sur le bord de la route
Vous ne me verrez plus sur le bord de la route
Le cœur martyrisé, l’âme remplit de doutes
Le soleil alentit de ces jours fatigués
Ne reste que la lumière de ce ciel étoilé, étoilé
Le soleil a périt depuis longtemps déjà
Et moi comme un idiot je ne le savais pas
Je ne le voyais pas
Vous ne me verrez plus a chercher le chemin
A chercher comme une ombre qui me tendra la main
Les sentiers empruntés sont maculés de sang
Mes genoux sont usés et je suis tout tremblant, tout tremblant
J’avais cru discerner une autre trajectoire
Mais la lumière me manque je ne peux plus la voir
Je ne veux plus la croire
Vous ne me verrez plus feindre d’être comme vous
Alors que tout mon être se déchire de dégoût
Mon monde est un exil où l’on ne pose pied
Une contrée béante où les rêveurs sont nés, sont nés
J’ai dû croire en ce monde tellement imparfait
A la lumière des gens, les yeux et la bonté
Et je me suis trompé
Vous ne me verrez plus regarder en arrière
Et des perles de sang larmer sur mes paupières
On me l’a dit cent fois le passé est perdu
Je recherche un empire qui n’existe plus, n’existe plus
Le Temps est le geôlier de ceux qui nous sont chères
Nous laissant sur les lèvres comme un goût de poussière
Comme un goût d’éphémère
Vous ne me verrez plus assis, le regard vide
Contemplant le spectacle de l’horizon livide
La colombe est tombé sous les feux du dragon
Une chimère sorti de leur livres sanglants, sanglants
J’ai vu ces paradis que l’on dit d’artifice
Qui ne dure que l’instant d’oublier qu’on est triste
D’oublier qu’on existe
Vous ne me verrez plus accroupi dans le noir
Errer comme un fantôme au milieu de nulle part
Le néant nous redonne un peu de son histoire
Ce souffle mortifère perdu dans nos mémoires, dans nos mémoires
Des milliards de lumières nous hurlent « carpe diem »
Car la vie vaut la peine de vivre quand on aime
De vivre quand on saigne
Le cœur martyrisé, l’âme remplit de doutes
Le soleil alentit de ces jours fatigués
Ne reste que la lumière de ce ciel étoilé, étoilé
Le soleil a périt depuis longtemps déjà
Et moi comme un idiot je ne le savais pas
Je ne le voyais pas
Vous ne me verrez plus a chercher le chemin
A chercher comme une ombre qui me tendra la main
Les sentiers empruntés sont maculés de sang
Mes genoux sont usés et je suis tout tremblant, tout tremblant
J’avais cru discerner une autre trajectoire
Mais la lumière me manque je ne peux plus la voir
Je ne veux plus la croire
Vous ne me verrez plus feindre d’être comme vous
Alors que tout mon être se déchire de dégoût
Mon monde est un exil où l’on ne pose pied
Une contrée béante où les rêveurs sont nés, sont nés
J’ai dû croire en ce monde tellement imparfait
A la lumière des gens, les yeux et la bonté
Et je me suis trompé
Vous ne me verrez plus regarder en arrière
Et des perles de sang larmer sur mes paupières
On me l’a dit cent fois le passé est perdu
Je recherche un empire qui n’existe plus, n’existe plus
Le Temps est le geôlier de ceux qui nous sont chères
Nous laissant sur les lèvres comme un goût de poussière
Comme un goût d’éphémère
Vous ne me verrez plus assis, le regard vide
Contemplant le spectacle de l’horizon livide
La colombe est tombé sous les feux du dragon
Une chimère sorti de leur livres sanglants, sanglants
J’ai vu ces paradis que l’on dit d’artifice
Qui ne dure que l’instant d’oublier qu’on est triste
D’oublier qu’on existe
Vous ne me verrez plus accroupi dans le noir
Errer comme un fantôme au milieu de nulle part
Le néant nous redonne un peu de son histoire
Ce souffle mortifère perdu dans nos mémoires, dans nos mémoires
Des milliards de lumières nous hurlent « carpe diem »
Car la vie vaut la peine de vivre quand on aime
De vivre quand on saigne
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