Angèle : "Beaucoup m'avaient diagnostiqué à l'avance un burn-out, je les remercie de faire attention à moi, mais non (...). Il faut que j'écrive des choses intéressantes, et je ne sais pas ce que je vais raconter si je suis toujours en tournée"

David Djaïz, haut fonctionnaire et auteur : "Je ne me sens pas partie de l'élite. Je viens d'un département rural, j'ai travaillé à l'école, j'ai passé des concours (...) j'ai écrit ce livre car j'ai la passion de la France"

Du Dick Cheese dans les éco-villages - Harold Barbé : moi ce que j’en dis

Clara Luciani : "Pour la fête de la musique, j'allais à Marseille avec mon père et ma soeur (...) J'ai tué Wonderwall plusieurs fois"

Angèle : "Ce que j'écris est un questionnement avant d'être une prise de position. Je n'ai pas envie de me dire que c'est une responsabilité, parce que cela voudrait dire que je devrais être irréprochable, alors que j'ai 24 ans."

Angèle : "Quand j'ai écrit "Balance ton Quoi", ça partait d'un sentiment de vouloir expliquer que (...) cette crainte que j'avais dans les transports, dans la rue, c'était un poids que je partageais avec quasiment la totalité des femmes qui m'entouraient"

Angèle : "Ce que j'écris dans mes chansons est un questionnement avant d'être une prise de position"

Fatou Diome sur son dernier roman, Les Veilleurs de Sangomar : "Je voulais m’intéresser à la chambre à coucher, là où les gens sont face à leur blues. Comment on comble les béances d’une vie pour continuer à marcher"

Adèle Haenel : "L'idée du film n'était pas de parler d'un monde qu'on ne connait plus, mais aussi de créer une émotion artistique"

Vincent Dedienne : "Il y a plein de sujets qui sont des détails dans ma vie : je n'ai pas de problème ni avec l'adoption, ni avec l'homosexualité. Et paradoxalement, c'est une question qui revient toujours."

Pandémie : "J’ai perdu tout ce que j’aimais, mon contact avec les gens, mes filles, même mon bouledogue était triste !" (Jane Birkin)

Arnaud Desplechin monte "Angels in America" au théâtre :"Ça faisait longtemps que j'avais envie de raconter des histoires d'amour entre hommes"

"Mon père m'avait dit : 'Un artiste n'a rien à voir avec la haine" (Angélique Kidjo)

Vincent Dedienne de retour dans le studio de la matinale d'Inter : "J'ai une petite tendresse de revoir Dominique Seux, quand il dit "mon petit doigt me dit". C'est marrant, ça me refout le trac d'être là."

Ariane Ascaride : "Excusez-moi, monsieur le président de la République, mais quand vous n'arrivez pas à finir votre fin de mois, quand vous avez une retraite de 900€ et que vous devez payer le loyer (...) on n'a pas tellement envie de rigoler"

Amélie Nothomb : "Enormément de jeunes, d'adolescents m'écrivent pour savoir quoi lire et j'adore faire avec eux cette posologie."

Catherine Clément : "Ceux qui vont se faire exploser, il faut bien qu'ils en tirent un plaisir quelconque !"

Ariane Ascaride : "Ce film est un cri d'alarme. Robert Guédiguian devait écrire une comédie. Il suit beaucoup les actualités. Et un jour, il m'a dit qu'il ne pouvait pas, que c'était impossible."

Amélie Nothomb : "Je suis assez heureuse de ne pas avoir 20 ans aujourd'hui. Mais je refuse de croire que cette situation soit désespérée !"

Antoine Compagnon : "Ce qui reste subversif c'est ce côté toujours inattendu, toujours provocant (...). Baudelaire est un dandy, on ne peut pas se réunir autour de lui."

Fatou Diome : "Je veux que mon histoire soit un socle depuis lequel bondir vers l'avenir"

Vinciane Despret, philosophe des sciences, explique comment elle a imaginé des "terrolinguistes" au travail sur "les écrits de poulpes"

Angélique Kidjo a chanté au moment du centenaire de la fin de 14-18 : "Pour une fois, on pense à ces soldats africains venus mourir pendant la 1ère et 2e guerre mondiale"

Vincent Dedienne : "On s'est inspirés du cadavre exquis : Catherine Frot et moi avons proposé des choses individuelles, des choses en duo, et on a travaillé comme ça, en répondant chacun à la proposition de l'autre."

Antoine Compagnon : "Les grands écrivains, ceux qui nous continuons de lire, il y a toujours chez eux des contradictions, des failles. C'est bien entendu le cas de Baudelaire."

DJ Snake soutenu par sa mère : "Je lui ai montré que j'étais déterminé, elle m'a dit : 'essaye'. Aujourd'hui elle est super fière"