bon j'ai la flemme de la refaire meme si cette version est pas terrible(un flottement au milieu notamment)je la poste. Je la referai peut etre plus tard.
Des jours, des semaines, peut être bien des mois
Le poison dans les veines a deviner tes pas
Et le loup solitaire qui erre sur la dune
En hurlant a la lune, « qu’on en finisse là »
De l’aurore des jours aux mornes crépuscules
Ces trésors que l’amour vous montre majuscule
Lorsque pleure votre cœur tout semble ridicule
Rien ne vaut plus la peine quand meurt les « je t’aime »
Dis moi que ce n’était qu’un mauvais rêve
Ceux que l’on fait quand on voit que ce monde crève
Je vais bientôt me réveiller a tes cotés
Tu me diras que j’ai rêver, ce cauchemar avait l’air si vrai
Des secondes, des jours, peut être bien des siècles
Non, le temps n’a plus cour perdu dans la tempête
Et cette plaie béante que personne ne voit
Brûlante sous la chair, ne se referme pas
Quand meurs la lumière et le ciel et le rêve
Car l’univers entier se trouvait sur tes lèvres
Reste t-il un chemin qui ne soit pas de pierre
Reste t-il une route qui ne mène à l'enfer
Dis moi que ce n’était qu’un mauvais rêve
Ceux que l’on fait en entendant tomber la grève
Je vais bientôt me réveiller a tes cotés
Tu me diras que j’ai rêver, ce cauchemar avait l’air si vrai
Des secondes, des siècles, ou le temps d’un sanglot
Ressentir la folie de t’avoir aimé trop
D’avoir cru un instant que j’avais été beau
Quand tes yeux m’éclairaient je crois que je l’étais
Une vie toute entière a mordre la poussière
Lorsque l’azur du ciel vous ramène a la terre
Quand le froid de la nuit et le triste du sombre
Me murmurent que sans toi je ne suis plus qu’une ombre
Dis moi que ce n’était qu’un mauvais rêve
Ceux que l’on fait en quand meurt le sourire sur les lèvres
Je vais bientôt me réveiller a tes cotés
Tu me diras que j’ai rêver, ce cauchemar avait l’air si vrai
Des jours, des semaines, peut être bien des mois
Le poison dans les veines a deviner tes pas
Et le loup solitaire qui erre sur la dune
En hurlant a la lune, « qu’on en finisse là »
De l’aurore des jours aux mornes crépuscules
Ces trésors que l’amour vous montre majuscule
Lorsque pleure votre cœur tout semble ridicule
Rien ne vaut plus la peine quand meurt les « je t’aime »
Dis moi que ce n’était qu’un mauvais rêve
Ceux que l’on fait quand on voit que ce monde crève
Je vais bientôt me réveiller a tes cotés
Tu me diras que j’ai rêver, ce cauchemar avait l’air si vrai
Des secondes, des jours, peut être bien des siècles
Non, le temps n’a plus cour perdu dans la tempête
Et cette plaie béante que personne ne voit
Brûlante sous la chair, ne se referme pas
Quand meurs la lumière et le ciel et le rêve
Car l’univers entier se trouvait sur tes lèvres
Reste t-il un chemin qui ne soit pas de pierre
Reste t-il une route qui ne mène à l'enfer
Dis moi que ce n’était qu’un mauvais rêve
Ceux que l’on fait en entendant tomber la grève
Je vais bientôt me réveiller a tes cotés
Tu me diras que j’ai rêver, ce cauchemar avait l’air si vrai
Des secondes, des siècles, ou le temps d’un sanglot
Ressentir la folie de t’avoir aimé trop
D’avoir cru un instant que j’avais été beau
Quand tes yeux m’éclairaient je crois que je l’étais
Une vie toute entière a mordre la poussière
Lorsque l’azur du ciel vous ramène a la terre
Quand le froid de la nuit et le triste du sombre
Me murmurent que sans toi je ne suis plus qu’une ombre
Dis moi que ce n’était qu’un mauvais rêve
Ceux que l’on fait en quand meurt le sourire sur les lèvres
Je vais bientôt me réveiller a tes cotés
Tu me diras que j’ai rêver, ce cauchemar avait l’air si vrai
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