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L'ancien président de la République étant auditionné ce mercredi à l'Assemblée nationale dans le cadre de la commission d'enquête "visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France".

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Transcription
00:00 Alors, est-ce qu'il s'est passé la passation de pouvoir avec M. Hollande ?
00:04 (Musique)
00:06 (Musique)
00:08 (Musique)
00:36 Il aurait pu dire, bon, il y avait la campagne, pendant la campagne on dit des bêtises,
00:40 et puis au lendemain de la campagne, on n'est pas en cause.
00:43 Mais je me souviens du texto carillonnant de Mme Royal,
00:52 "Promesse tenue" au moment de la décision de fermer Fessenheim.
00:57 Pour reprendre la belle expression d'André Santini, ils ont été dans le mur en klaxonnant.
01:01 Mesdames et messieurs, excusez-moi, mais si le nucléaire est dangereux, pourquoi fermer Fessenheim ?
01:06 Enfin, il faut tomber sur la tête pour faire une chose comme ça.
01:11 Pourquoi, si le nucléaire est dangereux, admettons, allez, je me mets de l'autre côté,
01:15 le nucléaire est dangereux, ben, ferme tout.
01:18 Pourquoi ? Il faut sauver que les Alsaciens.
01:21 Je rappelle que le projet de Penly a été arrêté par François Hollande.
01:24 (Musique)
01:26 (Musique)
01:28 (Musique)
01:30 Pourquoi personne n'en sait rien ?
01:32 Puis repris, monsieur le Président, nous avons perdu 12 ans.
01:37 Pompidou a démodé De Gaulle, Giscard a démodé Pompidou, Chirac a démodé,
01:52 moi je l'ai un peu démodé, on ne peut pas dire à François Hollande qu'il ait démodé qui que ce soit.
01:59 Mais bon.
02:01 (Musique)
02:03 (Musique)
02:05 (Musique)
02:07 Merci d'avoir regardé cette vidéo !
02:09 [SILENCE]

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