Ségrégation des enfants métis : l'affaire a été entendue par le tribunal de Bruxelles
Lea Tavares Mujinga, Simone Vandenbroecke Ngalula, Monique Bitu Bingi, Noelle Verbeken et Marie Jose Loshi lors d'une audience dans l'affaire de cinq femmes belgo-congolaises contre l'État belge pour crimes contre l'humanité, jeudi 14 octobre 2021. Cinq femmes, nées au Congo , de mères congolaises et de pères coloniaux européens, sont parmi les victimes de la ségrégation des enfants métis au Congo à la fin de la période coloniale, ils ont été enlevés à leurs mères et placés dans des orphelinats.
Lea Tavares Mujinga, Simone Vandenbroecke Ngalula, Monique Bitu Bingi, Noelle Verbeken et Marie Jose Loshi lors d'une audience dans l'affaire de cinq femmes belgo-congolaises contre l'État belge pour crimes contre l'humanité, jeudi 14 octobre 2021. Cinq femmes, nées au Congo , de mères congolaises et de pères coloniaux européens, sont parmi les victimes de la ségrégation des enfants métis au Congo à la fin de la période coloniale, ils ont été enlevés à leurs mères et placés dans des orphelinats.
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