Le préfet de Seine-Maritime et de Normandie a signé ce vendredi après-midi l’arrêté autorisant l’entreprise chimique Seveso de Rouen, incendiée le 26 septembre 2019, à rouvrir deux unités de mélange de lubrifiants et huiles moteur.
Dans les prochaines heures, ce vendredi 13 décembre 2019, Pierre-André Durand, préfet de la région Normandie, va signer l’arrêté autorisant l’usine Lubrizol de Rouen à reprendre une activité partielle et progressive - possiblement dès ce samedi matin. Il s’agit de deux unités de mélange de lubrifiants et huiles moteur à froid, qui n’avaient pas été touchés par l’incendie du 26 septembre.
Mardi, le Coderst (conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques) avait donné un avis favorable avec un vote très net pour une reprise : 20 voix, six contre.
« Un grand soulagement »
Ce vendredi matin, le préfet voulait en informer le comité de la transparence et du dialogue réunissant 100 élus et parlementaires de Seine-Maritime, associations de défense de l’environnement, médecins, syndicats agricoles, chambres consulaires… « C’est un grand soulagement » exprime Isabelle Striga, directrice générale de Lubrizol qui assistait à ce comité de transparence.
« Cela fait des semaines qu’avec nos équipes, nous travaillons pour que les unités de mélanges soient prêtes. Dès que nous aurons l’arrêté, nous ne pouvions le faire avant, nous recevrons les matières premières dès ce soir, et ce week-end, avec une petite équipe de quart de quinze salariés. Puis nous pourrons commencer une reprise progressive dans les prochains jours. » Sans doute dès lundi.
« La sécurité, notre boussole »
Pour le préfet, « outre les aspects économiques et de l’emploi après trois mois d’inactivité, la sécurité a été notre boussole pour autoriser cette réouverture partielle. Et nous devons reconnaître que Lubrizol est allé au-delà des prescriptions que nous lui imposions. Notamment en cas d’incendie avec un dispositif de détection, une extinction automatique et manuelle et une récupération des huiles et des eaux d’incendies dans des cuves en béton ».
Dans les prochaines heures, ce vendredi 13 décembre 2019, Pierre-André Durand, préfet de la région Normandie, va signer l’arrêté autorisant l’usine Lubrizol de Rouen à reprendre une activité partielle et progressive - possiblement dès ce samedi matin. Il s’agit de deux unités de mélange de lubrifiants et huiles moteur à froid, qui n’avaient pas été touchés par l’incendie du 26 septembre.
Mardi, le Coderst (conseil départemental de l’environnement et des risques sanitaires et technologiques) avait donné un avis favorable avec un vote très net pour une reprise : 20 voix, six contre.
« Un grand soulagement »
Ce vendredi matin, le préfet voulait en informer le comité de la transparence et du dialogue réunissant 100 élus et parlementaires de Seine-Maritime, associations de défense de l’environnement, médecins, syndicats agricoles, chambres consulaires… « C’est un grand soulagement » exprime Isabelle Striga, directrice générale de Lubrizol qui assistait à ce comité de transparence.
« Cela fait des semaines qu’avec nos équipes, nous travaillons pour que les unités de mélanges soient prêtes. Dès que nous aurons l’arrêté, nous ne pouvions le faire avant, nous recevrons les matières premières dès ce soir, et ce week-end, avec une petite équipe de quart de quinze salariés. Puis nous pourrons commencer une reprise progressive dans les prochains jours. » Sans doute dès lundi.
« La sécurité, notre boussole »
Pour le préfet, « outre les aspects économiques et de l’emploi après trois mois d’inactivité, la sécurité a été notre boussole pour autoriser cette réouverture partielle. Et nous devons reconnaître que Lubrizol est allé au-delà des prescriptions que nous lui imposions. Notamment en cas d’incendie avec un dispositif de détection, une extinction automatique et manuelle et une récupération des huiles et des eaux d’incendies dans des cuves en béton ».
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