"On ne va pas faire le score d'audience de la saison" : Gaspard Proust se paye Stanislas Guérini invité sur Europe 1
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00:00 C'est une semaine qui avait plutôt bien commencé en termes de bagage universitaire des invités,
00:06 mais là on sent que ça commence à décroître.
00:08 - Qu'est-ce que vous voulez dire ?
00:09 - Hier à la main, lycée Henri IV, ENA, Lémine,
00:11 aujourd'hui Stanislas Guérini, école alsacienne, HEC Paris.
00:14 A ce rythme-là, pour fin de semaine, je sens bien Julien Oudoul,
00:17 école primaire, fitness park.
00:19 En tout cas, a priori, pour demain, on ne part pas sur du Juppé ou du Fabius.
00:23 - Je vois que vous êtes un peu penché sur le parcours de nos invités.
00:26 - Bien sûr, c'est la moindre des choses.
00:28 Et honnêtement, Guérini m'épate.
00:29 - Comment ça, il vous épate ?
00:31 - Et ce n'était pas gagné d'avance.
00:32 Parce qu'il faut être honnête, quand tu as Guérini qui apparaît au micro d'une matinale,
00:35 tu sais que tu ne vas pas faire le score de la saison.
00:37 Non, mais il ne faut pas le prendre contre vous.
00:40 C'est factuel, tu sais que tu n'auras pas droit aux 3 balles perdues de Rachida Dati,
00:45 à la folie d'une Sandrine Rousseau, à l'élégance sémantique d'une Mathilde Pannot.
00:48 Non, avec Guérini en termes d'audience,
00:49 à moins que toutes les radios n'aient pris ce matin un hologramme d'Agnès Pagnier-Runacher,
00:52 on n'a jamais vu le best-of de la pâte-patrouille battre un match de la Ligue des champions.
00:57 - Vous êtes dur.
00:57 - Non, ça c'était vers 6h30 ce matin.
00:59 - Vous nous disiez que vous avez épaté.
01:04 - Je transmettrai.
01:06 Je note que vous avez 2-3 obsessions quand même.
01:08 - Ah bon ? Desquelles ?
01:10 - Dites-moi en plus.
01:12 - Je peux vous faire passer devant un psy, mais il y a peut-être 2-3 questions à se poser.
01:16 Mais on en reparlera avec Sandrine Rousseau quand vous la...
01:18 - Je vous invite à poursuivre la conversation hors du studio.