La conférence de rentrée des Sports Mécaniques - CANAL+ - Vidéo Dailymotion

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00:01:21 - Bonjour.

00:01:22 Vous venez de découvrir pour la toute première fois

00:01:24 le nouveau générique des Sports Mécaniques sur Canal.

00:01:27 Il change pour la première fois depuis 10 ans.

00:01:29 Vous allez le voir, beaucoup de nouveautés.

00:01:31 Soyez tous les bienvenus pour cette conférence de rentrée

00:01:34 des Sports Mécaniques sur Canal en direct sur Dailymotion.

00:01:37 On a hâte, le compte à rebours est lancé.

00:01:40 Ça y est, pour la reprise des championnats du monde de Formule 1

00:01:43 et de MotoGP sur les antennes de Canal.

00:01:45 Bien sûr, nous sommes avec le directeur général de Canal+

00:01:48 en charge de l'antenne et des programmes, Gérald Brice-Viré.

00:01:51 Bonjour. - Bonjour.

00:01:52 - Merci d'être avec nous pour cette conférence de rentrée.

00:01:55 Et bien sûr, Thomas Sénécal, le patron des Sports du groupe Canal.

00:01:58 - Bonjour, Astrid. Bonjour, Gérald Brice.

00:02:00 - Alors, 10 ans, je le disais, 10 ans déjà

00:02:02 depuis que la Formule 1 est sur Canal+.

00:02:05 Une belle histoire, Gérald Brice, mais qui continue.

00:02:08 - Et qui va continuer longtemps. On va vous en parler dans un instant.

00:02:11 D'abord, vous remercier d'être avec nous cet après-midi

00:02:14 et vous dire que chez Canal, tout va bien.

00:02:17 - Sur le cinéma, à 6 mois, on a la meilleure offre

00:02:20 avec les meilleurs films, les box-office,

00:02:22 sur les séries, création originale, près de 50 par an.

00:02:25 Et sur le sport, on peut là aussi le dire,

00:02:27 nous avons la meilleure offre du marché.

00:02:29 Et dans cette offre sport, nous avons les sports mécaniques.

00:02:33 Quelle aventure depuis 10 ans.

00:02:35 Nous allons les fêter dignement cette année.

00:02:37 Près de 10 championnats différents.

00:02:39 Nouvel habillage, vous l'avez vu tout à l'heure, c'est magnifique.

00:02:42 On se sent vraiment dans une excellente dynamique.

00:02:46 On est là depuis le début.

00:02:48 Margot Laffite, Julien Fébraud, Jacques Villeneuve,

00:02:51 Franck Montagny, et tous les autres, ils attendent.

00:02:54 Dans quelques instants, ils nous ont aidés à assurer

00:02:57 près de 2 000 heures de direct depuis 10 ans.

00:03:01 10 000 interviews. On les a comptées.

00:03:03 201 grands prix de F1 depuis 2013.

00:03:06 Anniversaire particulier cette année,

00:03:09 avec en plus une popularité inédite pour la F1 et le moto GP.

00:03:14 Nous allons encore plus accélérer,

00:03:16 puisque nous allons intensifier leur présence sur nos chaînes,

00:03:20 sur MyKanal et également sur les réseaux sociaux.

00:03:23 Nous allons développer des nouveaux formats.

00:03:25 On vous en parle tout à l'heure avec des magazines

00:03:27 et bien sûr des documentaires, des formats longs.

00:03:30 Les scores sont au rendez-vous et ils confortent notre choix.

00:03:33 Les audiences sont de dingue.

00:03:35 En 2022, 23 millions de personnes différentes

00:03:38 ont regardé les sports méca sur Kanal+.

00:03:42 En F1, c'est près de fois 2 par rapport à la 1re saison.

00:03:46 On a un record pour la saison 2022 à 1,2 million de taux moyen.

00:03:51 Ca veut dire que sur un grand prix, c'est près de 3 à 4 millions d'abonnés

00:03:55 qui viennent chaque grand prix.

00:03:57 En moto GP, c'est fois 3 par rapport au diffuseur précédent,

00:04:01 sans le nommer, et c'est un record également pour 2022.

00:04:04 On est près à 800 000 téléspectateurs et abonnés en taux moyen,

00:04:08 ce qui fait à peu près près de 2 millions d'abonnés.

00:04:11 Ces compétitions s'inscrivent naturellement dans notre offre,

00:04:16 avec à la fois une programmation de journée

00:04:18 versus les autres sports en prime time,

00:04:21 et ça s'inscrit en toute complémentarité.

00:04:23 C'est idéal en termes d'âge,

00:04:26 puisque nous avons recruté des nouveaux abonnés ES et EES,

00:04:30 puisque ce sont les compétitions les plus féminines de notre offre

00:04:34 et on est à moins de 50 ans de moyenne d'âge.

00:04:37 Donc c'est vraiment des sports d'avenir.

00:04:41 C'est une image de marque incroyable,

00:04:43 c'est un savoir-faire, une expertise incroyable avec notre équipe,

00:04:46 et c'est avec beaucoup de plaisir

00:04:48 que j'ouvre cette conférence de presse pour cette nouvelle saison

00:04:51 et que je vous demande d'accueillir maintenant

00:04:53 le directeur des sports, Thomas Sénécal.

00:04:56 -On a envie d'applaudir, comme des fous !

00:04:58 -C'est une conférence de presse en visio,

00:05:00 donc les applaudissements sont virtuels.

00:05:02 -Les gens peuvent applaudir depuis...

00:05:04 -Ca m'a rappelé les débuts à l'antenne.

00:05:07 -On est très heureux de fêter cette décennie de Sport Meca

00:05:10 sur Canal, mais il faut aussi, et c'est là qu'on est heureux,

00:05:13 se projeter.

00:05:14 -Il y a la décennie qui est derrière nous,

00:05:16 on l'assavoure, mais on l'oublie aussi,

00:05:19 et c'est normal.

00:05:20 Et la décennie qui est face à nous,

00:05:22 et c'est très important, parce que les droits des sports mécaniques

00:05:25 sont sur Canal+, pour longtemps.

00:05:27 2029, pour la Formule 1, au moins.

00:05:30 Idem pour la MotoGP.

00:05:31 2030, pour le rallye, qui nous emmène complètement

00:05:34 dans un futur, dans une autre décennie.

00:05:36 Et ça nous permet de voir loin, et ça nous permet surtout

00:05:40 de développer une vision, d'investir dans des équipes,

00:05:43 dans des talents et dans des contenus,

00:05:45 avec ton soutien, Gérald Brice, avec celui de notre président,

00:05:48 Maxime Salada, et de toutes les directions de Canal+.

00:05:51 Les sports mécaniques en particulier ressentent avec beaucoup

00:05:54 d'émotion et de plaisir un énorme soutien et un énorme élan

00:05:58 dans toute l'entreprise et dans tout le groupe.

00:06:00 Voir loin, ça permet aussi de s'appuyer sur de nouvelles chaînes

00:06:04 qu'on a lancées en septembre, de développer MyCanal,

00:06:07 des séries de documentaires autour des sports mécaniques,

00:06:10 d'aller encore plus loin aussi sur nos directs,

00:06:13 sur un tout nouveau plateau, celui-ci,

00:06:15 Canal+ a déménagé l'été dernier et cette saison,

00:06:18 les amateurs de Formule 1, les amateurs de MotoGP,

00:06:20 verront ce tout nouveau plateau qu'on inaugure aujourd'hui.

00:06:23 Voir loin, c'est aussi créer un tout nouvel environnement graphique,

00:06:26 tu en as parlé, Gérald Brice, nouveau générique,

00:06:29 alors on ne change pas tous les ans des génériques

00:06:31 de cette qualité-là, c'est la première fois en 10 ans

00:06:34 qu'on a une nouvelle identité graphique, le brief

00:06:37 que la direction artistique a donné à l'agence

00:06:40 qui a réalisé ces contenus, c'est d'aller chercher

00:06:42 de l'émotion, d'envelopper, de faire se dresser les poils

00:06:45 sur les bras des gens qui écoutent ces génériques

00:06:47 et je crois que l'effet Doppler au niveau du son

00:06:49 provoque bien ça, c'est très réussi, c'est coloré,

00:06:52 c'est disruptif, c'est enveloppant et c'est un nouveau départ aussi

00:06:55 pour les sports mécaniques.

00:06:56 Et puis enfin, voir loin, et j'y tiens,

00:06:59 c'est approfondir la relation avec les ayants droit,

00:07:02 avec la Formule 1 d'un côté, avec la Dorna de l'autre,

00:07:05 côté MotoGP, qui sont des ayants droit,

00:07:08 mais surtout des partenaires qu'on écoute, qui nous écoutent

00:07:11 et avec qui on a envie ensemble de faire grandir

00:07:14 l'ensemble des sports mécaniques sur les antennes de Canal.

00:07:16 - Alors ça permet de se projeter loin, effectivement,

00:07:18 mais pour juste cette saison, on peut aussi dire

00:07:20 qu'on a de plus en plus de rendez-vous.

00:07:21 - Absolument, les ayants droit en question

00:07:24 travaillent beaucoup pour nous et multiplient le nombre

00:07:26 de rendez-vous pour le grand plaisir de nos abonnés, bien sûr.

00:07:28 C'est parfois un petit peu plus dur pour les équipes

00:07:30 de tenir un rythme incroyable aux quatre coins du monde.

00:07:32 Il y a 23 Grands Prix de F1 en 2023,

00:07:36 il y a 21 Grands Prix Moto, et quand, comme nous,

00:07:38 on tient la promesse du direct, eh bien ça multiplie,

00:07:41 ça augmente le nombre d'heures de direct.

00:07:43 Je l'ai dit, on a lancé deux chaînes en septembre.

00:07:45 Elles sont non seulement utiles, mais aussi nécessaires

00:07:48 quand s'en revient la saison de la Moto et de la F1.

00:07:51 Pour la Moto, les vendredis et samedis,

00:07:53 c'est sur Canal+ Sport 360,

00:07:55 l'une des deux nouvelles chaînes qu'on a lancées en septembre.

00:07:59 Pour la F1, les essais et les qualifications

00:08:01 seront retrouvés sur Canal+ Sport.

00:08:03 Donc on attend aussi beaucoup, en 2023,

00:08:06 d'un rendez-vous extrêmement nouveau et extrêmement attendu.

00:08:10 C'est Las Vegas, ça se passera en fin de saison,

00:08:12 mais on a vraiment hâte de voir un petit peu

00:08:15 et de comparer avec le Grand Prix de Miami l'année dernière.

00:08:18 La F1 a créé quelque chose de nouveau,

00:08:20 c'est la fièvre du dimanche après-midi.

00:08:22 Dans le passé, on connaissait celle du samedi soir.

00:08:24 Je trouve que ces dernières saisons, c'est ce qui s'est passé,

00:08:27 en particulier sur nos antennes en moto et en F1,

00:08:29 la fièvre du dimanche après-midi.

00:08:31 -La fièvre du direct, bien sûr, mais l'expérience ne s'arrête pas là,

00:08:34 elle va bien au-delà.

00:08:35 -La fièvre du dimanche après-midi, elle touche nos duos de commentateurs,

00:08:39 Julien Fébraud et Jacques Villeneuve,

00:08:41 Romain Grosjean également, qui participera

00:08:43 à de nombreux Grands Prix cette année, ou Jean Alési,

00:08:45 et puis elle touche aussi le duo Laurent Riga,

00:08:47 Randy Depunier.

00:08:49 On est très forts sur les directs, ils nous font vibrer,

00:08:51 ils nous font rêver, lorsque les Français gagnent,

00:08:53 en particulier, mais pas seulement,

00:08:54 ils ont cette capacité à transmettre de l'émotion

00:08:57 et à être extrêmement experts sur les événements,

00:08:59 mais on est aussi très riches, en dehors de notre direct,

00:09:01 de tout ce qui fait la différence de Canal+,

00:09:03 les émissions d'accompagnement, le mode expert,

00:09:05 l'enrichissement de l'expérience sur le mode expert,

00:09:07 il sera flagrant cette année, avec encore plus de flux

00:09:11 de caméras embarquées disponibles, on propose des émissions,

00:09:14 des documentaires, j'y reviendrai, d'ailleurs,

00:09:16 en fin de conférence de presse, on multiplie les rendez-vous

00:09:18 sur les réseaux sociaux, c'est très important pour toi,

00:09:20 Gérald Brice, et pour nous tous, et les sponsors caniques

00:09:23 sont pionniers en la matière, Julien, en particulier,

00:09:26 mais aussi toute l'équipe dans son sillage,

00:09:28 qui a de nombreux rendez-vous comme ça avec des fans

00:09:31 ou des futurs fans.

00:09:32 Ce qui est important, c'est que le public des sports méca

00:09:34 a beaucoup augmenté, et on se doit d'accueillir

00:09:37 les nouveaux fans, les nouvelles personnes qui aiment

00:09:40 les sports mécaniques, comme ceux qui étaient là

00:09:43 à la première heure en 2013, avec des contenus,

00:09:45 d'un côté, qui permettent de vulgariser, de bien comprendre

00:09:48 et d'accueillir les néophytes, et en même temps,

00:09:50 d'en donner toujours plus aux hyperfans de 2013.

00:09:53 Et c'est la feuille de route que j'ai tracée aussi

00:09:56 pour l'équipe F1 et pour l'équipe sport mécanique,

00:09:58 qui est dirigée désormais par Nicolas Alix,

00:10:01 et je suis sûr qu'avec toute l'équipe,

00:10:02 ils sauront relever ce défi.

00:10:03 -On va rentrer dans le détail de tout ce que vous avez annoncé.

00:10:06 Effectivement, s'adapter à chaque abonné,

00:10:09 c'est là, effectivement, la grande force du dispositif.

00:10:11 Merci beaucoup, Gérald Brice, d'avoir été avec nous

00:10:13 pour ce lancement de conférence de rentrée.

00:10:15 -C'est bonne saison à toutes et à tous.

00:10:16 -Merci beaucoup.

00:10:17 Alors, vous avez l'habitude de vivre des émotions fortes

00:10:20 en regardant les sports méca sur Canal.

00:10:23 Et bien, cette saison, encore plus d'émotions,

00:10:25 encore plus de frissons.

00:10:26 -Soyez les bienvenus sur Canal+.

00:10:29 Il y a très nombreux à nous suivre sur les antennes de Canal.

00:10:33 Il y a énormément d'excitation.

00:10:35 -C'est la ferveur et la passion qui lient le public au sport mécanique.

00:10:38 -Une saison absolument incroyable.

00:10:40 -Un titre couronne la vitesse.

00:10:44 La volonté.

00:10:48 Mais plus que tout,

00:10:51 la maîtrise des émotions.

00:10:53 -Plus que jamais, faites-nous rêver.

00:10:55 -Les émotions et les frissons seront garanties.

00:10:58 -J'ai qu'un objectif en tête, et c'est la victoire.

00:11:00 ...

00:11:11 -Dans la chicane, c'est un génie !

00:11:14 -La Ferrari face à la Red Bull.

00:11:15 -Attention de ne pas tout perdre !

00:11:16 ...

00:11:17 -Et il tombe !

00:11:19 -Que font-ils ? -Ignorant !

00:11:21 -Énorme accident ! -Non ! Fabio est à terre !

00:11:23 -C'est fou !

00:11:24 ...

00:11:27 -Être champion du monde est l'accomplissement ultime.

00:11:30 ...

00:11:32 -Et nous avons un nouveau champion du monde !

00:11:35 Il l'a fait ! Grand Lune, Pécore !

00:11:38 -Mais plus que remporter le titre,

00:11:40 le plus dur n'est-il pas surtout...

00:11:42 -Max Verstappen !

00:11:44 -New Time World Champion !

00:11:46 -De réussir à le conserver.

00:11:47 -Il faudra remettre les compteurs à zéro.

00:11:49 Ce sera une autre histoire.

00:11:51 Et il faudra la vivre sur Canal+.

00:11:55 ...

00:11:57 -Ca a été une année où j'ai appris énormément.

00:12:00 -La suite de l'histoire, vous le savez plus que jamais,

00:12:03 c'est Canal qui vous la raconte.

00:12:05 ...

00:12:07 -Voilà ce qui vous attend pour cette nouvelle saison

00:12:10 de Sport Meca sur Canal.

00:12:11 Une partie de l'équipe est venue nous rejoindre.

00:12:13 On commence par la gauche.

00:12:14 Margot Laffitte. -Salut, Margot.

00:12:16 -Pauline Sanzé. -Bonjour.

00:12:17 -Et Julien Fébraud. -Bonjour.

00:12:18 -Mesdames, vous faites à la fois la moto et la F1.

00:12:21 Et Julien, évidemment, monsieur Formule 1 de Canal.

00:12:24 Tous les deux, vous êtes inséparables.

00:12:27 Vous vous quittez pas, même en dehors de la saison.

00:12:30 -On est passés ensemble. -Vos hivers ensemble.

00:12:32 Je dis ça, évidemment, le trophée Andros,

00:12:34 que vous avez remporté.

00:12:35 On a une belle paire de champions.

00:12:38 On a un très beau podium pour le trophée Andros à Superbest.

00:12:41 C'est Julien qui termine numéro 1, qui remporte dans sa catégorie.

00:12:44 Et Margot, 2e, félicitations.

00:12:46 -Même si on voit, c'était en Andorre,

00:12:48 vous ne faites pas de cadeaux.

00:12:50 -Pourquoi on s'en ferait ? Non.

00:12:52 On est des compétiteurs.

00:12:53 Exactement.

00:12:54 -C'est qui le plus rapide ?

00:12:55 -Julien, c'est lui qui a gagné.

00:12:58 -Ca dépend des jours.

00:12:59 Ca dépend des jours.

00:13:00 Mais c'est bien, on a offert un beau spectacle.

00:13:02 On l'a vécu sur les antennes de Canal, en plus, tout cet hiver.

00:13:05 -Hier, vous étiez encore ensemble, avec une partie de l'équipe

00:13:09 et des abonnés, pour faire du karting.

00:13:11 C'est un peu le lancement des célébrations pour les 10 ans.

00:13:14 -On avait envie de partager avec les abonnés Canal

00:13:16 ce moment et quoi de mieux que de retrouver

00:13:18 des compétiteurs parfois un peu tricheurs sur les départs,

00:13:21 mais on ne donnera pas de noms.

00:13:24 L'essentiel, c'est qu'il n'y a pas eu de blessés.

00:13:26 En tout cas, chez les abonnés, il n'y en a pas eu.

00:13:28 On a passé un très bon moment avec eux.

00:13:30 -Il y en a qui vont arriver en clodiquant, mais c'est pas grave.

00:13:33 -Vous avez vu comment.

00:13:35 -Margot, on vous retrouve cette saison sur la Formule 1 et sur la moto.

00:13:38 Comme Pauline, d'ailleurs.

00:13:39 Pauline, qui vit de l'intérieur des padocs, les Grands Prix,

00:13:42 à la fois en moto et en Formule 1.

00:13:45 Y a-t-il de grosses différences entre un padoc de moto et de Formule 1 ?

00:13:48 -Ca reste un padoc. Je parle sur le contrôle de marge.

00:13:51 Tu peux compléter.

00:13:52 En F1, déjà, moi, j'ai découvert ça.

00:13:54 C'est juste grandiose, c'est incroyable.

00:13:56 J'avais l'impression d'être une enfant de 5 ans

00:13:59 qui arrive dans un parc d'attractions.

00:14:01 Les hospitalités, c'est juste fou.

00:14:03 En moto, on est vraiment tout près des pilotes, jusqu'au bout,

00:14:06 jusqu'à ce qu'ils rentrent dans le garage.

00:14:08 On peut les côtoyer, on les voit.

00:14:11 C'est un peu plus dangereux, le padoc de moto,

00:14:13 et on peut manquer de se faire renverser,

00:14:15 alors qu'en F1, à parler Wiss Hamilton sur sa trottinette,

00:14:18 y a moins de risques.

00:14:19 -Alors, 10 ans, on le disait, je pense que vous vous rappelez très bien

00:14:22 quand c'était et où c'était.

00:14:24 2013, 1er Grand Prix de la saison, à l'époque, c'était en Australie.

00:14:27 Tiens, salut, Thomas et Franck !

00:14:29 Facile, 10 ans !

00:14:31 -Les dossiers ressortent. -C'est normal.

00:14:33 Salut, Julien !

00:14:35 -Et mince.

00:14:36 -Très bon souvenir.

00:14:37 A quelques secondes de l'antenne et de la prise d'antenne,

00:14:40 la caméra était récalcitrante.

00:14:43 Jacques n'arrivait pas à mettre ses oreillettes.

00:14:45 On avait une caméra en deux pièces à H-30 secondes.

00:14:48 -Il avait oublié sa chemise. -Absolument.

00:14:50 Finalement, tout s'était aligné, bien mis au moment de la prise d'antenne.

00:14:54 Ca ne s'était pas vu. C'est un super souvenir.

00:14:57 Ca va faire 10 ans.

00:14:58 Il y a 10 ans, jour pour jour, on ne savait pas

00:15:01 que quelques semaines plus tard, nous serions tous ensemble

00:15:04 sur les Grands Prix.

00:15:05 -C'était le 14 février. -Absolument.

00:15:07 -Vous avez appelé Jacques Villeneuve immédiatement ?

00:15:10 -Ca s'est fait dans les heures qui ont suivi.

00:15:12 A la hâte.

00:15:13 Ce qui est sympa, c'est de voir que non seulement

00:15:16 on avait choisi très vite, mais on avait choisi très bien.

00:15:19 Julien, Margot, Laurent Dupin... -Ils vont arriver.

00:15:22 -Franck Montagny, Jean Alési.

00:15:24 Tous ces gens-là font partie de l'aventure depuis le début.

00:15:27 On est ravis d'avoir ce savant mélange de continuité

00:15:30 et de nouveauté incarné par Pauline,

00:15:32 d'autres journalistes de l'équipe ou d'autres consultantes.

00:15:36 -On est en liaison avec Jacques Villeneuve.

00:15:38 Il était là le premier jour, il y a 10 ans.

00:15:41 Il est là 10 ans après avec nous.

00:15:43 Bonjour, Jacques. Vous êtes en transit dans un train.

00:15:46 10 ans, déjà, ça passe vite.

00:15:49 C'est le train qui va trop vite pour la liaison, je pense.

00:15:54 -C'est le problème de la vitesse.

00:15:57 La technologie ne suit pas.

00:15:59 10 ans, 10 ans, c'est hallucinant.

00:16:01 Quand on a commencé, c'était quelque chose de nouveau, d'excitant.

00:16:06 Mais vraiment, on ne s'attendait pas à ce que le temps passe aussi vite.

00:16:11 Ma carrière a été plus longue à côté de Julien

00:16:13 que dans un baquet de monoplastes.

00:16:16 -Vous êtes prêt à revivre cette nouvelle décennie ?

00:16:19 -Absolument. Ce qui me fait plaisir, c'est que mon Jacques

00:16:22 est comme il y a 10 ans, compétiteur et compétitif.

00:16:25 On a beaucoup de chance d'avoir sur les antennes de Canal+,

00:16:29 des consultants qui sont dans le match, dans le game.

00:16:32 Je sais que je vais avoir un Jacques en pleine énergie toute la saison.

00:16:36 J'ai hâte de te retrouver.

00:16:39 -Jacques a mis une chemise à carreaux. Il est bien dans la saison.

00:16:42 -C'est pour que le train soit excitant.

00:16:45 Je pensais que la chemise à carreaux allait aider.

00:16:48 On se prépare pour la saison.

00:16:50 -Merci d'avoir été en direct avec nous pour cette conf de rentrée.

00:16:54 Bon voyage. Buon viaggio.

00:16:56 A très vite.

00:16:57 -Je descends à Versailles-Chantier.

00:16:59 -On va préciser dans quelques instants ce qui nous attend avec la F1.

00:17:04 Mais d'abord, la moto.

00:17:05 Merci, Thomas. On vous retrouve dans quelques instants.

00:17:08 On va parler moto avec Margot, Pauline et tout le reste de l'équipe.

00:17:13 D'abord, le nouveau générique de la moto.

00:17:16 ...

00:17:28 Musique rythmée

00:17:31 -Et boum !

00:17:32 ...

00:17:35 J'ai envie de tout casser.

00:17:37 ...

00:17:39 -Enorme.

00:17:40 -Je voulais juste pousser mon maximum.

00:17:43 ...

00:17:46 -Il attaque de nouveau !

00:17:48 -93 !

00:17:49 ...

00:17:52 -La chute ! La chute de Pécot !

00:17:54 -Il est énorme, ce chute !

00:17:56 ...

00:17:59 ...

00:18:04 -Voilà un nouveau générique de la moto.

00:18:06 L'équipe moto nous a rejoints pour cette conf de rentrée.

00:18:10 Toujours aux côtés de Margot, la fitte, Laurent Régal.

00:18:13 -Bonjour. -Randy Depunier.

00:18:15 -Bonjour. -Merci d'être avec nous.

00:18:18 C'est pas l'endroit où vous avez l'habitude d'être,

00:18:21 mais ça nous fait plaisir de vous avoir en plateau.

00:18:24 -Bonjour, Astrid. Ca va ? -Oui.

00:18:26 -Et Louis Rossi. -Bonjour.

00:18:28 -En pleine forme, Louis ? -Tout va bien.

00:18:31 -Tout va bien. -Tout va bien.

00:18:34 -Parfait. Voilà une partie de l'équipe.

00:18:36 Avant de se plonger...

00:18:38 On va commencer avec Jules. Il a la particularité

00:18:41 d'être au plus près des pilotes jusqu'au dernier moment.

00:18:45 C'est lui à côté de Fabio Quartararo.

00:18:47 -C'est un moment privilégié qu'on a la chance de partager avec Randy,

00:18:51 notamment autour de Fabio Quartararo, de Péco Bagnaya.

00:18:54 C'est là où on voit vraiment...

00:18:57 On peut pas dire que la course va se décider là,

00:19:00 mais c'est des moments importants.

00:19:02 On voit le visage des pilotes, plus ou moins de pression,

00:19:05 de stress. C'est particulièrement vrai sur le visage de Fabio Quartararo.

00:19:09 -Et puis, on a de la chance qu'il nous parle

00:19:12 avant de monter sur sa machine.

00:19:14 Le travail de Jules est difficile, car il faut poser les bonnes questions.

00:19:19 Le pilote est dans sa bulle, il faut pas le déstabiliser.

00:19:22 C'est un exercice pas facile, mais c'est toujours sympa

00:19:25 d'avoir les impressions des pilotes

00:19:28 pour un moment important pour eux.

00:19:30 -C'est une expérience pour les abonnés,

00:19:32 quand on regarde les Grands Prix.

00:19:34 Jules, un calendrier très chargé pour cette nouvelle saison.

00:19:38 -Un calendrier record. 21 courses qui nous attend cette année.

00:19:42 Ca débutera au Portugal dans 46 jours.

00:19:44 On a compté avec Randy. -Le compte à rebours.

00:19:47 -Huit mois de compétition pour nous emmener jusqu'à Valence,

00:19:51 le 26 novembre.

00:19:52 Alors, 21 courses, mais 42,

00:19:54 parce que Laurent l'expliquera dans quelques instants.

00:19:57 L'arrivée des courses sprint, cette année.

00:20:00 On retiendra aussi une date, le week-end du 12, 14 mai,

00:20:03 le Grand Prix de France sur le circuit Bugatti.

00:20:06 Ca va être un moment très important.

00:20:09 On vous prépare plein de surprises lors de ce week-end fabuleux.

00:20:12 -Ca fait partie des célébrations.

00:20:15 Cette saison, il y a un nouveau programme.

00:20:17 Le format change.

00:20:19 -Un format complètement différent.

00:20:21 Ca, c'est une grande nouveauté.

00:20:23 On a décidé de dynamiser les week-ends,

00:20:26 notamment le samedi, puisqu'il y aura la course sprint.

00:20:29 Une course supplémentaire,

00:20:31 qui fera la moitié d'une course classique du dimanche.

00:20:34 Les points seront donnés de moitié par rapport aux points normaux.

00:20:38 Mais vraiment, on voulait dynamiser ces journées-là.

00:20:41 Ca va vraiment être le cas.

00:20:43 Vous voyez comment ça va se passer.

00:20:46 On va avoir des qualifications le samedi matin

00:20:48 et on va enchaîner avec la course sprint à 15h.

00:20:51 On va enchaîner à 14h le dimanche.

00:20:53 L'organisateur du MotoGP dit que la course du dimanche

00:20:57 reste la course principale.

00:20:58 Mais on aura donc 42 courses.

00:21:01 Ca, c'est assez incroyable.

00:21:03 Ca va dynamiser aussi le vendredi,

00:21:05 car il faudra être le plus rapide sur une journée

00:21:08 pour se qualifier directement pour la Q2.

00:21:11 On a hâte de voir ce que ça va se passer.

00:21:13 -On aura 42 "et boum"

00:21:15 ou le samedi pour la course sprint,

00:21:18 ce sera "et bim".

00:21:19 -Peut-être. Et paf !

00:21:21 -Et pourquoi pas ?

00:21:23 Allez, qui dit moto, dit Fabio Quartararo, bien évidemment.

00:21:27 Salut, Fabio, merci d'être en direct avec nous.

00:21:30 Vous êtes déjà en Malaisie,

00:21:31 car il y a des tests de sépang qui commencent après-demain.

00:21:35 Est-ce que vous avez déjà un tout premier retour

00:21:38 pour savoir à quoi ressemble...

00:21:40 Comment va être cette Yamaha cette saison ?

00:21:43 -Alors, j'ai eu l'opportunité

00:21:45 d'assister à la dernière journée de test en Malaisie

00:21:49 avec Al Khoshlaw.

00:21:51 Donc, ça a l'air bien,

00:21:53 ça a l'air plutôt...

00:21:55 plutôt bon.

00:21:56 Mais voilà, je préfère attendre vraiment le verdict

00:22:00 et finir les 3 jours de test.

00:22:02 -Il y a un appel. -Et voilà.

00:22:05 J'ai eu un double appel, désolé.

00:22:07 -C'est pas grave.

00:22:09 -De ce qu'on entend, Fabio.

00:22:11 -Mais voilà, j'ai vraiment hâte de commencer dans 2 jours

00:22:14 les premiers tests.

00:22:16 -De ce qu'on entend, de ce qu'on a vu lors des premiers tests,

00:22:19 notamment votre équipier, on a vu que ça allait plus vite en ligne droite.

00:22:24 On vous connaît, Fabio, le petit rictus d'entrée avant les essais.

00:22:28 C'est bon signe. Vous pouvez nous en dire un peu plus ?

00:22:31 -Plus, je peux pas trop en dire,

00:22:33 mais en tout cas, je peux dire que Yamaha a vraiment travaillé très dur.

00:22:38 Ils ont apporté énormément de nouveautés,

00:22:40 énormément de pièces à essayer.

00:22:43 Et ça, c'est quelque chose qu'on n'avait pas vraiment d'habitude

00:22:46 dans les 3 dernières années,

00:22:49 donc quelques petits détails.

00:22:50 On n'a pas eu l'opportunité d'essayer beaucoup de choses.

00:22:54 Et là, on va avoir 3 jours très chargés, donc ça va faire du bien.

00:22:58 -Est-ce que vous pouvez, d'ores et déjà, Fabio,

00:23:01 faire une petite promesse,

00:23:03 donner des rendez-vous pour les abonnés de canal ?

00:23:06 -Une promesse, je peux pas vraiment en donner,

00:23:08 mais un objectif, il est clair, c'est de battre pour le championnat.

00:23:12 Donc une promesse, je peux pas la faire, en tout cas.

00:23:16 J'ai qu'une chose en tête, c'est d'avoir une deuxième étoile.

00:23:19 -Nous aussi.

00:23:20 On te le souhaite, en tous les cas,

00:23:22 comme dit une grande figure de canal, Laurent Paganelli.

00:23:25 -Il est en boîte de nuit, là, Fabio ?

00:23:28 -Alors, déjà, je suis descendu 10 minutes en avance.

00:23:32 On est dans un restaurant,

00:23:34 mais j'ai dû descendre parce que la musique était un peu forte.

00:23:38 -Merci.

00:23:39 Comment va ton poignet, Fabio ?

00:23:41 -Il est très...

00:23:43 Très bien.

00:23:44 J'ai pu vraiment faire une bonne...

00:23:48 Comment dire ? Un bon hiver.

00:23:49 Je suis parti aux Etats-Unis pendant 3 semaines,

00:23:52 mais surtout, dans les 10 derniers jours,

00:23:55 j'ai fait 8 fois de la moto,

00:23:57 donc je pense que ça va déjà aller.

00:24:00 -OK.

00:24:01 -Bonsoir.

00:24:02 -Merci beaucoup.

00:24:03 Bonne soirée,

00:24:04 parce qu'il est un peu tard le soir en Malaisie.

00:24:07 On sera évidemment avec vous, Fabio,

00:24:10 pour la découverte de cette nouvelle moto pour cette saison.

00:24:13 Après-demain, les tests sur nos antennes.

00:24:16 Merci. Bonne soirée et bonne reprise.

00:24:18 -Merci beaucoup.

00:24:19 Désolé pour la connexion, mais ça va.

00:24:21 -Pas de souci. La Malaisie, c'est loin, aussi.

00:24:24 Merci beaucoup.

00:24:25 Merci, Fabio Laurent.

00:24:27 Évidemment, cette saison,

00:24:29 on attend une reconquête de titres pour Fabio.

00:24:31 -Evidemment.

00:24:33 C'est vrai qu'on s'est aperçu sur la saison passée

00:24:36 que le talent, la vitesse, il l'a.

00:24:38 Fabio Cuartaro, en performance pure, c'est le meilleur.

00:24:41 Maintenant, cette Ducati de Francesco Bagnaglia

00:24:44 est l'arme fatale absolue.

00:24:46 Elle est bonne partout.

00:24:47 Francesco Bagnaglia est un excellent pilote.

00:24:50 Il va très vite et il a prouvé, lui aussi,

00:24:52 qu'il s'était amélioré.

00:24:53 Il a progressé dans tous les niveaux,

00:24:56 parce que le mental, qu'il lui manquait peut-être un peu,

00:24:59 est vraiment excellent.

00:25:00 Il a rattrapé 91 points sur la dernière partie de la saison.

00:25:04 Il sera très fort avec le bon matériel.

00:25:06 Fabio a une Yamaha compétitive avec plus de performance,

00:25:09 plus de vitesse de pointe, notamment,

00:25:11 une meilleure accélération,

00:25:13 avec le matériel équivalent.

00:25:15 Il a ses chances de reconquérir le titre

00:25:18 et il le veut tellement, ce titre.

00:25:20 Donc, ça risque d'être une saison très importante

00:25:23 avec d'autres pilotes, comme Marc Marquez, par exemple,

00:25:26 qui lui aussi veut du bon matériel.

00:25:28 -Ils sont nombreux, les pilotes, qui peuvent prêter en retour.

00:25:33 -Il y en a énormément.

00:25:34 On en a vu aussi progresser tout au long de la saison.

00:25:37 C'est pour ça que Fabio Cuartaro a eu une 2e partie de saison

00:25:41 un peu plus compliquée.

00:25:42 Donc, ça va être très dur.

00:25:44 Mais il fait partie des prétendants au titre.

00:25:46 C'est sûr que si sa moto est plus performante que l'an passé,

00:25:50 ça va l'aider.

00:25:51 Mais entre les Ducati, les Apria, les KTM,

00:25:54 qui vont revenir, je pense, pas mal, cette saison,

00:25:57 au plus haut niveau, la Honda avec Marquez,

00:26:00 il y a beaucoup de monde, et tant mieux.

00:26:02 On espère qu'il ira chercher cette 2e étoile.

00:26:05 -On espère, évidemment.

00:26:06 Et on a un autre pilote français, qui fait partie des prétendants,

00:26:10 Johan Zarco.

00:26:11 Johan, qui est aussi en direct avec nous depuis Sepang.

00:26:14 Merci beaucoup d'être en direct avec nous.

00:26:17 On l'attend impatiemment.

00:26:19 C'est pour cette saison, votre 1re victoire en MotoGP ?

00:26:22 -Certainement, parce qu'il le faut, à un moment donné,

00:26:27 vous évoquez le coup d'oeuvre.

00:26:29 C'est impatient, peut-être, difficile à dire.

00:26:34 En tout cas, heureux d'attaquer 2023,

00:26:37 parce que 2022, plein de leçons.

00:26:40 Et du coup, pas mal de choses faites pendant l'hiver

00:26:44 qui permettent de se sentir toujours frais pour attaquer 2023.

00:26:49 -Salut, Johan.

00:26:50 -Salut, Randy.

00:26:52 -Tu as l'air en forme.

00:26:53 Tu as décidé de te séparer de pas mal de personnes autour de toi,

00:26:59 notamment coach, préparateur physique.

00:27:02 Est-ce que cet hiver, tu as travaillé d'une manière différente,

00:27:06 après avoir analysé ces dernières saisons ?

00:27:08 Et est-ce que tu en vois déjà la récompense

00:27:13 de cette manière différente, de cette manière de travailler ?

00:27:18 -C'est vrai qu'il y a eu un peu des changements

00:27:22 sur le côté organisation.

00:27:23 La 1re, c'était la séparation avec Romain Guillot.

00:27:28 Ça faisait 7-8 ans qu'on travaillait ensemble.

00:27:31 Et faire un peu de changement sur le côté physique,

00:27:35 rencontrer quelqu'un d'autre,

00:27:37 permettait d'amener un peu plus de fraîcheur

00:27:39 et de voir l'entraînement autrement.

00:27:42 Peut-être qu'on avait atteint un peu une certaine limite

00:27:45 ou une routine qui, sans doute,

00:27:47 ne permettait plus de passer un bon cap.

00:27:50 Et du coup, ça, ça a été une 1re décision.

00:27:54 Et la 2de, ça a été avec Jean-Michel.

00:27:57 Prêt à bien, disons, appliquer tout l'entraînement

00:28:03 qu'il voulait établir.

00:28:06 Mais finalement, pendant décembre,

00:28:09 on s'est rendu compte que certaines choses

00:28:12 n'allaient pas bien coller.

00:28:14 Et comme le but de 2023, c'est quand même

00:28:17 pouvoir prendre un max de plaisir,

00:28:21 si on crée des bugs au sein de notre organisation

00:28:24 par, sans doute, des dépôts de caractère,

00:28:30 chacun de notre côté.

00:28:32 Alors, on se mettra des bâtons dans les roues.

00:28:34 C'est pour ça que l'expérience en moto, je l'ai.

00:28:38 Je sais très bien ce que je visais,

00:28:40 ce que je veux viser.

00:28:42 Et j'ai envie de kiffer 2023.

00:28:45 Du coup, oui, là, depuis mi-novembre,

00:28:50 je me suis un peu mieux réparé.

00:28:52 Je me suis finalement servi de l'hiver

00:28:55 pour refaire une base un peu différente

00:28:59 sur le côté physique.

00:29:01 Et là, pour l'instant, sur fin janvier,

00:29:03 la pêche est plutôt bonne.

00:29:04 Mais il faut se dire que les tests de ce Peng,

00:29:07 sur l'aspect physique, font encore partie de l'entraînement.

00:29:11 On a encore tout février pour amener

00:29:13 un peu plus de perfs physiques

00:29:16 et du coup, espérons, être encore plus en forme

00:29:19 au mois de mars.

00:29:20 Et le changement sur l'entraînement physique

00:29:24 a fait du bien.

00:29:25 Il fallait un peu une autre approche

00:29:27 parce que les années passent,

00:29:30 mais elles ne se ressemblent pas toutes.

00:29:31 Et il faut réussir à évoluer,

00:29:33 sinon les autres n'attendent pas.

00:29:35 - Merci beaucoup, Johan, d'avoir été avec nous.

00:29:38 Bon test, alors, vendredi, samedi, dimanche.

00:29:41 On suivra ça de près.

00:29:42 Et puis, premier Grand Prix, vous l'avez rappelé,

00:29:43 c'est le 26 mars au Portugal.

00:29:45 On espère aussi qu'on va kiffer cette saison avec vous.

00:29:47 Merci beaucoup, Johan. - Eh oui.

00:29:49 - Et bonne soirée.

00:29:50 Pauline, il faut rappeler aussi que dans le dispositif,

00:29:52 Canal est toujours plus innovant

00:29:54 et toujours plus près des pilotes.

00:29:56 - L'immersion, c'est le maître mot depuis 10 ans sur la F1,

00:29:59 depuis 5 ans sur la moto.

00:30:01 Je m'en suis bien rendue compte cette saison.

00:30:03 Et du coup, l'idée, c'est d'être encore au plus près

00:30:05 de ces pilotes, d'avoir une caméra tout près d'eux,

00:30:09 sans les gêner, pour qu'ils restent naturels.

00:30:11 Donc, il va y avoir la bodycam.

00:30:12 Ça va être l'innovation en moto.

00:30:14 Et pour le premier, à Portimao,

00:30:16 on a eu l'accord de l'assistant de Johan Zarco.

00:30:19 Donc, il y aura une petite caméra sur lui

00:30:21 pour que nos abonnés soient toujours au plus près.

00:30:23 - Ça ressemble à ça, les images.

00:30:24 - Voilà, il sera dans le box du pilote avec son assistant.

00:30:28 On sera vraiment collé à eux et avec eux tout du long.

00:30:32 - Évidemment, cette immersion.

00:30:34 Et puis, la complémentarité de l'offre,

00:30:37 il y a le MotoGP, qu'on suit avec beaucoup de passion.

00:30:39 Il y a aussi Moto2, Moto3, Louis.

00:30:41 Et ça va être encore une fois passionnant.

00:30:43 - C'est vrai qu'on n'oublie pas ces petites catégories

00:30:45 qui sont les pilotes MotoGP de demain.

00:30:48 En Moto2, il y a un phénomène qui s'appelle Pedro Acosta,

00:30:51 qui est un pilote qui a montré vraiment un gros potentiel.

00:30:54 Et je pense que cette saison, ça peut être une année décisive pour lui,

00:30:58 qui peut lui permettre, si tout se passe bien, d'arriver en MotoGP.

00:31:01 En Moto3, évidemment, c'est les plus jeunes

00:31:03 avec des courses qui sont très disputées.

00:31:05 On a du mal à déterminer qui peut gagner les Grands Prix

00:31:08 avant le passage sur la ligne.

00:31:10 Et on a un Français, notamment, Lorenzo Felon,

00:31:13 qui arrive dans une écurie française, celle d'Alain Bronec,

00:31:15 au guidon d'une KTM.

00:31:16 Donc pour lui, ça va être une année importante

00:31:18 parce que c'est la moto à avoir, il commence à avoir de l'expérience.

00:31:21 Et on sent que, peut-être cette année, il sera capable

00:31:23 d'aller accrocher des gros top 10 et pourquoi pas des top 5.

00:31:26 - Des championnats qu'on suivra avec vous toute la saison, bien évidemment.

00:31:28 Et puis on suivra Jules aussi sur le digital.

00:31:30 Toujours plus de digital, Jules.

00:31:31 - Oui, on ne va pas arrêter.

00:31:32 On ne va pas arrêter, on va en donner plein aux gens.

00:31:35 Alors les live Twitch, le jeudi, notamment,

00:31:37 lorsqu'on va remonter la pitlane, la voie descendre,

00:31:39 avec Randy, qui est aussi un fervent admirateur

00:31:42 de ce genre d'exercice.

00:31:44 On va faire ça, plus de contenu digitaux

00:31:46 et on aura aussi beaucoup d'inside cette année.

00:31:48 Ça, c'est une exclue.

00:31:49 Avec l'équipe Pramac, donc avec Joanne Zarco,

00:31:51 on va être avec eux tout au long des week-ends de course,

00:31:54 sur de très nombreux week-ends.

00:31:55 Donc on va être vraiment en inside, dans l'intérieur,

00:31:57 avec Joanne Zarco, avec toute l'équipe Pramac,

00:31:59 Rocher Martin.

00:32:00 Et puis ça devrait offrir des très, très belles scènes de vie.

00:32:03 Et puis on devrait sans doute un peu mieux comprendre

00:32:05 le fonctionnement d'un week-end.

00:32:06 Parce que souvent, on se dit, oui, mais pourquoi là,

00:32:08 il n'a pas performé ?

00:32:09 Oui, mais si, on avait vu que 10 minutes avant,

00:32:11 il y avait un problème au dos, lorsqu'il s'est fait masser,

00:32:13 par exemple, ou quelque chose comme ça,

00:32:14 on peut analyser un peu mieux la performance d'un pilote

00:32:16 grâce à toutes ces petites insides.

00:32:18 Et Randy va nous aider.

00:32:19 - Oui, j'adore ça.

00:32:20 - Évidemment, il est prêt à tout.

00:32:23 C'est pour l'équipe moto, il y a une super équipe

00:32:25 et puis il y a une super ambiance,

00:32:27 que ce soit vous au sein de l'équipe

00:32:28 ou plus largement au sein des championnats de moto.

00:32:31 D'ailleurs, je vous propose de regarder un petit peu

00:32:32 à quoi ça ressemble, la bonne ambiance à la moto.

00:32:34 - 3, 2, 1.

00:32:37 Je m'appelle Charlie.

00:32:40 - Tu es son animal.

00:32:42 - C'est le Grand Prix de Grand-Breterre.

00:32:54 - Vive la France !

00:32:58 - J'ai compris tout le nom.

00:33:00 - Regardez qui est là.

00:33:04 Voilà toute l'équipe, toute l'équipe moto GPL.

00:33:09 - C'est le café de canal.

00:33:11 - Bien sûr !

00:33:14 - Effectivement, Jules.

00:33:16 Il y a quelqu'un peut-être au milieu

00:33:17 pour vous donner la bonne ambiance,

00:33:18 pour générer tout le monde ou pas ?

00:33:19 - On est le ciment de cette équipe.

00:33:20 On essaye de donner du liant à tout le monde.

00:33:22 Non, mais c'est une équipe fabuleuse.

00:33:24 J'espère que ça se ressent.

00:33:25 Ça semble se voir à travers le petit écran.

00:33:29 Mais c'est vrai qu'avec Randy,

00:33:30 on a des caractères complètement opposés.

00:33:31 Et pourtant, on se retrouve dans ce genre de petites blagues.

00:33:33 Avec Laurent, on est très proches aussi.

00:33:35 Louis, Pauline, qui nous a rejoints la saison passée.

00:33:38 On s'aime énormément et j'espère que ça se ressent à l'antenne.

00:33:42 - Ça se sent, oui. On vous remercie.

00:33:43 Nicolas, Alex nous a rejoints. Salut, Nico.

00:33:45 - Bonjour, Astrid.

00:33:46 - On vous a aperçus dans la vidéo, effectivement.

00:33:48 - C'était bref.

00:33:49 - C'était bref, mais c'était bien.

00:33:50 Vous étiez le patron de la moto depuis le début, depuis 2009.

00:33:54 - 2019.

00:33:55 - Depuis 2019, c'est vrai. Depuis 4 ans.

00:33:57 Vous avez remplacé Thomas Sénécal

00:33:59 à la tête des Sports Mécas de Canal.

00:34:01 2003 va être une année très, très riche pour les 2023.

00:34:05 Décidément, ça frile.

00:34:07 - L'événement moto de 2023, c'est le Grand Prix de France au Mans.

00:34:11 Pour l'événement, c'est notre grand événement.

00:34:13 On va offrir le meilleur aux abonnés.

00:34:15 Et quoi de mieux que de faire ce qu'on sait faire de mieux,

00:34:18 c'est-à-dire les documentaires, le documentaire événement,

00:34:21 parce que ce sera le 1000e Grand Prix de l'histoire.

00:34:23 Un documentaire qui retracera toute l'histoire de la moto

00:34:26 sera mis à l'honneur sur nos antennes ce week-end-là.

00:34:28 Ce sera aussi plus d'immersion.

00:34:30 On a parlé de la bodycam avec les assistants des pilotes.

00:34:33 On compte bien sûr sur Johan Zarco et sur Fabio Quartaro

00:34:37 pour pouvoir un peu plus être toujours au plus près.

00:34:38 Et puis l'immersion, on veut pousser un peu plus loin aussi

00:34:41 parce qu'on rêverait de pouvoir être en immersion

00:34:44 dans le camping du Mans pour une expérience unique

00:34:46 qui peut valoir 2 ans.

00:34:48 - Avec Lundi. - Voilà.

00:34:50 - Je n'étais pas au courant.

00:34:52 - C'est la surprise pour un coup.

00:34:54 - L'autre événement, c'est le calendrier,

00:34:55 parce que les choses sont bien faites.

00:34:57 On peut avoir un champion MotoGP et un champion du monde F1.

00:35:01 Ça crée le même jour, le 26 novembre.

00:35:03 Alors, ça sera à Abu Dhabi pour la F1.

00:35:06 Ça sera à Valence pour la moto.

00:35:07 Et ça promet une programmation exceptionnelle sur nos antennes

00:35:10 et vraiment un vrai cadeau pour les abonnés

00:35:12 en espérant qu'il y ait du suspense jusqu'au bout.

00:35:14 Et puis, on l'a dit, on le répète,

00:35:16 cette année 2023, c'est l'année des célébrations.

00:35:18 Donc, le 1000e Grand Prix de moto,

00:35:20 mais aussi la carrière de Sébastien Loeb, un doc,

00:35:24 qui sera diffusé en avril 2023.

00:35:27 Et puis la carrière d'Alain Prost.

00:35:29 C'est les 30 ans de son dernier titre en F1 cette année.

00:35:31 Et pour l'occasion, une série d'ocs sera mise à l'antenne

00:35:35 à la fin de la saison.

00:35:36 Et ça s'appellera "Alain Prost, la dernière leçon du professeur".

00:35:39 Et ça s'annonce très prometteur.

00:35:41 Et puis, évidemment, toute la saison de 2023,

00:35:44 on fêtera les 10 ans de la Formule 1 à Monaco

00:35:46 et pour plein d'autres rendez-vous.

00:35:48 Donc, beaucoup de choses à célébrer.

00:35:50 - Parfait. Merci beaucoup.

00:35:51 On va justement accueillir dans un instant l'équipe de Formule 1.

00:35:53 Juste les rendez-vous pour la moto,

00:35:55 donc les tests à Sepang pour découvrir les nouvelles motos.

00:35:58 C'est à partir de vendredi, vendredi, samedi, dimanche.

00:36:00 Et puis le premier Grand Prix de la saison, le 26 mars,

00:36:04 à Portimao, au Portugal.

00:36:05 Merci beaucoup, l'équipe de moto. - Merci, Astrid.

00:36:07 - On va laisser la place à la Formule 1

00:36:09 parce que vous l'avez dit, on le répète,

00:36:11 la Formule 1, depuis 10 ans sur Canal,

00:36:13 pour fêter ça, un nouvel habillage,

00:36:15 un nouveau générique des nouveaux plateaux.

00:36:17 Et vous allez donc découvrir ça pour la toute première fois.

00:36:33 - Ils arrivent. Bonjour, les amis.

00:36:37 On est toujours avec Margot pour la Formule 1,

00:36:40 Julien qu'on retrouve, et Loïc Duval de ce côté.

00:36:43 Bonjour, bonjour. Et de l'autre côté, Pauline.

00:36:46 Voilà !

00:36:48 Avec donc Laurent Dupont et Franck Montagny, bien sûr.

00:36:52 - On parlait des tricheurs du karting tout à l'heure.

00:36:54 - Laurent, elle n'a pas beaucoup triché.

00:36:56 - Et toi, t'as fait que 2 secondes. - Julien...

00:36:58 - OK. Les dossiers, tout de suite.

00:37:02 - On est sur une balle.

00:37:03 - Afin de parler de l'ambiance du groupe,

00:37:05 on va parler du calendrier, parce que là aussi, Laurent,

00:37:07 on est sur un calendrier record, cette année.

00:37:09 - Pour prendre les mots de Gilles Dorand sur la moto,

00:37:11 en effet, ça sera 23 courses avec la très grande nouveauté,

00:37:14 Las Vegas, en fin d'année.

00:37:16 On est dans les rues, la cité d'Uvis.

00:37:19 Ça sera donc le 19 novembre.

00:37:21 D'ici là, 23 courses du 5 mars au 26 novembre.

00:37:25 Il n'y a pas d'autres nouveautés, mais c'est intense.

00:37:27 Et puis, quand vous voyez qu'il y a 3 courses aux Etats-Unis,

00:37:29 ça démontre aussi une certaine évolution

00:37:31 de la discipline.

00:37:32 Et puis, il y a le retour du Qatar, qui avait disparu l'année dernière,

00:37:34 parce que le pays se concentrait sur la couille du monde de rugby...

00:37:36 De foot.

00:37:37 - Je suis pas la seule.

00:37:39 - Et donc, voilà, fini Las Vegas.

00:37:42 Ça risque d'être assez dingue.

00:37:44 Ça sera la nuit là-bas, donc assez tôt le matin, le dimanche,

00:37:47 mais on compte sur tout le monde quand même pour se lever

00:37:48 et regarder le rendez-vous au premier virage.

00:37:50 - Oui, parce qu'en fait, l'idée, c'est le samedi soir.

00:37:52 - Voilà, à 22 ou 23h locales, donc ça sera très tôt pour nous.

00:37:55 Mais ça sera visuellement absolument incroyable.

00:37:57 C'est vraiment sur le strip, le long des fontaines du Bellagio.

00:38:00 Enfin, c'est vraiment dans Las Vegas.

00:38:02 Ça sera impressionnant.

00:38:03 - C'est le week-end où Franck est en vacances ?

00:38:04 - C'est ça.

00:38:06 Mais je reste à Las Vegas.

00:38:07 - Ah, d'accord.

00:38:08 - Je suis en vacances.

00:38:09 C'est bizarre, il y a des choses qui sont bien faites comme ça.

00:38:10 - Autre nouveauté pour cette saison exceptionnelle, Margot,

00:38:14 c'est un dispositif extraordinaire à Monaco.

00:38:16 - Oui, vous en avez parlé il y a quelques instants

00:38:18 avec Nicolas Alix.

00:38:19 Effectivement, on fête, on célèbre les 10 ans de la F1 à Canales.

00:38:21 Monaco, c'est un magnifique écrin pour les célébrer.

00:38:24 Il y aura un dispositif exceptionnel.

00:38:26 Ça sera un peu notre Grand Prix de France, finalement.

00:38:28 Donc, on aura un plateau aussi où on fera défiler

00:38:30 beaucoup d'invités tout au long du week-end.

00:38:32 Et puis, des documentaires, des reportages et de l'immersion,

00:38:35 quoi qu'il arrive, la marque de fabrique de l'équipe Canales.

00:38:37 Et de la bonne ambiance aussi.

00:38:38 - Et le Big Five qui va se décliner pour la F1.

00:38:40 - Exactement, qu'on reprend le Big Five de Laure Bourreau,

00:38:42 de Joris Sabi.

00:38:44 On invitera 5 consultants ou pilotes qui viendront avec nous

00:38:47 parler de F1 dans une discussion à bâton rompu

00:38:50 autour de notre passion commune.

00:38:52 - Avec leurs anecdotes, leurs souvenirs.

00:38:54 Et c'est toujours des moments merveilleux.

00:38:57 - Et Julien, on se dirige vers un nouveau sacre de Max Verstappen,

00:39:00 cette saison, ou un nouveau champion ?

00:39:02 - Ou pas.

00:39:03 Peut-être.

00:39:04 En tout cas, Red Bull reste l'écurie favorite.

00:39:07 Mais ce qui est très agréable et très excitant,

00:39:10 c'est de savoir que les règlements sont restés très, très stables

00:39:13 durant l'hiver.

00:39:14 Ça va permettre à des équipes comme Mercedes et Ferrari

00:39:16 de se rapprocher et peut-être d'être au niveau de Red Bull.

00:39:20 On a potentiellement, et on l'attend avec impatience,

00:39:22 3 écuries, donc 6 pilotes, peut-être un petit peu moins

00:39:25 que les coéquipiers, mais on a potentiellement 3 équipes

00:39:27 qui vont jouer les titres mondiaux cette année.

00:39:29 Ça, c'est magique.

00:39:31 Quand il y avait 2 équipes déjà par le passé en 2021,

00:39:34 on a vu toute l'excitation qu'on a vécue.

00:39:36 Là, si 3 équipes peuvent le faire, ça va être incroyable.

00:39:38 - Alors, effectivement, on attend ce duel,

00:39:40 enfin, c'est pas un duel, cette lutte à 3, à Red Bull-Mercedes.

00:39:44 Et puis surtout, Ferrari, on attend beaucoup de Ferrari.

00:39:46 - Bien sûr qu'on attend beaucoup de Ferrari.

00:39:47 L'année dernière, on était un peu critiques envers Ferrari,

00:39:49 mais je trouve que c'est normal, puisqu'ils ont fait des erreurs.

00:39:51 C'est personnel, encore une fois.

00:39:53 Oui, c'est personnel.

00:39:54 - Ne t'inquiète pas, tout va bien.

00:39:56 - Ne me tape pas encore.

00:39:57 - On démarre à peine.

00:39:58 Mais je pense que cette année, ça a vraiment changé

00:40:01 parce qu'on a Fred Vasseur qui va revenir aux affaires dans Ferrari.

00:40:03 Fred Vasseur, n'oubliez pas que c'est lui

00:40:05 qui a intronisé Leclerc en Formule 1, notamment dans la Sauber.

00:40:08 Aujourd'hui, il va retrouver son poulain.

00:40:09 Il s'en tente bien, ces 2-là.

00:40:10 Donc, on sait qu'il va y avoir une saine émulation.

00:40:11 Et puis Fred, pour bien le connaître depuis 20 ans,

00:40:15 je pense que c'est pas quelqu'un qui a une langue de poids.

00:40:16 C'est pas quelqu'un qui va tourner autour du pont.

00:40:18 Donc, pour nous, c'est une très bonne chose

00:40:19 puisqu'on va avoir vraiment un accès direct à Ferrari

00:40:21 et des vraies informations, contrairement à l'année dernière.

00:40:24 Et je pense que ça va être une saine émulation pour le championnat

00:40:26 et que les gens vont vraiment faire des belles courses.

00:40:29 Et l'année dernière, on avait un beau spectacle.

00:40:30 Je pense que cette année, ça sera encore au-dessus.

00:40:31 - C'est vrai que c'est une des grandes nouveautés de la saison,

00:40:33 que le patron de Ferrari soit un Français, Frédéric Vasseur.

00:40:36 Il a d'ailleurs choisi Canal pour s'exprimer

00:40:39 pour sa première interview télé.

00:40:40 C'était avec vous, Laurent.

00:40:42 Il s'est confié sur beaucoup de choses, sans langue de bois, effectivement.

00:40:45 Mais il explique aussi que quand on arrive en Italie, chez Ferrari,

00:40:49 évidemment, c'est pas une entreprise comme les autres.

00:40:52 Tout est différent.

00:40:53 - Depuis le début, on me dit qu'en Italie,

00:40:54 Ferrari, c'est pas une équipe, c'est une religion.

00:40:56 Et c'est vrai qu'on s'en rend compte un peu tous les matins,

00:40:59 au petit déjeuner, à l'hôtel, même,

00:41:02 où on fait plus de photos que sur une saison,

00:41:04 quand on est dans une autre équipe.

00:41:06 Mais voilà, je veux aussi transformer ça pour moi

00:41:09 et pour l'équipe en énergie positive.

00:41:11 C'est sûr que c'est un challenge énorme,

00:41:15 parce que je pense que notre métier est fait de pression et de challenge.

00:41:19 J'ai vécu comme ça les 30 dernières années de ma vie

00:41:21 et je vais continuer.

00:41:22 - Alors, pour savoir si la Ferrari sera compétitive,

00:41:24 s'il y aura vraiment cette lutte avec la Red Bull

00:41:27 et les Red Bull et les Mercedes,

00:41:29 il y a les tests de présaison.

00:41:30 Là aussi, on a dit être, c'est à la fin du mois, du 23 au 25 février.

00:41:33 Loïc, c'est vous qui allez commenter ces tests.

00:41:35 C'est un moment très important,

00:41:37 parce qu'on aura une idée de ce que valent les monoplaces.

00:41:39 - Oui, c'est hyper important, mais ça va être aussi un peu une nouveauté.

00:41:42 En règle générale, on les voit souvent à Barcelone.

00:41:44 On découvre les voitures.

00:41:45 Ce sera à Bahreïn.

00:41:48 Il y aura des sessions de jour, des sessions de nuit,

00:41:50 donc il fera plutôt chaud et plutôt frais le soir.

00:41:53 Et puis surtout, c'est trois jours, une voiture par équipe,

00:41:57 donc avec deux pilotes.

00:41:58 Ça veut dire simplement une journée et demie de roulage

00:42:01 pour les pilotes avant ce début de saison.

00:42:03 Et puis, il ne faut pas oublier que à Bahreïn,

00:42:05 les premières conditions de piste ne sont jamais très bonnes,

00:42:07 parce qu'il y a en règle générale beaucoup de sable sur la piste.

00:42:09 Donc voilà, très peu de roulage pour ces pilotes, pour ces équipes,

00:42:12 avant de vraiment se tester lors de la première course.

00:42:14 On va essayer de découvrir et de lire au mieux

00:42:16 ce qui se passe sur ce circuit pour essayer de savoir

00:42:18 qui seront les grandes forces de ce début de saison.

00:42:21 -Oui, c'est un moment très important.

00:42:22 C'est aussi un moment, Laurent, où on va découvrir les monoplastes,

00:42:25 même si certaines ont déjà été dévoilées.

00:42:28 -Oui. On ne va pas vous mentir.

00:42:31 Non, mais pour l'instant, les écuries ont surtout dévoilé

00:42:33 des décorations, à part peut-être Alpha Romeo,

00:42:36 mais quand on voit la Red Bull, c'est la Red Bull 2022,

00:42:38 exactement à l'identique.

00:42:40 Il y a même les rétroviseurs de 2022,

00:42:42 alors que cette année, ils vont être plus grands.

00:42:43 C'est juste la décoration, c'est très subtil.

00:42:45 C'est un sponsor ici ou là qui est différent

00:42:47 par rapport à ce qu'on a vu l'année dernière.

00:42:49 Chez Williams, alors là, c'est un complet copier-coller,

00:42:52 et ils ont assumé, c'est la voiture de l'année dernière

00:42:54 qu'on vous avait présentée.

00:42:55 Il y avait juste deux nouveaux autocollants.

00:42:57 En fait, les écuries, dans ce milieu un peu paranoïaque,

00:42:59 et ça, c'est la AS, même système,

00:43:01 veulent garder leur trouvaille technologique

00:43:03 le plus longtemps possible, éviter de se faire copier.

00:43:05 Donc, les vraies voitures, on les aura vraiment en piste.

00:43:07 Et donc, c'est Alpha Romeo, la dernière à avoir présentée,

00:43:09 où on se dit qu'il y a quelques différences technologiques dessus,

00:43:12 techniques, donc peut-être qu'ils ont vraiment joué le jeu

00:43:14 et présenté leur vraie nouvelle voiture.

00:43:16 Dans les jours qui arrivent, la semaine prochaine même,

00:43:20 il y aura quasiment toutes les autres équipes.

00:43:21 Et là, par exemple, Ferrari nous a promis,

00:43:22 oui, nous, on montrera la vraie voiture,

00:43:24 qui s'appellera la F1 23.

00:43:27 - SF23. - SF23, merci.

00:43:29 - Donc, ce sera ça.

00:43:30 - C'est la première erreur.

00:43:32 - Ça commence.

00:43:33 - On aura une vraie équipe de professionnels

00:43:36 qui sera là cette semaine.

00:43:37 - Justement, il est là, le professionnel,

00:43:39 parce qu'on le disait, 10 ans, une équipe fidèle,

00:43:41 et soudée des consultants prestigieux ô combien.

00:43:44 Et puis, des consultants qu'on va voir de plus en plus.

00:43:46 Jean Alési est avec nous. Bonjour.

00:43:47 - Ouais !

00:43:48 - Alors bonjour, monsieur le président,

00:43:52 parce que vous êtes désormais président du circuit Paul Ricard.

00:43:55 Là où vous aviez fait vos débuts, d'ailleurs, la boucle est bouclée,

00:43:58 ça doit être un bel honneur.

00:44:00 - Absolument, absolument.

00:44:02 C'est même quelque chose

00:44:04 que, évidemment, je n'aurais jamais pu imaginer de faire,

00:44:08 parce que c'est une grosse entité.

00:44:11 Il y a un aéroport, il y a plusieurs hôtels,

00:44:13 et bien sûr, le circuit.

00:44:15 Donc, aujourd'hui, j'essaie d'apprendre rapidement,

00:44:18 mais il y a une très bonne équipe avec moi,

00:44:20 donc ça m'aide beaucoup.

00:44:22 - Et vous allez être encore plus investi avec l'équipe de Canal.

00:44:26 Ça fait partie aussi des nouveautés de la saison.

00:44:28 Encore plus de Jean Alési.

00:44:29 Vous allez commenter des Grands Prix,

00:44:31 notamment celui du Canada, celui que vous avez remporté.

00:44:34 C'était en 95, c'était il y a 28 ans.

00:44:36 Là aussi, il risque d'y avoir beaucoup d'émotions.

00:44:40 - C'est le seul que je me rappelle.

00:44:42 (Rires)

00:44:44 - C'est moche, la vieillesse, Jean.

00:44:46 - Non.

00:44:48 Honnêtement, j'ai plus de stress

00:44:50 que d'être aujourd'hui président du circuit,

00:44:52 parce que le binôme Julien et Jacques

00:44:56 me régalent chaque fois que je peux regarder la télévision

00:45:01 en France et bien sûr sur la chaîne.

00:45:04 Ils sont très compétents, très bons.

00:45:07 C'est un exercice que je vais découvrir,

00:45:12 mais Julien va bien m'aider.

00:45:13 - Tu vas faire ça très bien, Jean.

00:45:16 Avec toute ta passion et tout le cœur que tu y mets,

00:45:18 ça ne pourra être que parfait.

00:45:19 - Merci.

00:45:21 - On a parlé de la Scuderia,

00:45:24 maison que vous connaissez si bien,

00:45:27 et avec désormais le Français, Frédéric Vasseur,

00:45:29 à la tête de l'écurie.

00:45:31 Ça va changer quoi, selon vous, que ce soit lui chez Ferrari ?

00:45:34 - Avec Laurent, l'année dernière,

00:45:39 on a eu la chance de visiter la Scuderia à Maranello.

00:45:45 On s'est rendu compte, je ne sais pas si Laurent peut confirmer,

00:45:49 mais c'est vraiment une gigantesque maison.

00:45:54 Donc j'espère que, évidemment, notre Frédéric National

00:45:59 va réussir à faire gagner l'équipe,

00:46:02 parce qu'aujourd'hui, c'est ce qui leur manque,

00:46:05 une seule place à gagner.

00:46:07 Et ses compétences, je pense qu'elles ne sont pas du tout

00:46:11 mises dans la discussion qu'on a aujourd'hui.

00:46:16 Mais je pense quand même que ça va être assez compliqué pour lui

00:46:20 de se mettre tout de suite dans le bain.

00:46:24 Il faut savoir que Binotto, qui avait sa position juste avant,

00:46:27 ça faisait 24 ans qu'il était dans la maison.

00:46:29 Donc ça va être un moment peut-être d'adaptation,

00:46:33 mais il est suffisamment compétent

00:46:35 dans la façon de gérer et de mener les hommes

00:46:39 pour justement, rapidement, être dans le coup.

00:46:42 - On verra effectivement avec vous,

00:46:44 notamment au fur et à mesure de la saison,

00:46:46 si ça fait du bien aussi à Ferrari d'avoir une expérience étrangère,

00:46:49 extérieure, on suivra ça. Merci beaucoup, M. le Président,

00:46:53 Jean Alési, d'avoir été en direct avec nous

00:46:55 pour cette conf de rentrée Ferrari.

00:46:57 Avec impatience, cette nouvelle saison

00:46:59 avec les 20 meilleurs pilotes au monde,

00:47:01 et parmi eux, deux Français.

00:47:04 Cette saison, les deux amis d'enfance,

00:47:06 Esteban Ocon et Pierre Gasly,

00:47:08 vont se retrouver au sein de la même écurie française.

00:47:11 - Pour moi, c'est un nouveau départ,

00:47:15 une nouvelle aventure.

00:47:18 - Deux gosses de Normandie

00:47:22 arriver dans la même équipe,

00:47:24 c'est juste un truc de fou.

00:47:26 - C'est juste un truc de fou, en fait.

00:47:28 - Ça va être un moment fort en émotion.

00:47:32 - Accélère ! Accélère !

00:47:35 Ne lâche pas !

00:47:37 - Quelle belle histoire on va pouvoir écrire ensemble.

00:47:40 - Il l'a fait ! Lui aussi, il l'a fait !

00:47:42 - On a beaucoup de choses à construire

00:47:44 sur ces prochaines années.

00:47:47 - On veut porter les couleurs de la France au plus haut niveau.

00:47:50 - Évidemment, cette belle histoire, elle va s'écrire sur Canal.

00:47:53 - Allez, les Bleus ! Yes ! Yes !

00:47:56 - La course aux émotions redémarre le 5 mars,

00:47:59 seulement sur Canal+.

00:48:01 - Ça nous promet des belles émotions.

00:48:04 C'est aussi pour ça, évidemment,

00:48:06 qu'on aime la F1 et les sports méca.

00:48:08 D'ailleurs, juste une petite précision,

00:48:10 le grand patron de Canal, le président du directoire,

00:48:13 Maxime Sadaï, vient de passer pour vous encourager tous

00:48:17 pour cette nouvelle saison et pour vous saluer

00:48:19 et montrer le soutien au plus haut niveau du groupe

00:48:21 pour tous les sports méca.

00:48:23 Merci beaucoup.

00:48:25 Juste pour revenir sur Alpine, Julien,

00:48:28 cette saison, on va forcément suivre particulièrement

00:48:31 cette écurie 100 % tricolore.

00:48:33 - Oui, absolument. Alpine qui reste sur une bonne année 2022,

00:48:36 qui est au pied du podium, 4e.

00:48:38 Je pense que c'est encore logiquement la place qu'ils viseront cette année,

00:48:42 mais essayer de faire au moins la moitié du chemin

00:48:45 qui les sépare aujourd'hui des 3 top teams.

00:48:47 S'ils réduisent l'écart, ce sera une grande année pour eux,

00:48:50 déjà en 2023, et rester 4e.

00:48:53 C'est une association de pilotes.

00:48:55 Ils vont se retrouver en piste à proximité,

00:48:57 ils auront le même matériel entre les mains,

00:48:59 ils ont un niveau de pilotage assez similaire,

00:49:01 ils auront quasiment le même palmarès,

00:49:03 en tout cas, tous les deux une victoire en F1.

00:49:06 Il y aura forcément des moments où ça passera juste,

00:49:08 peut-être des moments où ça passera pas.

00:49:10 On va suivre tout ça, mais ce qu'on veut,

00:49:12 c'est vivre une grande aventure.

00:49:14 On a une équipe de France en Formule 1.

00:49:17 Soyons fiers de cela, de tout ce qui est fait en France

00:49:19 depuis des années pour permettre à ces talents

00:49:21 de faire un peu de beau dans l'échelle du sport auto.

00:49:24 -Qu'est-ce qui va être le plus compliqué

00:49:26 pour les deux pilotes français, psychologiquement,

00:49:29 de se sentir comme ça, toujours surveillés ?

00:49:31 -C'est ce qui va être le plus dur,

00:49:33 parce que, comme toujours, l'un a envie de battre l'autre,

00:49:36 mais c'est normal, c'est ce qu'on connaît dans chaque équipe,

00:49:38 et c'est l'objectif prioritaire.

00:49:41 Mais là, il y a le quotidien derrière,

00:49:43 avec les médias français, avec les amis, etc.

00:49:46 Tout le monde connaît tout le monde, ils sont vraiment très proches.

00:49:49 Forcément, à un moment donné, ça reste quand même

00:49:51 deux compétiteurs avec leurs égos,

00:49:54 et on l'a déjà vu par le passé, ça peut être potentiellement chaud.

00:49:57 À voir comment ça fonctionne.

00:49:58 Alpine nous a dit que ça se passerait toujours très bien.

00:50:00 Maintenant, on attend de voir, mais en tout cas, on leur souhaite le meilleur.

00:50:02 -Les égos, on a vu ça hier en karting.

00:50:05 (Rires)

00:50:07 (...)

00:50:09 -Ça revient bizarrement sur le tapis.

00:50:11 -Bon, les gars, il faut qu'on parle après, je vous le dis.

00:50:13 -Pour compléter, pour suivre au mieux ces pilotes,

00:50:17 Alpine et les 18 autres, évidemment,

00:50:19 on a un dispositif toujours plus complet, toujours plus immersif.

00:50:22 Laurent, avec toujours le club des experts.

00:50:24 -Oui, le club des experts, c'est en plus de nos consultants,

00:50:26 comme Loïc, comme Franck, comme Jacques, comme Jean.

00:50:29 Il y a Jean-Louis Monsé, par exemple,

00:50:31 qui nous fera toujours ses pastilles historiques.

00:50:33 Lui, c'est la légende, la voix de la F1 en France.

00:50:37 On aura l'ingénieur Julien-Simon Chotan,

00:50:39 qui continuera d'apporter son expertise.

00:50:41 Il y a encore un an et demi, il était l'ingénieur de Kimi Raikkonen en Formule 1.

00:50:44 On a l'arrivée d'Adrien Tambay, également, dans notre équipe.

00:50:48 À quelques occasions, il a piloté, notamment pilote officiel en DTM.

00:50:53 Et puis, on a Eric Boulier, l'ancien patron de l'écurie Lotus,

00:50:55 de l'écurie McLaren, directeur du Grand Prix de France,

00:50:58 qui viendra partager toute son expérience, à la tête des équipes

00:51:00 et à la tête d'un Grand Prix en tant que promoteur.

00:51:03 -Et puis, Pauline, le mode expert.

00:51:05 -Oui, vous avez l'habitude, pendant les courses,

00:51:07 Julien vous propose de voter, propose à nos abonnés de voter.

00:51:10 Là, il y aura des flux supplémentaires.

00:51:12 Il y avait un flux jusqu'à maintenant.

00:51:13 Il y en aura 5, ça veut dire 5 caméras embarquées en plus.

00:51:17 Vous pouvez suivre celles que vous voulez.

00:51:19 Et ça veut dire, surtout, à chaque Grand Prix, nos 2 Français.

00:51:21 -On rappelle juste le dispositif.

00:51:22 Sur quelle chaîne, on voit quoi ?

00:51:23 -Canal + Sport, vendredi, samedi, pour la Formule 1.

00:51:26 Canal, évidemment, le dimanche. C'est très simple.

00:51:29 Et pour la moto, Canal + 360, vendredi, samedi.

00:51:32 Canal, le dimanche.

00:51:33 -Ca, c'est pour voir le direct. Et puis, il y a aussi après les courses.

00:51:35 -Oui, grâce au digital.

00:51:36 On a parlé tout à l'heure avec Jules du digital pour la moto.

00:51:39 Pour la F1, c'est pareil.

00:51:40 En fait, l'idée, c'est qu'on sait que nos abonnés en veulent toujours plus.

00:51:43 Donc, il y en aura plus grâce au digital avant la course.

00:51:46 Pendant la course. Et après la course.

00:51:48 Vous avez tout ce qui va se passer, que ce soit pour la Formule 1,

00:51:52 pour la moto aussi, avec Julien.

00:51:54 -Il est bien, Julien.

00:51:55 -Elle est sympa. -Un avantage.

00:51:57 -Vous pouvez me l'envoyer, si vous voulez, sur mon téléphone.

00:52:01 -Non, c'est vrai.

00:52:02 -Elle est mieux, celle-ci.

00:52:03 -La première, par contre, je vais prendre.

00:52:05 -Et avec aussi, évidemment, des contenus supplémentaires

00:52:08 à retrouver tout au long de la saison,

00:52:10 même les semaines où il n'y a pas de Grand Prix,

00:52:12 pour toujours plus de F1 et de moto.

00:52:14 -Toujours plus sur tous les supports, tout le temps.

00:52:16 -Vous serez embarqués pour ne rien rater, bien évidemment.

00:52:18 Et ça fait 10 ans que ça dure, parce que, on vous le rappelle,

00:52:21 on célèbre les 10 ans de la F1 sur Canal.

00:52:23 Vous n'avez pas changé.

00:52:25 Ca nous fait plaisir de vous remontrer ce premier Grand Prix sur Canal.

00:52:28 C'était donc l'Australie en 2013.

00:52:30 Oups.

00:52:31 -Les acteurs de la saison 2013 de Formule 1,

00:52:34 ils ont été pris en photo il y a quelques minutes, ici même, à Melbourne.

00:52:37 Bonjour. Bonjour à toutes. Bonjour à tous.

00:52:39 Bienvenue en Australie. Bienvenue au bout du monde.

00:52:42 -Je suis très excité, surtout que, pour l'instant,

00:52:44 je me suis bien amusé. C'est plutôt une bonne chose.

00:52:46 -Qu'annonce-t-on pour la course du lien ?

00:52:48 -Du beau temps, enfin, du beau temps. En tout cas, pas de pluie,

00:52:51 parce qu'effectivement, depuis hier, ça tombe énormément.

00:52:53 Ca tombait encore ce matin.

00:52:55 -Et c'est cette saison de Formule 1 qui débute

00:53:01 avec un excellent départ du champion du monde entier, Sébastien Vettel.

00:53:04 Il s'est lancé, Kimi Raikkonen,

00:53:07 depuis la 7e place sur la grille de départ.

00:53:09 Et il remporte ce premier Grand Prix de la saison.

00:53:12 Victoire de Kimi Raikkonen.

00:53:14 Victoire de Lotus Renault dans ce Grand Prix de saison.

00:53:16 -Vous vous souvenez de tout ?

00:53:18 De chaque Grand Prix ? -De la chemise, surtout.

00:53:20 -Elle est toujours dans le placard.

00:53:22 -Non, mais Thomas Sénécal l'évoquait tout à l'heure.

00:53:25 Ce premier Grand Prix, l'équipe F1 avait été montée en peu de temps.

00:53:28 Il évoquait l'avant-course, et on avait eu des intempéries météo

00:53:32 qui nous avaient obligés à tenir très longtemps en l'antenne

00:53:35 au moment des qualifications de samedi.

00:53:37 Et tout de suite, l'équipe avait fonctionné comme une seule et même unité,

00:53:41 parce que tout le monde s'était remis en place dans les paddocks,

00:53:43 sur la voie des stands, etc.

00:53:45 On avait tenu longtemps déjà l'antenne.

00:53:47 C'était un prémice de ce qu'on connaîtrait à Spa-Francorchamps.

00:53:50 Mais on était déjà très soudés dès le premier moment.

00:53:53 -Dix ans après, parmi les annonces,

00:53:55 Jean Todt, l'ancien patron mythique de Ferrari,

00:53:58 ancien président de la FIA,

00:53:59 sera l'invité exceptionnel de Canal sur un Grand Prix.

00:54:03 On l'a dit, encore plus de Jean Alési,

00:54:04 qui sera en commentaire de trois Grands Prix,

00:54:06 et encore plus de Romain Grosjean,

00:54:08 pour étoffer encore l'équipe des consultants.

00:54:11 Romain Grosjean sera en commentaire de cinq Grands Prix cette saison.

00:54:13 Romain, qui est avec nous, en direct depuis la Floride.

00:54:16 Bonjour, Romain. Merci beaucoup d'être avec nous.

00:54:18 Pour vous, c'est plutôt le matin.

00:54:19 On n'est pas en Malaisie, on est de l'autre côté de la planète.

00:54:21 Vous êtes donc, évidemment, toujours consultant pour Canal.

00:54:25 Vous avez commenté plus de Grands Prix.

00:54:26 La belle aventure continue, et même elle s'intensifie, cette saison.

00:54:30 -Oui, elle s'intensifie.

00:54:32 On a eu la chance de pouvoir réussir à faire fonctionner les calendriers.

00:54:35 On ne va pas se mentir, on s'est un petit peu arraché les cheveux

00:54:37 à quelques moments pour trouver les dates.

00:54:40 Mais on a réussi à trouver des super dates.

00:54:41 Je suis très content de faire cinq Grands Prix de Canal.

00:54:43 À chaque fois, on rigole bien.

00:54:45 On a eu des expériences sympathiques.

00:54:48 D'autres, un petit peu plus longues.

00:54:49 Julien nous parlait de Spa-Francorchamps,

00:54:51 où on n'avait pas vraiment eu le Grand Prix.

00:54:53 Mais voilà, l'ensemble, très content de revenir,

00:54:55 très content de pouvoir partager mon expérience

00:54:57 et de partager avec les abonnés Canal ce qu'on peut voir en piste.

00:55:02 -Vous pouvez aussi partager votre expérience américaine,

00:55:04 parce que l'AF1 se développe aux États-Unis.

00:55:06 On connaissait Miami et Austin, qu'on avait vus avec vous.

00:55:09 Cette année, on va découvrir Vegas aussi avec vous.

00:55:11 -Vegas, je pense que ça va être une course assez hallucinante.

00:55:15 Déjà, Miami nous a surpris très bien l'an dernier.

00:55:19 Cette année, ils ont encore d'autres idées en tête

00:55:22 pour utiliser le stadium des Dolphins ici.

00:55:26 Mais Vegas, je me réjouis de voir ce que ça va donner.

00:55:28 Une grosse attente, un gros dispositif mis en place.

00:55:33 Et clairement, ça fait partie des Grands Prix où je veux absolument aller.

00:55:37 -On va vous suivre aussi.

00:55:39 Ça rigole, parce que c'est pour le décor, c'est ça, Laurent ?

00:55:43 -Oui, le bel décor, les casques. On essaie d'identifier les casques.

00:55:45 Il me semble même qu'il y en a un casque Mercedes là-haut.

00:55:48 Le casque Mercedes, il n'a pas dû beaucoup servir.

00:55:50 On espère qu'il servira, Romain.

00:55:53 -Je le garde au chaud. C'est pas fini.

00:55:55 C'est vrai qu'il y a le casque Mercedes qui est derrière moi.

00:55:59 C'est un petit peu ma faute que le test n'ait pas encore eu lieu,

00:56:01 mais il aura lieu. Je le garde un petit peu dans mon portefeuille

00:56:04 pour un jour où j'ai envie d'aller faire un tour en fait.

00:56:06 -Un mois d'IndyCar avec vous, Romain,

00:56:08 parce que la saison reprend le 5 mars en Floride, justement, à Saint-Pétersbourg.

00:56:11 Vous allez vous amuser encore plus cette saison,

00:56:15 maintenant que vous avez déjà vos repères ?

00:56:17 -Oui, les repères. On a eu la première...

00:56:18 Deux premières journées d'essais qui se sont passées en Californie

00:56:20 la semaine dernière.

00:56:21 Content avec l'évolution sur la voiture.

00:56:24 On a un vrai engouement autour de l'IndyCar aux Etats-Unis,

00:56:27 autour de la Formule 1 aussi.

00:56:29 Donc, je suis ravi de reprendre la saison.

00:56:32 Je vais d'ailleurs demain à Saint-Pétersbourg

00:56:33 voir l'évolution de la piste,

00:56:36 comment elle se met en place.

00:56:38 Et puis, le 5 mars, c'est vite là.

00:56:39 On a encore une journée de tests assez brillant la semaine prochaine.

00:56:42 Et après, on va attaquer le début de la saison.

00:56:44 Et je me réjouis de retrouver ma voiture jaune et rougie.

00:56:46 -Bien sûr. Et puis, il y a le rendez-vous incontournable de la saison,

00:56:49 bien sûr, les 500 miles d'Indianapolis.

00:56:51 Ce sera le même dimanche que le Grand Prix de Monaco.

00:56:54 Ça promet de grosses émotions aussi, là.

00:56:56 -Oui, ça fait partie des courses mythiques et exceptionnelles

00:57:00 de sport automobile.

00:57:01 Pour les abonnés canal, ça fait partie d'un week-end

00:57:03 qu'on ne peut pas rater entre Monaco et les 500 miles.

00:57:06 Il y a vraiment deux courses mythiques, historiques, extraordinaires à regarder.

00:57:10 -Top. Merci beaucoup, Romain, d'avoir été en direct avec nous.

00:57:14 Et puis donc, à très vite pour le dispositif canal.

00:57:16 On a tous hâte de vous retrouver.

00:57:18 Vous êtes partis depuis des années, désormais.

00:57:21 Alors, on peut juste revenir sur ce qui s'est passé la saison dernière

00:57:23 au sein de cette belle équipe,

00:57:25 parce qu'il y a aussi, en F1, il n'y a pas qu'en moto,

00:57:27 des petits moments insolites.

00:57:28 -Aïe. Non.

00:57:30 -Et voilà. On y va.

00:57:35 -Je me suis tiré un petit mot à Sébastien.

00:57:37 Sébastien, je te l'ai dit. Bonjour et merci.

00:57:39 Merci. Bon, ben voilà. On s'en fout.

00:57:40 -C'était un tout petit mot. -Au revoir. Merci. On t'aime.

00:57:43 -Et oui, on mouille le maillot sur Canal+.

00:57:47 -Et plouf !

00:57:48 -Vous me faites venir dans ma chambre.

00:57:50 Attention, votre son va l'interpréter.

00:57:52 -Welcome to Miami.

00:57:53 -Ah, j'aime tellement quand vous dites qu'il monte sur le champagne.

00:57:56 -Je vous ai dit ça ? -Oui, vous, vous l'avez dit.

00:57:58 -Il monte sur le champagne. Il monte sur le champagne.

00:58:00 -Là, juste derrière moi, on a les ingénieurs de la voiture n°1.

00:58:03 Théo, si tu fais mon job, je vais mettre le casque et faire ton job.

00:58:07 -Pauline, oui, ben... Pauline.

00:58:09 -Au revoir.

00:58:12 -Allez, Sébastien.

00:58:14 -Voilà pour les bons moments de la saison dernière et la prochaine.

00:58:17 On pourra rajouter dans ce petit sujet Charlotte Gabas et Manon David,

00:58:21 qui sont deux journalistes, deux reporters du service de Canal

00:58:24 et qui vont rejoindre les rangs du service mécanique,

00:58:26 à la fois la moto et la F1.

00:58:28 Évidemment, c'est tellement dense,

00:58:29 il y a de plus en plus de Grands Prix, de plus en plus d'émissions.

00:58:31 Je veux qu'elles viennent renforcer l'équipe Charlotte et Manon.

00:58:34 Allez, on a retrouvé Thomas Sénécal à nos côtés

00:58:37 parce qu'on va parler des docs.

00:58:38 On en parle beaucoup parce que c'est important dans l'offre de Canal.

00:58:42 Les docs sont à l'honneur

00:58:44 et il y a donc beaucoup de belles choses en préparation.

00:58:46 On a aperçu tout à l'heure un peu des affiches,

00:58:48 mais on va prendre le temps de préciser un peu tous les docs qui nous attendent.

00:58:51 -On peut s'y arrêter un petit peu parce qu'effectivement,

00:58:53 l'offre documentaire, elle est hyper importante dans l'univers des sports

00:58:56 et elle a augmenté de 50 % pour 2023 par rapport à 2022.

00:59:00 Et évidemment, l'univers des sports mécaniques

00:59:02 en est l'illustration la plus éclatante.

00:59:04 Sébastien Loeb, l'As des As,

00:59:06 retour sur la carrière incroyable du plus titré des pilotes de l'histoire du WRC.

00:59:10 Ça sera au printemps, tout comme ces prochaines semaines,

00:59:12 "The Untold Story", l'histoire non racontée à date de Jackie Stewart,

00:59:16 triple champion du monde dans les années 60-70.

00:59:18 "Bleu, blanc, vite", on y revient dans un instant

00:59:21 parce que c'est un documentaire qu'on va produire en interne

00:59:23 sur l'épopée alpine 2023.

00:59:26 Le 1000e Grand Prix de l'Histoire, ça tombe bien,

00:59:27 ça sera au Grand Prix de France.

00:59:29 Et ça aussi, c'est un grand rendez-vous

00:59:30 pour l'ensemble de la rédaction des sports

00:59:32 et pour l'ensemble des passionnés de MotoGP.

00:59:34 Et puis, la dernière leçon du professeur,

00:59:37 on l'a évoqué tout à l'heure, Alain Prost a choisi Canal+

00:59:40 pour raconter son histoire

00:59:43 avec l'aide de la société de production Tetra Media Group.

00:59:46 Et c'est un des grands rendez-vous, non seulement pour nous,

00:59:49 mais dans l'univers de la télé et des contenus de 2023-2024

00:59:54 parce que ce sera un rendez-vous évidemment très attendu,

00:59:56 Alain Prost qui se raconte, Alain Prost qui se dévoile.

00:59:59 Sa carrière, mais aussi sa vie, son œuvre,

01:00:01 sur les écrans à la fin de l'année et sur les antennes de Canal+.

01:00:05 C'est donc un gros coup d'accélérateur aussi,

01:00:07 la street sur les documentaires.

01:00:09 - Alors, on vous embarque, on vous emmène au cœur

01:00:11 d'un reportage, d'un doc, justement,

01:00:13 direction l'Angleterre, Henstown.

01:00:15 Pourquoi ? Parce que c'est là qu'il y a l'usine d'Alpine.

01:00:17 C'est là qu'on va retrouver Amandine Mouraïm.

01:00:19 Salut, Amandine. Amandine qui est une des références

01:00:21 pour les docs à Canal.

01:00:23 C'est elle qui a réalisé Jean Todd, "La méthode".

01:00:25 Et Amandine, avec Étienne Pidou, c'est vous qui allez donc réaliser

01:00:28 cette série de docs, "Bleu, blanc, vide" sur Alpine,

01:00:31 toute la saison en immersion, c'est ça ?

01:00:34 - Regardez, je me trouve on ne peut plus proche d'Alpine,

01:00:39 puisqu'on est effectivement à Henstown,

01:00:41 dans l'usine côté anglais d'Alpine,

01:00:44 où aujourd'hui, Pierre Gasly va d'ailleurs bientôt arriver

01:00:48 pour pouvoir mouler son baquet pour la saison

01:00:50 dans cette nouvelle voiture qui l'attend.

01:00:53 Donc effectivement, on va les suivre tout au long de la saison,

01:00:55 à l'usine, dans les coulisses, lors de leur préparation.

01:00:58 On était à Milan la semaine dernière avec Pierre Gasly, justement,

01:01:01 puisqu'il habite là-bas et il se prépare tout l'hiver

01:01:04 pour pouvoir ensuite être prêt pour le début des tests

01:01:07 qui auront lieu dans 15 jours à Baray.

01:01:09 - Top. Merci beaucoup, Amandine.

01:01:11 Et donc, en plusieurs épisodes, le premier sera au mois de mars,

01:01:15 puis ensuite au mois de mai, on suivra ça de très près.

01:01:17 Bon reportage, bon tournage chez Alpine, alors.

01:01:19 - Un documentaire nourrit nos droits,

01:01:21 autant qu'il se nourrit de nos droits.

01:01:23 C'est vraiment gagnant pour les deux côtés.

01:01:24 Ça permet d'approfondir, d'aller plus loin pour les fans,

01:01:26 pour les gens qui regardent nos directs.

01:01:28 Et puis, les gens qui entrent sur My Channel

01:01:30 ou dans l'univers Canal via le documentaire,

01:01:32 ça leur donne envie d'aller écouter Julien et Jacques

01:01:35 ou Laurent et Randy sur la moto le week-end suivant.

01:01:38 C'est très important et c'est pour ça qu'on veut renforcer cette offre.

01:01:41 - Ça permet aussi d'apprendre plein de choses, évidemment,

01:01:43 sur ce qui s'est passé précédemment.

01:01:44 C'est le cas pour le doc sur Jackie Stewart,

01:01:46 "Untold", l'Écossais triple champion du monde.

01:01:50 On est à la fin des années 60.

01:01:51 C'est un autre monde, un doc qui permet de mieux comprendre sa vie.

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01:02:44 - "Untold" sur Jackie Stewart.

01:02:47 Et puis, on a parlé du doc sur Sébastien Loeb,

01:02:49 9 fois champion du monde de rallye.

01:02:51 L'occasion de faire une annonce aussi,

01:02:54 c'est la première fois, l'intégralité du championnat du monde WRC

01:02:57 sera diffusée sur nos antennes.

01:02:59 Toutes les spéciales de tous les rallyes.

01:03:01 Et l'occasion d'accueillir aussi un consultant

01:03:04 qui rejoint l'équipe de rallye, c'est Julien Ingracia,

01:03:06 copilote, 8 fois champion du monde.

01:03:09 Il était déjà avec nous au Monte-Carlo.

01:03:11 Et en fait, il décrypte, il analyse sur des petites pastilles,

01:03:14 comme ça, vous pourrez vraiment tout comprendre

01:03:16 et mieux découvrir, si ce n'est pas déjà le cas, le rallye WRC.

01:03:20 Et puis, on rappelle évidemment que tous les autres docs

01:03:23 sont toujours disponibles sur MyKanal.

01:03:24 Il y avait celui d'Amandine, donc Jean Todt,

01:03:25 Guillaume Abagnaya, Vettel, Verstappen.

01:03:27 L'offre est pléthorique.

01:03:29 On arrive à la fin de cette conférence de presse.

01:03:31 Thomas, encore une annonce peut-être importante

01:03:34 pour les gens qui ne sont pas encore abonnés à Kanal.

01:03:36 - Il y a un certain nombre de Grands Prix en clair

01:03:38 qui seront diffusés au cours de cette saison 2023.

01:03:41 Le premier pour la moto, ce sera le Grand Prix de France.

01:03:44 Et puis, le premier dans l'univers de la Formule 1,

01:03:46 ce sera le Grand Prix d'Arabie Saoudite,

01:03:48 donc deuxième partie du mois de mars.

01:03:50 Voilà pour les premières dates en clair

01:03:52 et pour les dernières, on va avoir le premier grand prix

01:03:54 de la France.

01:03:55 - Parfait.

01:03:56 Depuis 10 ans, vous vivez des émotions,

01:03:58 des gros frissons avec les Sport Meca sur Kanal,

01:04:00 avec des reportages au plus près,

01:04:02 des pilotes, de l'immersion, bien sûr,

01:04:04 des interviews, de l'analyse, du décryptage

01:04:06 avec toutes nos équipes.

01:04:07 Eh bien, ça va continuer.

01:04:08 Encore plus d'émotions, encore plus de frissons.

01:04:10 Jusqu'à 2029, au moins, comme on vous le disait,

01:04:12 toute l'équipe des Sport Meca est évidemment mobilisée

01:04:14 pour vous faire vivre le meilleur de cette nouvelle saison.

01:04:16 Un grand merci à vous, à toute l'équipe.

01:04:18 Merci à vous de nous avoir suivis en direct sur Dailymotion.

01:04:21 Merci à tous ceux qui nous ont suivis en direct

01:04:23 à l'inférence de rentrée.

01:04:24 Merci, au revoir.

01:04:25 Donc, sauf aux journalistes qui sont accrédités,

01:04:27 l'équipe entière va pouvoir répondre à vos questions

01:04:29 dans quelques instants.

01:04:32 ...

La conférence de rentrée des Sports Mécaniques - CANAL+

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