Angèle : "Quand j'ai écrit "Balance ton Quoi", ça partait d'un sentiment de vouloir expliquer que (...) cette crainte que j'avais dans les transports, dans la rue, c'était un poids que je partageais avec quasiment la totalité des femmes qui m'entouraient" - Vidéo Dailymotion

France Inter

il y a 4 ans

L'autrice-compositrice-interprète Angèle est l'invitée de la matinale de France inter.
Plus d'infos : https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-d-ali-baddou/l-invite-d-ali-baddou-31-janvier-2020

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Angèle : "Beaucoup m'avaient diagnostiqué à l'avance un burn-out, je les remercie de faire attention à moi, mais non (...). Il faut que j'écrive des choses intéressantes, et je ne sais pas ce que je vais raconter si je suis toujours en tournée"

Angèle : "Ce que j'écris est un questionnement avant d'être une prise de position. Je n'ai pas envie de me dire que c'est une responsabilité, parce que cela voudrait dire que je devrais être irréprochable, alors que j'ai 24 ans."

Angèle : "Ce que j'écris dans mes chansons est un questionnement avant d'être une prise de position"

David Djaïz, haut fonctionnaire et auteur : "Je ne me sens pas partie de l'élite. Je viens d'un département rural, j'ai travaillé à l'école, j'ai passé des concours (...) j'ai écrit ce livre car j'ai la passion de la France"

Clara Luciani : "Pour la fête de la musique, j'allais à Marseille avec mon père et ma soeur (...) J'ai tué Wonderwall plusieurs fois"

Adèle Haenel : "L'idée du film n'était pas de parler d'un monde qu'on ne connait plus, mais aussi de créer une émotion artistique"

Mercedes Erra, fondatrice de l'agence BETC : "J'aime mieux dire "tous féministes, tous et toutes" : il faut s'y mettre tous, parce que la situation est grave (...). Ce n'est pas un sujet pour un petit ministère. C'est un sujet pour tout le monde."

Angèle : « La solitude me manque »

Pandémie : "J’ai perdu tout ce que j’aimais, mon contact avec les gens, mes filles, même mon bouledogue était triste !" (Jane Birkin)

"Mon père m'avait dit : 'Un artiste n'a rien à voir avec la haine" (Angélique Kidjo)

Muriel Robin : "Guy Bedos est la personne la plus tendre que j'aie rencontrée dans ma vie. Son regard était plein de tendresse, d'amour."

Catherine Clément : "Ceux qui vont se faire exploser, il faut bien qu'ils en tirent un plaisir quelconque !"

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Camille Emmanuelle : "Mon sentiment d'étouffement était culpabilisant : ce qui sauvait mon mari, le fait d'être éloigné de tout le monde, me portait préjudice."

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Jeanne Balibar : "J'ai eu cette idée d'écrire ce film parce que j'avais deux interprètes idéaux qui étaient Emmanuelle Béart et Ramzy Bédia

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Camille Emmanuelle : "Quand Luz m'a envoyé un message en me disant "il y a un carnage", je suis sortie en mettant du rouge à lèvres. J'imaginais pas que ce soit possible. C'est quelque chose de prosaïque qui se mélange avec quelque chose de tragique."

Camille Emmanuelle : "Le fait que la psy se tourne vers moi et qu'elle me demande comment j'allais, j'ai trouvé cela limite indécent. Il y avait une victime directe, traumatisée, à côté de moi, je ne faisais que l'accompagner."

Sylviane Agacinski, philosophe, sur la différence GPA/PMA : "Les femmes doivent s'interroger sur le fait de provoquer de manière artificielle la naissance d'un enfant a priori privé de géniteur"

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