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https://gotopnews.com/post/1627314
La naturopathie est une profession régulièrement secouée par des drames et soumise à nombreuses dérives.En question: Une absence totale supervision la part l'État. Mais la situation pourrait bientôt évoluer.Marie Chagneau Cet après-midi, Marie-Jeanne a un rendez-vous avec son naturopathe. Pendant plus d'une heure, la naturopathe a interrogé son client sur ses antécédents médicaux et son état général physique et mental. Pour 75 euros, Marie-Jeanne aura conseils de bon sens pour un meilleur style de vie et recommandations pour acheter huiles essentielles et compléments alimentaires. "Nous ne faisons pas de diagnostic" "Ce que j'aime quand je vais voir mon naturopathe, c'est ce côté bien-être, cette écoute, cette disponibilité que mon médecin ne dure pas. Cela dure 15 minutes, je reviens, il se dit à peine, demande la carte vitale ...", regrette Marie-Jeanne. "Nous sommes là en plus de la médecine traditionnelle" prévient Anouk Boisseau, Naturopathe. "Nous posons pas du tout de diagnostic, faisons pas de prescriptions, nous consultons pas, lisons aucune analyse. Ifa patient arrive expliquant qu'il veut arrêter son traitement, sa chimiothérapie ou ses antidépresseurs, clairement, il estdit que ce n'était pas possible. " Pas de contrôle d'état Ce naturopathe a fixé des limites, mais aucun cadre n'existe pour réglementer cette profession, et de nombreuses dérives sont possibles.Jeûné avec des patients, dont trois sont morts. Pour Alexandra Attalauziti, président l'Union nationale des professionnels la naturopathie, ces drames auraient pu être évités: "Je suis triste pouvoir entendre ce genre drame quand il a été alerte et que nous disons qu'il est dit que vous devez faire quelque chosePour protéger les utilisateurs «elle déplore». J'accepte également mes responsabilités, n'avons passé assez de temps pour dire non, nous ne sommes pas des magiciens, ne pouvons vous guérir », explique Alexandra Attalauziti. Ce représentant naturopathique regrette le manque de contrôle de l'État. De l'autre côté autorités publiques, nous nous assurons que des mesures seront prises lors assises contre les dérives sectaires en mars prochain. "Si vous avez un doute, parlez à un professionnel de la santé" En attendant, les utilisateurs inquiets peuvent en apprendre davantage sur le site Web No FakeMed, créé par des soignants qui luttent contre une désinformation saine. "Le message du collectif No FakeMed est: faites ce que voulez, mais si vous avez un doute, si avez une question sur l'arrêt chimiothérapie, votre médicament sur le diabète ... dites à un professionnel de la santé, ne restez pas seul, faceAvec ces questions où santé est en jeu ", a déclaré le Dr Pierre Bremond d'Ars, président du collectif No Fakemmed. En 2021, les pratiques de soins non conventionnelles ont fait l'objet de 700 rapp
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La naturopathie est une profession régulièrement secouée par des drames et soumise à nombreuses dérives.En question: Une absence totale supervision la part l'État. Mais la situation pourrait bientôt évoluer.Marie Chagneau Cet après-midi, Marie-Jeanne a un rendez-vous avec son naturopathe. Pendant plus d'une heure, la naturopathe a interrogé son client sur ses antécédents médicaux et son état général physique et mental. Pour 75 euros, Marie-Jeanne aura conseils de bon sens pour un meilleur style de vie et recommandations pour acheter huiles essentielles et compléments alimentaires. "Nous ne faisons pas de diagnostic" "Ce que j'aime quand je vais voir mon naturopathe, c'est ce côté bien-être, cette écoute, cette disponibilité que mon médecin ne dure pas. Cela dure 15 minutes, je reviens, il se dit à peine, demande la carte vitale ...", regrette Marie-Jeanne. "Nous sommes là en plus de la médecine traditionnelle" prévient Anouk Boisseau, Naturopathe. "Nous posons pas du tout de diagnostic, faisons pas de prescriptions, nous consultons pas, lisons aucune analyse. Ifa patient arrive expliquant qu'il veut arrêter son traitement, sa chimiothérapie ou ses antidépresseurs, clairement, il estdit que ce n'était pas possible. " Pas de contrôle d'état Ce naturopathe a fixé des limites, mais aucun cadre n'existe pour réglementer cette profession, et de nombreuses dérives sont possibles.Jeûné avec des patients, dont trois sont morts. Pour Alexandra Attalauziti, président l'Union nationale des professionnels la naturopathie, ces drames auraient pu être évités: "Je suis triste pouvoir entendre ce genre drame quand il a été alerte et que nous disons qu'il est dit que vous devez faire quelque chosePour protéger les utilisateurs «elle déplore». J'accepte également mes responsabilités, n'avons passé assez de temps pour dire non, nous ne sommes pas des magiciens, ne pouvons vous guérir », explique Alexandra Attalauziti. Ce représentant naturopathique regrette le manque de contrôle de l'État. De l'autre côté autorités publiques, nous nous assurons que des mesures seront prises lors assises contre les dérives sectaires en mars prochain. "Si vous avez un doute, parlez à un professionnel de la santé" En attendant, les utilisateurs inquiets peuvent en apprendre davantage sur le site Web No FakeMed, créé par des soignants qui luttent contre une désinformation saine. "Le message du collectif No FakeMed est: faites ce que voulez, mais si vous avez un doute, si avez une question sur l'arrêt chimiothérapie, votre médicament sur le diabète ... dites à un professionnel de la santé, ne restez pas seul, faceAvec ces questions où santé est en jeu ", a déclaré le Dr Pierre Bremond d'Ars, président du collectif No Fakemmed. En 2021, les pratiques de soins non conventionnelles ont fait l'objet de 700 rapp
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