cela représente environ 1 % des émissions mondiales.
Le secteur de la vidéo à la demande ou du porno génère chaque année autant de CO2 qu’un pays comme la Belgique.
En 2018, le streaming vidéo, hors appels ou tchats vidéo, représentait 60 % des flux de données mondiaux.
Une part qui pourrait être amenée à augmenter largement dans le années à venir avec l’arrivée de contenus en 8K.
Les auteurs du rapport préconisent de ne plus recourir à la lecture automatique.
Il faudrait aussi ne transmettre des vidéos en haute, voire très haute, définition que lorsque le contenu le justifie.
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