Alan-agency et IResearch ont mené une enquête (pour Schroders) auprès d’environ 24 000 investisseurs à travers le monde.
Résultat : 68% des sondés se déclarant investisseurs niveau expert/avancé considèrent que l’investissement durable est le moyen le plus sûr de garantir une rentabilité à long terme (contre 52% pour les investisseurs de niveau intermédiaire et 43% pour les novices).
37% d’entre eux affirment d’ailleurs s’intéresser à ces fonds car ils sont susceptibles d’offrir de meilleurs rendements.
Si la rentabilité reste évidemment l’une des principales sources d’attractivité, les valeurs sociales et l’impact environnemental prennent de plus en plus de place dans les décisions d’investissement.
"Lorsqu’on investit, il est évident que c’est pour faire fructifier son épargne. Je ne suis donc pas étonné que le rendement reste au cœur des préoccupations. Il est vrai qu’aujourd’hui, la question de savoir s’il est possible de faire de l’ESG sans renoncer à la performance en même temps existe toujours. Heureusement, plus le temps passe, plus on arrive à le démontrer." Yves Desjardins, directeur général de Schroders France pour Citywire.
Mais 48% des investisseurs (41% en France) déclarent que plus d’éducation sur l’investissement durable permettrait de les inciter à franchir le pas.
En France, les sondés considèrent qu’il est primordial d’engager le dialogue avec les entreprises sur 3 domaines :
- Le capital naturel et la biodiversité ;
- La gestion du capital humain ;
- Le climat.
Concernant l’impact, les thématiques de la santé et du bien-être, de l’eau propre et de l’assainissement et de l’éducation sont celles qui reviennent le plus tandis que d’autres sont délaissées.
"Constat alarmant, les questions de biodiversité aquatique et terrestre semblent actuellement être les sujets qui touchent le moins les investisseurs au global comme en France." Extrait de l’étude.
Info Durable en partenariat avec Schroders
Résultat : 68% des sondés se déclarant investisseurs niveau expert/avancé considèrent que l’investissement durable est le moyen le plus sûr de garantir une rentabilité à long terme (contre 52% pour les investisseurs de niveau intermédiaire et 43% pour les novices).
37% d’entre eux affirment d’ailleurs s’intéresser à ces fonds car ils sont susceptibles d’offrir de meilleurs rendements.
Si la rentabilité reste évidemment l’une des principales sources d’attractivité, les valeurs sociales et l’impact environnemental prennent de plus en plus de place dans les décisions d’investissement.
"Lorsqu’on investit, il est évident que c’est pour faire fructifier son épargne. Je ne suis donc pas étonné que le rendement reste au cœur des préoccupations. Il est vrai qu’aujourd’hui, la question de savoir s’il est possible de faire de l’ESG sans renoncer à la performance en même temps existe toujours. Heureusement, plus le temps passe, plus on arrive à le démontrer." Yves Desjardins, directeur général de Schroders France pour Citywire.
Mais 48% des investisseurs (41% en France) déclarent que plus d’éducation sur l’investissement durable permettrait de les inciter à franchir le pas.
En France, les sondés considèrent qu’il est primordial d’engager le dialogue avec les entreprises sur 3 domaines :
- Le capital naturel et la biodiversité ;
- La gestion du capital humain ;
- Le climat.
Concernant l’impact, les thématiques de la santé et du bien-être, de l’eau propre et de l’assainissement et de l’éducation sont celles qui reviennent le plus tandis que d’autres sont délaissées.
"Constat alarmant, les questions de biodiversité aquatique et terrestre semblent actuellement être les sujets qui touchent le moins les investisseurs au global comme en France." Extrait de l’étude.
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