Retraites ; "La porte d'Olivier Dussopt est ouverte", répond Elisabeth Borne aux syndicats

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La Première ministre Elisabeth Borne a été interpellée ce mercredi 8 mars lors de la séance de questions au gouvernement par le socialiste Patrick Kanner. Le sénateur se faisait l'écho des organisations syndicales qui demandent à être reçues à l'Elysée par Emmanuel Macron. La cheffe du gouvernement a répondu que la porte du ministre du Travail est ouverte.    Pour suivre toute l'actualité politique et parlementaire, abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/user/publicsenat?sub_confirmation=1   Notre site internet : http://www.publicsenat.fr   Abonnez-vous à notre newsletter : https://urlz.fr/iinC    Suivez-nous sur les réseaux sociaux Facebook : https://www.facebook.com/publicsenat Twitter : https://twitter.com/publicsenat Instagram : https://instagram.com/publicsenat LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/2996809/

Transcript

00:00 C'est le droit des syndicats et de nos concitoyens.

00:03 Ce droit, bien évidemment, je le respecte.

00:06 Je respecte les Français et les syndicats qui font entendre leur

00:10 opposition dans le respect de nos lois.

00:13 Hier, une journée de mobilisation s'est tenue, avec sensiblement le

00:17 même nombre de manifestants. C'est une journée de mobilisation

00:21 qui a été déployée par le gouvernement.

00:24 Je veux saluer les forces de l'ordre mobilisées pour veiller à la

00:30 sécurité de cette journée d'action. Je veux aussi saluer la

00:36 responsabilité des manifestants. Je regrette bien sûr que des

00:39 incidents aient été manifestés. Je veux saluer les forces de l'ordre

00:44 qui ont été mobilisées pour veiller à la sécurité de cette journée

00:47 d'action. Je veux aussi saluer la

00:50 responsabilité des manifestants. Je regrette bien sûr que des

00:55 incidents aient émeillé certains cortèges, par exemple à Paris ou à

00:59 Marseille. Je condamne les coupures

01:03 d'électricité dans certains tribunaux, dans certaines

01:06 universités, dans certains quartiers et dans certaines permanences

01:09 parlementaires. Le droit de grève, ce n'est pas le

01:13 droit au blocage ou la volonté de mettre notre économie à genoux.

01:17 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:22 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:24 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:29 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:31 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:34 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:36 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:39 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:41 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:44 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:48 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:51 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:53 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

01:56 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

01:58 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

02:01 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

02:03 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

02:06 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

02:08 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

02:11 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

02:13 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

02:16 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

02:18 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

02:20 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

02:22 Je veux aussi saluer les forces de l'ordre qui ont été mobilisées pour

02:24 veiller à la sécurité de cette journée d'action.

02:26 - Richard Ferrand: Merci. La parole est à madame Elisabeth

02:28 Pompili. - Elisabeth Pompili: Merci.

02:29 Ce n'est peut-être pas important, monsieur le sénateur, mais je crois

02:31 que c'est important. La pénibilité, les transitions

02:33 emploi-retraite, la prise en compte des trimestres de travaux d'utilité

02:35 collective, les fameux tubes des années 80, ce sont des changements

02:37 qui ont été faits. Je crois que c'est important de

02:39 rappeler que ces changements ont été faits.

02:41 Je crois que c'est important de rappeler que ces changements ont été

02:43 faits. Toutes ces questions sont au coeur

02:45 du débat au Parlement. Vous en discutez actuellement au

02:47 sein même de cet hémicycle. Je le répète, nous sommes prêts à

02:49 faire évoluer, à améliorer et à enrichir ce texte dans le respect de

02:51 ces équilibres. Pour y parvenir, nous devons

02:53 pouvoir débattre loyalement, ouvertement et franchement.

02:55 Je peine à comprendre, monsieur le président Cannaire, votre ton, vos

02:57 insinuations et vos attaques. Le gouvernement n'intervient pas

02:59 dans l'organisation des débats au Sénat.

03:01 Mais en même temps, nous devons faire avancer les choses.

03:03 Le débat au Parlement doit se tenir dans le respect des uns et des autres,

03:07 sans blocage, avec une volonté de discussion sincère.

03:09 C'est le fondement de notre démocratie.

03:11 Nous ne pouvons pas et nous ne devons pas opposer la légitimité de la rue à

03:14 celle de nos institutions. Depuis quelques jours et jusqu'à la

03:18 fin de la semaine, la discussion va se produire.

03:20 Je pense que nous devons nous en tenir compte.

03:22 Je pense que nous devons nous en tenir compte.

03:24 Je pense que nous devons nous en tenir compte.

03:26 Je pense que nous devons nous en tenir compte.

03:28 Je pense que nous devons nous en tenir compte.

03:30 Depuis quelques jours et jusqu'à la fin de la semaine, la discussion va se

03:33 poursuivre au Sénat. Plus de 100 heures de débats sont

03:36 prévues au total. Vous avez les cartes en main pour

03:38 agir, les cartes en main pour enrichir le texte, les cartes en main pour donner

03:42 à tous les Français le débat démocratique qu'ils réclament.

03:45 Je vous remercie.

03:47 (musique)

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