Amine El Khatmi est le président du Printemps républicain, mouvement qu’il a cofondé en 2017. Pour combien d’adhérents aujourd’hui ? «1250 et 10 000 sympathisants abonnés à une newsletter ».
Il prône dans son livre Printemps républicain un « retour de l’ordre » sur fond de justice sociale et de protection. Des thèmes de droite pour un sympathisant de gauche ? « C’est être fidèle à ce qu’est une gauche républicaine qui se bat pour rétablir l’autorité de l’Etat, explique notre invité. La loi des caïds frappe toujours ceux qui sont dans les plus grandes difficultés. Il y a des quartiers où les dealers imposent leur loi et font régner la terreur. En tant qu’homme de gauche, je me sens obligé de m’occuper de cette question.»
Dans l’Opinion, Manuel Valls appelle à une pause de la politique migratoire. « Dans mon livre, je prône la fermeté et l’humanité, commente Amine El Khatmi. L’apprentissage de la langue, par exemple, est une condition indispensable à une bonne intégration ; il faut aller vers plus d’heures d’apprentissage. »
« Je suis pour qu’on maintienne des quotas d’accueil d’étudiants hors UE car c’est l’honneur de notre pays de former des étudiants qui viennent acquérir des connaissances. J’entends Zemmour qui dit qu’il ne faut pas accueillir les Afghans qui ont travaillé avec nos diplomates et militaires. C’est ridicule ! »
Le fil rouge de l’ouvrage est la fracture territoriale. A Marseille, Macron a annoncé des mesures. « Evidemment rafraîchir des cages d’escalier et des appartements, c’est important, mais si on ne s’attaque pas aux problèmes structurels de ces quartiers, on n’y arrivera pas : l’absence de mixité culturelle, l’absence de mixité sociale et des niveaux de délinquance importants (…). Ceux qui vivent crûment la réalité de ces quartiers, ils partent dès qu’ils le peuvent ! »
Il prône dans son livre Printemps républicain un « retour de l’ordre » sur fond de justice sociale et de protection. Des thèmes de droite pour un sympathisant de gauche ? « C’est être fidèle à ce qu’est une gauche républicaine qui se bat pour rétablir l’autorité de l’Etat, explique notre invité. La loi des caïds frappe toujours ceux qui sont dans les plus grandes difficultés. Il y a des quartiers où les dealers imposent leur loi et font régner la terreur. En tant qu’homme de gauche, je me sens obligé de m’occuper de cette question.»
Dans l’Opinion, Manuel Valls appelle à une pause de la politique migratoire. « Dans mon livre, je prône la fermeté et l’humanité, commente Amine El Khatmi. L’apprentissage de la langue, par exemple, est une condition indispensable à une bonne intégration ; il faut aller vers plus d’heures d’apprentissage. »
« Je suis pour qu’on maintienne des quotas d’accueil d’étudiants hors UE car c’est l’honneur de notre pays de former des étudiants qui viennent acquérir des connaissances. J’entends Zemmour qui dit qu’il ne faut pas accueillir les Afghans qui ont travaillé avec nos diplomates et militaires. C’est ridicule ! »
Le fil rouge de l’ouvrage est la fracture territoriale. A Marseille, Macron a annoncé des mesures. « Evidemment rafraîchir des cages d’escalier et des appartements, c’est important, mais si on ne s’attaque pas aux problèmes structurels de ces quartiers, on n’y arrivera pas : l’absence de mixité culturelle, l’absence de mixité sociale et des niveaux de délinquance importants (…). Ceux qui vivent crûment la réalité de ces quartiers, ils partent dès qu’ils le peuvent ! »
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