Stanislas Guerini, François Bayrou et Stéphane Séjourné appellent de leurs vœux depuis début septembre à la mise en place d’une « maison commune » pour la majorité en vue de la présidentielle. Le programme du candidat En Marche sera-t-il commun ? « C’est évidemment notre enjeu, explique Aurore Bergé, députée LREM des Yvelines et présidente déléguée du groupe En Marche à l’Assemblée. On a cheminé ensemble depuis la dernière campagne présidentielle. A partir du moment où François Bayrou a abandonné sa candidature pour soutenir Emmanuel Macron en 2017, on a cheminé et travaillé ensemble. La maison commune, ce sera Emmanuel Macron 2022 ! Et notre projet ne peut pas se réduire uniquement aux conséquences de la crise sanitaire, s’il faut continuer à protéger les Français, il faut aussi aller au-delà. »
Mardi soir, on connaîtra le candidat des écologistes pour l’élection présidentielle, Sandrine Rousseau ou Yannick Jadot. Sandrine Rousseau a construit son discours sur une certaine radicalité qu’on retrouve aussi chez Jean-Luc Mélenchon ou chez Eric Zemmour. Comment y faire face ? « La radicalité, ce n’est pas forcément l’outrance, tempère l’élue. Cela peut être des mesures radicales de transformation du pays, comme la transformation de notre système de retraite. Mais là, on confond radicalité et outrance. »
La droite, elle, n’a pas encore de candidat désigné mais plusieurs de ses candidats potentiels, dont Xavier Bertrand, accusent le chef de l’Etat sur la gestion de la dépense publique. Que répondre ? « Les dépenses existent et tout est public, répond Aurore Bergé. Depuis le début du mandat, dès qu’on a pris des décisions pour restaurer la confiance, on a eu la droite qui a contesté toutes les mesures ! Notamment sur la réforme des emplois aidés. A chaque fois qu’on a fait des réductions de la dépense publique, la droite est venue les contester. »
La France va prendre la présidence de l’Union européenne le 1er janvier prochain. Sa crédibilité est-elle entamée sur le sujet de la maîtrise de la dépense ? « La crédibilité de la France se matérialise dans le fait qu’on ait pu avoir un plan de relance européen ! C’était une première. Et quand le Président avait émis cette idée, on disait que l’Allemagne et les pays nordiques ne suivraient pas. La crédibilité de la France, c’est ce qu’on a réussi à démontrer au cœur de la crise. »
Dans un autre registre, Aurore Bergé se dit favorable au retour de l’uniforme à l’école. « Ce que je constate, note l’élue, c’est qu’on est un pays où tout le monde dit qu’on est de plus en plus fracturé, retranché dans des communautés. Avoir un sentiment d’appartenance commune au sein d’un établissement scolaire ne va pas régler tous les problèmes de l’école publique mais c’est l’un des leviers susceptibles de faire naître un sentiment d’unité, d’appartenance. »
Mardi soir, on connaîtra le candidat des écologistes pour l’élection présidentielle, Sandrine Rousseau ou Yannick Jadot. Sandrine Rousseau a construit son discours sur une certaine radicalité qu’on retrouve aussi chez Jean-Luc Mélenchon ou chez Eric Zemmour. Comment y faire face ? « La radicalité, ce n’est pas forcément l’outrance, tempère l’élue. Cela peut être des mesures radicales de transformation du pays, comme la transformation de notre système de retraite. Mais là, on confond radicalité et outrance. »
La droite, elle, n’a pas encore de candidat désigné mais plusieurs de ses candidats potentiels, dont Xavier Bertrand, accusent le chef de l’Etat sur la gestion de la dépense publique. Que répondre ? « Les dépenses existent et tout est public, répond Aurore Bergé. Depuis le début du mandat, dès qu’on a pris des décisions pour restaurer la confiance, on a eu la droite qui a contesté toutes les mesures ! Notamment sur la réforme des emplois aidés. A chaque fois qu’on a fait des réductions de la dépense publique, la droite est venue les contester. »
La France va prendre la présidence de l’Union européenne le 1er janvier prochain. Sa crédibilité est-elle entamée sur le sujet de la maîtrise de la dépense ? « La crédibilité de la France se matérialise dans le fait qu’on ait pu avoir un plan de relance européen ! C’était une première. Et quand le Président avait émis cette idée, on disait que l’Allemagne et les pays nordiques ne suivraient pas. La crédibilité de la France, c’est ce qu’on a réussi à démontrer au cœur de la crise. »
Dans un autre registre, Aurore Bergé se dit favorable au retour de l’uniforme à l’école. « Ce que je constate, note l’élue, c’est qu’on est un pays où tout le monde dit qu’on est de plus en plus fracturé, retranché dans des communautés. Avoir un sentiment d’appartenance commune au sein d’un établissement scolaire ne va pas régler tous les problèmes de l’école publique mais c’est l’un des leviers susceptibles de faire naître un sentiment d’unité, d’appartenance. »
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