Le gazogène est un procédé qui permet de faire fonctionner un moteur avec du bois ou autre combustible solide (bois, charbon de bois, agglomérés…) contenant du carbone.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Le combustible solide est soumis a une combustion partielle du carbone afin d’obtenir un gaz actif (oxyde de carbone).
Les premiers gazogènes remontent aux années 1800 mais ils étaient principalement utilisés pour les industries de fonderie.
Un siècle plus tard, ce mécanisme est appliqué aux transports.
Ainsi, dans les années 1920, de nombreux espoirs se portent sur le gazogène.
Gorges Imbert s’attaque pour la première fois à la construction d’un "camion au gaz pauvre"avec "du bois scié en petites bûches et des déchets de bois".
Les véhicules à gazogène se multiplient.
Malheureusement, les recherches sur ce procédé finissent par être être abandonnées avant que le gazogène ne soit remis au goût du jour lors de l’Occupation durant la Seconde guerre mondiale durant laquelle les carburants se faisaient rares.
Malheureusement, le pétrole est toujours revenu prendre le dessus sur le gazogène.
Son utilisation est donc plutôt rare.
En effet, si les combustibles utilisés ont l’avantage d’être plus facilement disponibles contrairement aux carburants classiques ce gaz pauvre produit un faible rendement (inférieur à 15% contre plus de 40% pour les moteurs diesel).
Par ailleurs, les véhicules au gazogène sont extrêmement gourmands : pour un camion alimenté en gazogène, il faut compter environ 100 kg de bois pour parcourir 100 km.
Autre problématique : ce gaz pauvre est particulièrement dangereux puisqu’il est inflammable et est
très toxique pour l’organisme.
1 à 2% de ce gaz diffusé dans l’air ambiant peut être mortel.
Comment cela fonctionne-t-il ?
Le combustible solide est soumis a une combustion partielle du carbone afin d’obtenir un gaz actif (oxyde de carbone).
Les premiers gazogènes remontent aux années 1800 mais ils étaient principalement utilisés pour les industries de fonderie.
Un siècle plus tard, ce mécanisme est appliqué aux transports.
Ainsi, dans les années 1920, de nombreux espoirs se portent sur le gazogène.
Gorges Imbert s’attaque pour la première fois à la construction d’un "camion au gaz pauvre"avec "du bois scié en petites bûches et des déchets de bois".
Les véhicules à gazogène se multiplient.
Malheureusement, les recherches sur ce procédé finissent par être être abandonnées avant que le gazogène ne soit remis au goût du jour lors de l’Occupation durant la Seconde guerre mondiale durant laquelle les carburants se faisaient rares.
Malheureusement, le pétrole est toujours revenu prendre le dessus sur le gazogène.
Son utilisation est donc plutôt rare.
En effet, si les combustibles utilisés ont l’avantage d’être plus facilement disponibles contrairement aux carburants classiques ce gaz pauvre produit un faible rendement (inférieur à 15% contre plus de 40% pour les moteurs diesel).
Par ailleurs, les véhicules au gazogène sont extrêmement gourmands : pour un camion alimenté en gazogène, il faut compter environ 100 kg de bois pour parcourir 100 km.
Autre problématique : ce gaz pauvre est particulièrement dangereux puisqu’il est inflammable et est
très toxique pour l’organisme.
1 à 2% de ce gaz diffusé dans l’air ambiant peut être mortel.
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