En déplacement à Cognac, pour donner une conférence sur la démographie à l'invitation de l'Union patronale de la Charente, l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy s'est lancé dans une imitation inattendue de son successeur, François Hollande.
Evoquant le sujet du nucléaire, et plus particulièrement la centrale de Fessenheim, l'ex-chef de l'Etat (2007-2012) a ainsi raillé la décision prise par son homologue socialiste de fermer la centrale emblématique du Haut-Rhin, laquelle, a-t-il dit fournissait «80% de l’électricité de l’Alsace.» Nicolas Sarkozy a toujours répété son opposition à la fermeture de la centrale de Fessenheim, qui figurait parmi les promesses de campagne de François Hollande.
L'ancien président a ainsi demandé : «On avait peur de quoi ? D'un tsunami sur le Rhin ?». «On peut être pour ou contre l’énergie nucléaire, on peut débattre, mais on ne peut pas en débattre en racontant des sornettes.
Le grand accident nucléaire, c’est Tchernobyl et la faillite de Tchernobyl c’est la faillite du système communiste, soviétique, c’est pas le nucléaire», a en outre ajouté Nicolas Sarkozy.
Evoquant le sujet du nucléaire, et plus particulièrement la centrale de Fessenheim, l'ex-chef de l'Etat (2007-2012) a ainsi raillé la décision prise par son homologue socialiste de fermer la centrale emblématique du Haut-Rhin, laquelle, a-t-il dit fournissait «80% de l’électricité de l’Alsace.» Nicolas Sarkozy a toujours répété son opposition à la fermeture de la centrale de Fessenheim, qui figurait parmi les promesses de campagne de François Hollande.
L'ancien président a ainsi demandé : «On avait peur de quoi ? D'un tsunami sur le Rhin ?». «On peut être pour ou contre l’énergie nucléaire, on peut débattre, mais on ne peut pas en débattre en racontant des sornettes.
Le grand accident nucléaire, c’est Tchernobyl et la faillite de Tchernobyl c’est la faillite du système communiste, soviétique, c’est pas le nucléaire», a en outre ajouté Nicolas Sarkozy.
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