Benjamin Amar : «Les Français en voudraient beaucoup aux organisations qui déliteraient ce ciment-là»

  • l’année dernière
Le porte-parole CGT 94, Benjamin Amar, au sujet de l'unité syndicale contre la réforme des retraites : «Je pense que toutes les organisations syndicales ont bien mesuré la profondeur de la colère, et le fait que les Français en voudraient beaucoup aux organisations qui déliteraient ce ciment-là». 

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Transcription
00:00 Rappelons-nous, il faut avoir un peu de mémoire sur les questions d'actualité sociale.
00:03 Souvenez-vous du mouvement qu'il y avait eu en 2019,
00:08 notamment sur la question des retraites, mais dans le champ ferroviaire.
00:12 Il y avait eu un moment où il y avait des organisations syndicales
00:15 plus tempérées que la CGT qui avaient dit que, par exemple, pendant les vacances de Noël,
00:20 il fallait qu'il y ait une trêve, mais sur le terrain, ça ne s'était pas passé comme ça.
00:23 Voilà. Donc, mais en tout cas, ce qui est certain, c'est qu'il faut qu'on garde,
00:26 mais je pense que tout le monde en est conscient,
00:28 ce ciment qui nous lie pour faire reculer et faire retirer cette réforme.
00:34 Et je pense que toutes les organisations syndicales ont bien mesuré la profondeur de la colère
00:39 et donc le fait que les Français et les travailleurs nous en voudraient beaucoup,
00:43 en voudraient beaucoup à l'organisation ou aux organisations qui déliteraient ce ciment-là.
00:47 [Musique]
00:51 [SILENCE]

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