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Du lundi au vendredi, dans Demain au travail, un responsable d'entreprise raconte au micro d'Europe 1 une innovation mise en place au sein de son entreprise pour le bien-être de ses salariés.

Retrouvez "Demain au travail" sur : http://www.europe1.fr/emissions/demain-au-bureau

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Transcription
00:00 - Europain, la France bouge.
00:02 Demain au travail.
00:04 - D'abord avec vous Pierre Garcia, vous l'avez évoqué là juste avant,
00:07 c'était quelque chose d'important pour vous, cet index hommes-femmes avec une très bonne note pour les grands moulins de Paris en
00:15 2022. Il y a aussi voilà cet aspect qualité de vie au travail qui est important pour l'entreprise.
00:22 - Oui la France adore les sigles donc on parle de QVT.
00:25 - C'est ça QVT, qualité de vie au travail.
00:27 - Qualité de vie au travail, évidemment l'égalité hommes-femmes qui j'espère ne sera plus un sujet assez rapidement
00:34 puisqu'on n'aura plus à en parler, puisqu'on aura réglé cette problématique.
00:37 Des accords télétravail, c'est pas forcément facile pour tout le monde de télétravailler.
00:42 - Ça dépend des métiers forcément.
00:43 - Il y a des métiers où il y a une inégalité mais il y a aussi toute cette capacité de nos entreprises à
00:50 aborder le dossier du handicap avec l'intégration de l'ensemble
00:57 des travailleurs handicapés
00:59 qui fait partie de nos préoccupations que ce soit
01:02 chez Grand Moulin de Paris mais aussi à l'échelle du groupe Vivesia parce que
01:06 parce que ce sont des métiers traditionnels et c'est normal que de pouvoir
01:12 Travailler en collaboration avec
01:16 avec l'ensemble des acteurs.
01:19 - Félix Bonduelle chez Javelot pour trouver les bons profils, pour attirer comment ça se passe,
01:24 vous sentez qu'il se passe quelque chose justement sur ce type de logique, d'être un petit peu
01:29 éco-responsable, d'avoir un impact sur l'environnement, ça fait partie des choses que vous retrouvez ?
01:34 - C'est certain, je pense que les gens qui viennent chez Javelot aujourd'hui recherchent ça, recherchent
01:38 un métier qui a du sens, alors ça veut tout dire et rien dire mais clairement d'avoir un impact
01:43 voilà les gens le recherchent, c'est ce qu'on propose chez Javelot et je pense qu'on a un impact fort dans un secteur
01:50 voilà qui concerne tout le monde, on a besoin des agriculteurs et vous avez besoin
01:55 d'un médecin le moins possible dans votre vie, l'agriculteur quoi qu'il arrive vous en avez besoin au moins trois fois par jour
02:00 donc
02:01 ça concerne tout le monde et je pense que c'est ce que recherchent
02:04 toutes les personnes qui viennent chez Javelot et je les appelle parce qu'on recrute beaucoup et on a besoin d'avoir des talents.
02:08 - C'est clairement l'occasion de faire passer le message, toutes les infos sur europe1.fr
02:12 si nécessaire, avec plaisir. Pour vous aussi, Gabriel Hugon, vous le ressentez, cette
02:17 logique, c'est pas juste parce qu'on aime la bière qu'on vient travailler chez
02:20 Maltivore, il y a cette logique d'anti gaspilles, de faire passer ce type de message là forcément. - Oui oui complètement
02:26 Je pense que 95% des gens qui sont chez Maltivore et qui postulent chez Maltivore sont des gens qui ont des fortes valeurs environnementales
02:35 et qui veulent travailler dans une entreprise qui bouge un peu les lignes et qui va
02:40 chercher un impact positif sur l'environnement.
02:45 - Effectivement et sur l'aspect pénurie de main d'oeuvre, Pierre Garcia, on l'avait évoqué en tout début d'émission, c'était déjà le cas
02:51 à l'origine des grands moulins de Paris. Là comment ça se passe maintenant ?
02:55 C'est parfois compliqué, il y a suffisamment de jeunes formés, de moins jeunes d'ailleurs, pour aller vers vos métiers ?
03:02 - C'est vrai, on en a parlé en début d'émission puisque
03:06 en 1929 quand le Moulin de Paris a créé une école de boulangerie puisque
03:11 on manquait déjà à l'époque de boulanger, alors c'est une raison quand même beaucoup plus tragique, c'est que
03:15 une grande partie d'entre eux étaient décédés sur le front de la grande guerre.
03:20 Écoutez, l'attractivité
03:24 pardon de nos métiers reste un enjeu, c'est aussi à nous de nous relever les manches, de former les gens,
03:30 de leur proposer des parcours très attractifs. On peut faire carrière dans des métiers comme
03:36 les nôtres qui peuvent paraître traditionnels, une entreprise comme Grand Moulin de Paris c'est 200 métiers différents.
03:42 C'est des parcours
03:44 évolutifs, on a une ancienneté chez nos collaborateurs de pratiquement 15 ans,
03:49 donc c'est des gens qui restent parce qu'ils évoluent.
03:52 On a remis cette année trois médailles de 40 ans d'ancienneté à des gens qui
03:56 veulent surtout pas partir et on veut surtout pas qu'ils partent parce qu'il faut conserver aussi les savoir-faire.
04:02 Je crois que c'est de notre responsabilité que
04:05 d'attirer les talents dans un monde de plein emploi. C'est peut-être la seule bonne nouvelle
04:11 en ce moment. Il y a du travail. - On a parlé des crises, on peut insister sur le travail.
04:15 - Donc oui, venez rejoindre, c'est un appel qu'on peut lancer, venez rejoindre
04:21 des métiers comme les nôtres qui participent quotidiennement à
04:25 nourrir nos concitoyens.
04:28 Et c'est des métiers qui sont forts parce que c'est des métiers de partage et de convivialité.
04:35 - Et très concrets, on l'a vu avec vous trois, évidemment, plein d'innovations.
04:40 Allez, on arrive déjà bientôt à la fin de notre émission, l'heure de notre rendez-vous.
04:43 Que sont-ils devenus ? Eh bien, je vais poser la question à Sabine Andria, fondatrice de Green Doze.
04:48 de la France.
04:49 [Musique]

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