• il y a 5 ans
Une semaine après l'attaque terroriste de la préfecture de police de Paris, les zones d'ombres demeurent. L'enjeu principal des investigations consiste à établir si l'assaillant a bénéficié ou non de complicité. Devant la commission des lois du Sénat, Christophe Castaner a dit vouloir "lancer un débat" sur le motif de radicalisation, qui pourrait devenir un motif de révocation pour les fonctionnaires.

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