Au coeur de la première vague, Corinne Benzekri avait témoigné en sortant de réanimation, le souffle haché par sa trachéotomie, de sa surprise d'être encore en vie. Neuf mois après, les séquelles sont si graves qu'elle a beaucoup de mal "à se projeter dans l'avenir". Pour elle, chaque jour est important et puis "si le lendemain, ça va, je suis encore là, je me dis +tant mieux+!"
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