pour celle qui ne l'entendra jamais...
Tu m’avais pourtant bien promis
Que tu me sauverai la peau
Je crois bien que tu m’as menti
Il n’en reste que des lambeaux
Et dans le noir du jour maudit
Où tu as lacérer ma chair
Je rêve encore de cette nuit
Qui m’a fait goûter a tes lèvres
Marqué par le sceau des damnés
Des fous qui goûtèrent l’ambroisie
Et pleurent pour l’éternité
Le goût perdu de l’infini
Le feu éteint de leur amour
Qui réchauffait quand il fait froid
Le solitaire, le troubadour,
Le mendiant et même le roi
Je crois bien que tu m’as blessé
Mon sang coule a flot et pourtant
Je ne peux pas cesser d’aimer
Celle qui m’a rendu vivant
Même le plus beau des poèmes
Ne saura rallumer ta flamme
Mais je n’y peut rien mon cœur saigne
Autant que peut pleurer mon âme
Tu sais j’en ai même oublié
Qu’un beau jour j’avais pu sourire
Quand la douceur de tes baisers
Avaient mis fin a mon martyre
Je me souviens du temps passé
Des jours où je n’avais plus froid
Lorsque tes bras me protégeaient
Du mal tout au fond de moi
Tu m’as laissé seul au milieu
Des ténèbres qui m’effraient tant
Là où les démons sont heureux
Où les anges côtoient Satan
Je crois bien que le vent se lève
Son souffle emporte mes lambeaux
Tu as tué mon âme et mes rêves
En me plongeant dans le chaos
Tu sais je n’ai plus rien a dire
Et même plus rien a pleurer
Seul sur les ruines d’un empire
Contemplant le vide a mes pieds
J’ai vu les ombres dans tes yeux
Avant moi j’y voyais le ciel
Qui donne la force d’un Dieu
Et le fragile d’un mortel
Je me hais autant que je t’aime
Toi mon éternelle Déesse
Je sais, oui, tu n’est plus la même
Mais, je me souviens de toi princesse
Oh j’aimerai tant m’endormir
Dans une nuit d’éternité
Au pays merveilleux des rires
C’est là que nous nous sommes aimés
Promis je laisserai la flèche
Qu’un ange a planté dans mon cœur
Oui, de toi c’est tout ce qu’il me reste
L’éphémère parfum du bonheur
Je vois bien que le jour se lève
Moi je suis glacé dans la nuit
Je prie pour embrasser tes lèvres
A l’aurore d’une autre vie
Tu m’avais pourtant bien promis
Que tu me sauverai la peau
Je crois bien que tu m’as menti
Il n’en reste que des lambeaux
Et dans le noir du jour maudit
Où tu as lacérer ma chair
Je rêve encore de cette nuit
Qui m’a fait goûter a tes lèvres
Marqué par le sceau des damnés
Des fous qui goûtèrent l’ambroisie
Et pleurent pour l’éternité
Le goût perdu de l’infini
Le feu éteint de leur amour
Qui réchauffait quand il fait froid
Le solitaire, le troubadour,
Le mendiant et même le roi
Je crois bien que tu m’as blessé
Mon sang coule a flot et pourtant
Je ne peux pas cesser d’aimer
Celle qui m’a rendu vivant
Même le plus beau des poèmes
Ne saura rallumer ta flamme
Mais je n’y peut rien mon cœur saigne
Autant que peut pleurer mon âme
Tu sais j’en ai même oublié
Qu’un beau jour j’avais pu sourire
Quand la douceur de tes baisers
Avaient mis fin a mon martyre
Je me souviens du temps passé
Des jours où je n’avais plus froid
Lorsque tes bras me protégeaient
Du mal tout au fond de moi
Tu m’as laissé seul au milieu
Des ténèbres qui m’effraient tant
Là où les démons sont heureux
Où les anges côtoient Satan
Je crois bien que le vent se lève
Son souffle emporte mes lambeaux
Tu as tué mon âme et mes rêves
En me plongeant dans le chaos
Tu sais je n’ai plus rien a dire
Et même plus rien a pleurer
Seul sur les ruines d’un empire
Contemplant le vide a mes pieds
J’ai vu les ombres dans tes yeux
Avant moi j’y voyais le ciel
Qui donne la force d’un Dieu
Et le fragile d’un mortel
Je me hais autant que je t’aime
Toi mon éternelle Déesse
Je sais, oui, tu n’est plus la même
Mais, je me souviens de toi princesse
Oh j’aimerai tant m’endormir
Dans une nuit d’éternité
Au pays merveilleux des rires
C’est là que nous nous sommes aimés
Promis je laisserai la flèche
Qu’un ange a planté dans mon cœur
Oui, de toi c’est tout ce qu’il me reste
L’éphémère parfum du bonheur
Je vois bien que le jour se lève
Moi je suis glacé dans la nuit
Je prie pour embrasser tes lèvres
A l’aurore d’une autre vie
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