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00:00 Et oui, et oui, qui l'eut cru, nous sommes le 13 février puisque demain c'est, évidemment
00:11 vous le savez tous, PSG Bayern.
00:13 PSG Bayern.
00:14 C'est toi.
00:15 Bah, Bayern quoi.
00:16 Est-ce que, bah là on va regarder le classement, voilà, on est deux ou trois journées plus
00:24 tôt, on est à cinq points du PSG et puis on va les recevoir, les amis.
00:29 Il y a entre temps un déplacement à Toulouse qui sera peut-être plus compliqué que ce
00:32 qu'on pense parce que Toulouse joue très bien en ce moment, mais eux, ils affrontent
00:35 Lille.
00:36 Lille qui est une équipe qui joue bien en ce moment aussi.
00:39 Donc ça se trouve on reçoit le PSG avec la possibilité soit de recoller, soit même
00:43 de les dépasser.
00:44 Max, est-ce que cette perspective, dans ta tête tu commences à te dire, on a le droit
00:50 d'y penser quoi.
00:51 Tu fais le talk d'il y a trois semaines là en fait, c'est ça ? Parce qu'il y a trois
00:55 semaines il me semble qu'on avait dit pareil et après Nice tu t'es dit bon allez on
01:01 oublie le titre.
01:02 Alors on a le droit d'y repenser.
01:03 On a le droit d'y repenser, non mais je te dis ça, je te taquine.
01:07 Tu as bien raison.
01:08 Parce que sur le fond tu ne peux que y penser quand tu vois le classement, mais ce qui est
01:13 gênant c'est que tu as toujours quand même cinq points de retard.
01:15 Et si on gagne là, et si on fait ça, et si on fait ça, et si derrière on enchaîne,
01:21 et si, si, et si là, et ça fait beaucoup.
01:23 Moi ce que j'ai peur honnêtement c'est que Paris va se faire sortir vraisemblablement
01:29 contre le Bayern et derrière ils vont se remobiliser en se disant mais qu'est-ce qu'il
01:33 nous reste ? Il nous reste que la Ligue 1 à gagner.
01:35 Ils vont se dire qu'est-ce qu'il nous reste ? Ben notre salaire, on est content.
01:38 Ouais, mais tu sais très bien que contre les petites équipes, entre guillemets, c'était
01:43 la deuxième partie du classement, ils vont faire un max de points avec les joueurs.
01:48 Tu les vois pas imploser ? Vous les voyez pas imploser ?
01:49 Moi je les vois pas imploser.
01:50 Maintenant je peux me tromper.
01:51 J'ai quand même envie d'y croire.
01:54 Ah, t'as envie d'y croire ? À l'explosion de Paris.
01:57 Ah, pas forcément à nous.
01:59 Après si Paris explose et que c'est Monaco qui est champion, même si on gagne la Coupe
02:04 de France, je crois qu'on va tous se regarder en se disant mais qu'est-ce qu'on a fait ?
02:07 Si t'es pas là le jour où ils explosent, et je rappelle, il y a deux ans, Romain Hering
02:13 nous disait, on prend un max de points avec Villas-Boas en début de saison, il nous disait
02:18 je sens que Paris va exploser, ce serait bête qu'on soit pas là le jour où ils explosent.
02:21 Et c'est Bouraki Ilmaz qui va être joueur de la saison.
02:26 Donc c'est dommage.
02:27 Au moment où l'île carbure, nous on a la serre larguée sur le bord.
02:31 Là où vraiment tu peux y croire pour moi, c'est que tu peux continuer à faire une grosse
02:35 série avec cette équipe.
02:36 Et là où les autres...
02:38 Et quand ça marche de finir devant Paris, c'est qu'à un moment donné de la saison
02:42 tu les doubles, et là tu te dis bon mais maintenant je gagne tout jusqu'au bout.
02:47 Non mais là on est pas obligé d'y croire les gars, vous êtes fous.
02:49 On est obligé, il n'y a que ça à regarder et la Coupe de France, certes, mais moi je
02:53 regarde que le championnat et la victoire.
02:56 Je préfère prendre 6-0 en demi-finale contre Lyon de Coupe de France et gagner le championnat.
03:00 Les gars, la première place de championnat c'est chapeau 1.
03:02 Déjà, première chose.
03:03 C'est la chose qu'on oublie.
03:04 Il a pas tort.
03:05 Et c'est le plus beau titre qu'on peut...
03:06 Les gars, entre une Ligue 1 et la Coupe de France, tout le monde prend la Ligue 1.
03:10 Mais on n'est pas en train de te dire ça.
03:12 On te dit que c'est pas...
03:15 On est pas pour Gangan Liguen, est-ce qu'on a le droit ?
03:19 L'année dernière on était à 13 points, même période, tu es à 13 points de pari.
03:22 On est deuxième pareil, on est à 13 points de pari, le troisième c'est Nice, de mémoire.
03:25 On a 5 points, on doit les jouer chez nous.
03:27 On les a battus il n'y a pas 10 jours.
03:29 Ça veut dire potentiellement si vraiment on s'en sort pas trop mal, on est aux alentours
03:33 des 2 points.
03:34 Il restera 12 journées du coup.
03:37 On n'y croit pas.
03:38 Alors c'est des mathématiques, c'est 6, je suis d'accord avec Dessy, on met Paris
03:41 en bouteille et compagnie.
03:42 Et on veut les mettre en bouteille.
03:44 Mais moi je pense qu'à ça, pour moi on joue le titre.
03:47 Alors clairement Jonathan Kloss il a dit à Moachir, il est un peu d'accord avec moi,
03:50 mais il n'a pas envie de se faire reprendre de volet sur Twitter et compagnie.
03:53 Mais ce n'est pas on doit y croire, il faut y aller à fond.
03:56 Je suis complètement fou depuis le match de Paris, même si c'est la Coupe de France,
04:00 ça n'a aucun rapport avec le championnat.
04:01 Donc tu vas me dire mais t'es bipolaire.
04:03 Mais ça se joue dans la tête.
04:04 Mais ça se joue aussi sur ça.
04:05 Regarde une équipe comme Nice, regarde une équipe comme Lille, regarde une équipe comme
04:09 Blancs justement qui plongent.
04:10 Il y a des oscillations.
04:12 Et comme ça, Paris sont comme ça.
04:13 Au bout d'un moment, les courbes se rejoignent.
04:15 Et elles se rejoignent pour le Classico de dans une semaine.
04:17 C'est surtout que c'est Paris qui est comme ça.
04:22 L'espoir pour y arriver, c'est que Paris plonge.
04:24 Et là, oui, mais Monaco aussi.
04:28 Le vrai espoir, c'est que Paris, par rapport justement à ses précédentes saisons, je
04:32 ne les ai jamais vus à un niveau aussi inquiétant d'implosion.
04:36 J'ai regardé Monaco-PSG.
04:38 Moi aussi.
04:39 Quelle folie.
04:40 J'ai pris beaucoup de plaisir.
04:41 Mais aussi parce qu'il y a tous les ingrédients.
04:44 Non, mais il y a tous les ingrédients d'une équipe.
04:47 Voilà le Big Shabouk.
04:48 En plus, pas un mauvais jeune.
04:50 On aurait un jeune comme ça à l'OM.
04:52 Il ferait 20 matchs par saison.
04:54 Il serait Issa Touré, il sera Auxerre.
04:55 C'est là où tu vois que l'effectif du Paris Saint-Germain, ça ne va pas du tout.
04:58 Ce n'est pas faux.
04:59 Tu as raison.
05:00 Il fait cette erreur.
05:01 Il fait cette erreur.
05:02 Et derrière, il n'y a personne qui va le voir.
05:04 Tu le vois, il est tout seul.
05:05 Marquinhos, c'est d'une tristesse absolue.
05:08 On laisse nos familles à la maison, il a dit.
05:11 Oui, mais en fait, tout ce qu'ils font, c'est risible.
05:15 En fait, là, ils sont dans un truc.
05:17 Tu as vu la faiblesse de l'effectif.
05:18 Ah oui, oui, non, mais c'est hallucinant.
05:20 La profondeur, la faiblesse de la profondeur.
05:22 Ils sont des joueurs.
05:23 La faiblesse de l'effectif.
05:24 Ils sont des joueurs.
05:25 Ils sont des joueurs.
05:26 En vrai, Sergio Ramos, il n'est pas au niveau.
05:28 Je veux dire, Fabian Ruiz.
05:31 Moi, j'ai regardé, j'avais vu jouer quelques saisons avec Naples.
05:34 Quand ils l'ont fait signer, je n'étais pas content.
05:36 Et au final, là, Fabian Ruiz, qu'on voit cette saison, il est archi nul.
05:41 Il est sous performe.
05:42 Le Mercato, il est catastrophique, mais tant mieux.
05:43 Non, mais c'est pour ça que je dis.
05:45 Et en plus, là, avec ce qui se passe dans le club et compagnie, encore à ce Mercato.
05:50 Toi, tu crois que ça peut imploser ?
05:51 Là, ils en sont quand même au Mercato où il y a quand même une merde de joueurs.
05:55 Il n'y a pas nécessairement besoin que ça implose autant que ça.
05:57 C'est pour faire recruter des joueurs.
05:58 Il n'y a pas nécessairement besoin que ça explose et que Paris perde tous ses matchs.
06:02 On a potentiellement, si on fait le même match en Coupe de France, on n'a que deux
06:06 points.
06:07 On n'est pas à 40 points.
06:08 On n'est pas à 10 points.
06:09 On est à 13 points parce que si ils implosent, mais qu'il y a 15 points d'avance.
06:11 C'est comme nous, si on implose, Lyon, ils ne vont pas nous rattraper.
06:14 Ou alors, si Lyon nous rattrape, ça veut dire que tout le monde te passe devant.
06:16 C'est un peu pareil pour Paris.
06:17 Ils n'ont pas besoin d'imploser.
06:18 Trois, quatre mauvais résultats.
06:19 Non, mais c'est toujours le cas.
06:20 Sur, entre guillemets, dans la logique de tout ce qu'on dit, déjà, on ne peut jamais
06:27 tirer encore une fois des plaintes en commun.
06:28 Mais il faut les battre.
06:29 C'est sûr que si on ne les bat pas, sans même perdre.
06:33 Même si tu fais nul chez toi.
06:36 Et là où je me dis que je ne suis pas sûr que dans la tête des joueurs, on n'est
06:41 déjà pas capable de se dire on joue le titre.
06:44 C'est que si tu es un à un, par exemple, à 80e, je ne pense pas qu'ils vont se jeter
06:49 comme des fous en se disant il faut aller gagner.
06:50 Il faut aller gagner.
06:51 Il y a le trauma Tottenham.
06:52 Peut être que je me trompe, mais je serais hyper déçu.
06:55 Tu peux.
06:56 Moi, je ne suis pas d'accord avec toi.
06:58 Tu peux même te prendre 3-0 sur la confrontation au LPSG.
07:01 Et les balles, surtout que historiquement, ça leur est déjà arrivé.
07:04 Ils auront un bapé aussi.
07:06 Contre Ausserre.
07:07 L'année où Ausserre fait le doublé, Paris les gagne 3-0.
07:13 Et ils se font rejoindre derrière.
07:15 Ils sont habitués sur ça.
07:16 Et surtout, c'est le match Bayern qui arrive après.
07:18 C'est à dire qu'ils viennent te gagner chez toi.
07:20 Derrière, ils explosent contre le Bayern.
07:22 Le club entier explose.
07:23 Et toi, tu récupères les miettes.
07:25 Ça peut aussi être un avantage si jamais ils font l'exploit contre le Bayern aussi.
07:29 Tout est à notre avantage.
07:31 Je pense que moi, ce que je préfère, c'est qu'ils fassent l'exploit contre le Bayern.
07:35 Qu'ils passent encore un tour et qu'ils perdent la défaite qu'ils ont en demi contre Manchester City.
07:40 Après avoir sorti Barcelone et le Bayern.
07:42 Non, mais qu'ils n'aillent pas trop loin.
07:43 J'ai beaucoup aimé quand même.
07:44 En demi, c'est bien.
07:45 J'ai vraiment du mal à croire que cette équipe-là puisse passer le Bayern.
07:48 Surtout pas dans les tables de Paris.
07:51 Honnêtement, si les dieux du football sont raisonnables, tu ne peux pas passer avec un effet qui paraît.
07:57 Si le football est à toi, tu te respectes.
07:58 En fait, le vrai problème, c'est qu'aujourd'hui, ils ont 54 points.
08:01 Si tu regardes leur première partie de saison, ils ne doivent pas être à 54 points.
08:04 Il y a un nombre d'étoiles alignées.
08:06 D'habitude, tu ne dis pas ça.
08:07 D'habitude, tu dis qu'ils gagnent.
08:08 Oui, ils sont plus forts.
08:09 Ils ont gagné un nombre de matchs vraiment tirés par les cheveux.
08:14 Ils ont eu une chance pas possible.
08:16 Ils n'avaient pas la domination.
08:17 Ils n'avaient pas la possession.
08:18 On n'a jamais vu ça du PSG.
08:20 Depuis l'arc...
08:22 Enfin, pas l'arc Atari, mais depuis 2012-2013.
08:25 Tu n'as jamais vu ça du PSG.
08:27 C'est même pas à vous parler d'implosion, mais il n'y a pas d'implosion.
08:31 C'est juste qu'ils vont arriver à élever leur niveau pour finir devant nous.
08:35 On nous dit qu'on parle beaucoup de Paris, mais en fait, on est obligé de parler de Paris dans cette partie-là.
08:38 Parce que si tu veux être champion, c'est qu'il va falloir finir devant Paris.
08:41 Donc, on est obligé d'analyser Paris.
08:43 Tu sais que ça ne vous plaît pas qu'on fasse cinq minutes sur le PSG, mais c'est le thème du truc.
08:46 Tu es obligé de regarder demain.
08:47 Tu ne seras pas champion si Paris carmure.
08:49 Tu peux parler de Monaco, mais Monaco et Lens, pour le coup, maintenant, Lens qui a déjà perdu.
08:54 Pour moi, c'est quasiment la finale du championnat de France.
08:57 Monaco, ils ont la Coupe d'Europe aussi.
08:59 La finale du championnat de France, si tu ne fais pas une contre-performance contre Toulouse,
09:02 même si Paris gagne ou perd contre Lille, la limite, ce n'est pas très grave.
09:05 Mais le match contre Paris, c'est quasiment la finale du championnat.
09:09 Sur la fin de la semaine, entre 8 points et 3 points, c'est vraiment très léger.
09:12 Moi, ce qui me rend pessimiste, et je ne veux pas dire pessimiste,
09:15 ce qui ne me rend pas hyper optimiste comme tu l'es toi,
09:18 c'est que tu viens d'aller à Clermont, tu as gagné.
09:22 Là, tu dis Toulouse qui tourne bien.
09:24 Bon, si tu fais et que tu gagnes, après tu reçois Paris et tu gagnes.
09:28 Mais oui, mais alors là, si tu veux me dire que si on gagne tous les matchs jusqu'à la fin du semaine,
09:32 on sera champion, je te dis, ben oui.
09:34 En fait, tu n'as plus qu'un joker, peut-être, éventuel.
09:37 On n'en a peut-être plus.
09:39 On ne sait pas, effectivement.
09:41 Il y a une semaine, tu m'as dit si on ne gagne pas Nice, c'est mort et compagnie.
09:45 Là, tu es en train de me faire une partie. Est-ce qu'on croit ou non ?
09:47 Tu m'as dit oui, on est mort, mais on a ressuscité.
09:50 On a ressuscité encore trois fois.
09:52 Il y a le nombre de matchs restants, les gars.
09:54 Moi, je te parle de Paris, il reste 15 matchs.
09:56 Quand tu joues Paris, c'est le 13e match, donc il en restera 12.
09:59 Si tu as 8 points, c'est fini. C'est terminado.
10:01 Ça va très vite ce soir.
10:03 J'ai un bémol que quand on n'a pas parlé de 8 points en haut du tableau,
10:06 ce n'est pas pareil que 8 points en bas du tableau.
10:08 Parce que les équipes gagnent beaucoup.
10:10 8 points en 12 matchs, c'est impossible à gérer.
10:12 2 points en 12 matchs, ce n'est pas la même chose.
10:14 8 points en 12 matchs, ce n'est pas impossible à gérer du tout.
10:16 Avec ce PSG là, non.
10:18 Vous pensez que le PSG va élever son niveau miraculeusement.
10:23 Je ne les vois pas élever leur niveau.
10:25 Ce n'est pas une histoire d'élever ton niveau.
10:27 C'est une histoire que quand tu as 12 matchs à jouer,
10:29 tu te dis qu'il y a 36 points à prendre.
10:32 Tu te dis que même s'ils ne sont pas bons,
10:35 ils vont quand même en prendre une vingtaine.
10:38 Donc, s'ils en prennent juste une vingtaine sur 36,
10:41 ce n'est pas beaucoup pour Paris.
10:43 Mais toi, il faut que tu fasses carton plein pour pouvoir les doubler.
10:46 Donc, après, encore une fois, si ça te fait...
10:49 Justement, le bémol que j'ai, il est là.
10:51 Avec 11 victoires nulles, tu es devant.
10:53 Il te faut 11 victoires de nulles, tu es derrière.
10:55 Toutes nos parties se rejoignent ce soir, c'est magique.
10:57 Pourquoi on est très forts à l'extérieur aussi cette saison ?
10:59 Parce qu'on a joué les plus nuls.
11:01 Parce que je vous donne ce qu'il nous reste à l'extérieur.
11:03 Les amis, je vous le donne.
11:06 Rennes, à l'extérieur, Rennes n'est pas en grande forme,
11:08 mais ça reste un déplacement pas simple.
11:10 Reims, qui n'a pas perdu depuis septembre en Ligue 1.
11:13 Ils n'ont pas perdu depuis septembre.
11:15 Tu vas à Lyon.
11:16 Tu vas à Lorient ensuite.
11:17 Lorient, ça peut être jouable, je suis d'accord.
11:19 Tu vas à Lyon où tu n'as jamais gagné dans ce stade.
11:21 Tu vas à Lens.
11:23 Tu vas à Lille.
11:24 Tout s'enchaîne.
11:25 Tout cela, il s'enchaîne.
11:26 Il n'y a pas un petit engé pour décompresser.
11:28 C'est pour ça, demain...
11:30 Et tu finis à Ajaccio.
11:31 Mardi 14 février, tous derrière le Bayard.
11:35 Non, mais tous derrière notre télé pour regarder ce qui se passe.
11:38 Parce qu'effectivement, si ça explose...
11:40 Du coup, j'ai une question à vous poser.
11:42 Une question bête.
11:43 Vu ce qu'ils viennent de dire Romain, moi je vous dis mon avis.
11:46 Après, je vous demande le vôtre.
11:48 Moi, si tu me dis là, tu signes sur un papier de t-shirt d'être deuxième à la fin de saison,
11:51 je signe de suite.
11:52 Vous êtes dans la logique de vous dire non, je vais chercher le titre.
11:56 Moi aussi.
11:57 Moi, je te dis juste, en ce moment, on est dans une euphorie.
11:59 J'aime bien ces périodes-là.
12:00 C'est une espèce d'euphorie après Paris.
12:02 Tu viens de gagner à Clermont.
12:03 Tu te dis, on est sur une pente ascendante.
12:05 Pourquoi viser la même place où tu es ?
12:08 Tu te dis, allons un peu plus haut.
12:09 Ça ne veut pas dire que tu vas y rester.
12:10 Ça ne veut pas dire qu'on ne va pas finir quatrième.
12:13 Je suis conscient qu'on peut être attrapé par Monaco, même par une équipe comme Lille.
12:16 Pourquoi pas ?
12:17 Parce qu'après Lille, ça va être compliqué.
12:19 Lens aussi, mais après Lille, ça risque d'être compliqué.
12:21 Parce que comme on disait pour l'écart de points, on carbure quand même à plus de 2 points de moyenne par match.
12:26 2,5 sur les 10 derniers matchs.
12:27 Donc, même si tu restes à 2 points par match, c'est top 4.
12:31 Mais par contre, le 2,1 ou le 2,2, c'est ce qui va faire troisième ou deuxième.
12:35 Mais ça peut être effectivement très compliqué.
12:37 Je ne pense pas au titre, je le souhaite très fort et je suis hypé par la fin de saison.
12:40 Je suis hypé parce que je suis ici aussi.
12:41 Je suis hypé en général parce que je kiffe.
12:43 Mais c'est vrai que si je suis pragmatique et je suis devant mon ordi, j'analyse.
12:46 Effectivement, vu ton calendrier, vu qu'à partir de mars, Paris joue pim pam poum, parce qu'il faut le dire, ils enchaînent tout.
12:51 À partir de mars, il n'y a plus personne.
12:52 Je vous ai donné les matchs à l'extérieur, mais les matchs à domicile, par contre, là, c'est pim pam poum.
12:55 Il y a un moyen de faire carton plein sur les matchs à domicile, pour le coup.
12:58 J'ai bien analysé.
12:59 Il n'y a pas un match difficile à domicile, normalement, jusqu'à la fin de saison.
13:02 Non, mais Paris, après leur période où il y a Lille, parce qu'elle joue quand même pas mal de monde, à partir de mars, si tu prends le calendrier, Paris joue vraiment pim pam et poum.
13:08 Ils ont joué tout le monde.
13:09 Ah, d'accord.
13:10 Donc, c'est pour ça que c'est maintenant.
13:11 Mais pim pam et poum, en avril, ils essayent de se maintenir quand même.
13:14 Oui, mais pim pam poum.
13:15 Vivement la Ligue 1 18.
13:17 D'accord.
13:18 On fait un super championnat de France.
13:20 J'adore.
13:21 Les équipes du haut, il y a vraiment des super matchs.
13:23 Mais tu vois que vraiment, si tu prends Angers, Ajaccio, Troyes et Ausserre, si sur ces quatre, on te dit qu'il n'y en a plus que deux, c'est bien.
13:35 Même eux, il n'y en a plus.
13:37 On va basculer les amis vers les questions réponses.
13:41 On y va tout de suite.