L’information selon laquelle Guillaume Soro s’était attaché les services d’une agence de relations publiques en France est avérée. Les premières actions de l’agence en question sont palpables. Ce mardi 28 Janvier, Guillaume Soro était devant les plus grands médias et agences de presse française. Objectif affiché, déconstruire l’image d’Alassane Ouattara aux yeux du monde. Les termes de références sont là. Et dans chacune de ses prises de parole, le positionnement est clair. Le démocrate d’hier, le grand fonctionnaire du Fonds Monétaire International, est réduit à la triste expression de dictateur. L’offensive de Guillaume Soro est retentissante. Les échos s’en feront ressentir au delà des médias, dans les hauts lieux de décision. Opération de charme, opération réussie. Dans un cadre feutré, l’hôtel Bristol à Paris, palace cinq étoiles dans le 8ème arrondissement.
Les propos liminaires de Guillaume Soro sont incisifs, « personne ne peut me réduire au silence », dira-t-il : « Je vous remercie d’avoir répondu nombreux à cette invitation. Si j’ai choisi de vous convier aujourd’hui à ce déjeuner de presse, c’est avant tout pour vous dire que je suis candidat aux élections présidentielles de mon pays, la Côte d’Ivoire le 31 octobre 2020, et que je le demeure définitivement. J’ai même envie de dire que je le suis davantage. Ceux qui m’ont empêché de fouler la terre de mon Pays, le 23 décembre dernier, ne m’empêcheront jamais de m’adresser à vous, et ne m’empêcheront jamais d’être candidat à la magistrature suprême. Le premier point est provisoire. Le second est illusoire, et notre rencontre de ce jour le prouve. Car si l’on peut tenter de condamner un résistant à l’exil, on ne peut le réduire au silence…. »
Les propos liminaires de Guillaume Soro sont incisifs, « personne ne peut me réduire au silence », dira-t-il : « Je vous remercie d’avoir répondu nombreux à cette invitation. Si j’ai choisi de vous convier aujourd’hui à ce déjeuner de presse, c’est avant tout pour vous dire que je suis candidat aux élections présidentielles de mon pays, la Côte d’Ivoire le 31 octobre 2020, et que je le demeure définitivement. J’ai même envie de dire que je le suis davantage. Ceux qui m’ont empêché de fouler la terre de mon Pays, le 23 décembre dernier, ne m’empêcheront jamais de m’adresser à vous, et ne m’empêcheront jamais d’être candidat à la magistrature suprême. Le premier point est provisoire. Le second est illusoire, et notre rencontre de ce jour le prouve. Car si l’on peut tenter de condamner un résistant à l’exil, on ne peut le réduire au silence…. »
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