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00:00 Est-ce que vous êtes prêts ?
00:04 Ouais !
00:05 Check !
00:06 T'es où ?
00:07 Ah merde !
00:08 Attention d'être en ville, il faut être prudent.
00:11 À Paris, la mobilisation est un succès.
00:14 800 000 personnes selon la CGT, 119 000 d'après le ministère de l'Intérieur.
00:19 Des chiffres records depuis le début du mouvement.
00:22 À Marseille, Lyon, Bordeaux, Ancorraine, le nombre de manifestants est aussi reparti à la hausse.
00:28 Mais dans ces villes, des tensions ont émaillé les fins de manifestation.
00:32 Pourquoi vous dites que c'était une déclaration de guerre les propos du président ?
00:36 Parce qu'il s'en prend à tout le monde.
00:38 Les syndicats, ça va pas.
00:40 Le peuple, il est dans la rue, c'est défactieux, c'est pas légitime.
00:45 Mais lui, le 49.3, c'est légitime.
00:47 Hier, on a eu un président de la République particulièrement arrogant.
00:52 Et bien, on lui montre face à cette arrogance la détermination.
00:55 La détermination, elle est pleine, elle est entière, elle est interprofessionnelle.
01:00 L'enjeu, il est trop important.
01:02 C'est deux ans d'années, les pires années de travail qu'on va avoir.
01:05 Et ils nous prennent nos deux meilleures années de retraite.
01:07 Donc il est hors de question qu'on lâche.
01:09 Il a remarqué que le président qui portait une montre pendant les dix premières minutes
01:14 l'a retirée discrètement sous la table avant de la poser à côté.
01:18 De négocier et ensuite de réquisitionner.
01:21 Sur les réseaux sociaux, beaucoup s'interrogent sur ce geste.
01:24 Ma première question aux grosses têtes, pardon, cet après-midi,
01:28 c'est qu'est-ce que M. Emmanuel Macron a fait à la dixième minute de son entretien ?
01:32 Mes camarades ont eu un peu de mal à trouver.
01:35 Ils ont trouvé qu'à un moment donné, effectivement, il avait mis ses mains sous la table.
01:38 Roselyne Bachelot a proposé qu'il se grattait les couilles.
01:40 On a dit c'était...
01:42 Cécile a dit ça.
01:43 Et certains pensent que le chef de l'État avait oublié qu'il portait une montre de luxe.
01:48 Faux, nous indique l'Élysée, que nous avons sollicité.
01:51 Il s'agit bien de ce modèle qui coûte 2000 euros.
01:55 Mais la vraie raison, c'est que la montre tapait un peu trop sur la table.
01:59 Il y a...
02:00 Franchement, avec le discours qu'il a eu hier soir, le président,
02:03 il n'est pas du genre à ne pas assumer une montre, même si elle devait coûter 80 000 euros.
02:07 Et en plus, s'il devait avoir choisi de la porter,
02:10 ce sera encore pire que de l'enlever pendant...
02:13 En revanche, il l'enlève bien.
02:14 Moi, je trouve qu'il y a un côté tourne-espace.
02:16 Alors, peut-être qu'on va changer et dire patati et patata.
02:20 D'accord, on va rajouter un "et patati et patata".
02:24 Voilà, et je vais bloquer ses paroles parce que...
02:26 Allez, ouais, ouais, ce soir, vous êtes au bout.
02:28 Qu'est-ce qui vous a choqué dans ce qu'il a dit hier ?
02:34 Qu'il nous compare à la prise du capital, déjà.
02:36 Et...
02:39 C'est pas infatieux ?
02:40 Non.
02:41 Ils ne sont plus fatigués, mais CGT.
02:47 Ce nouveau champ, entendu dans une manifestation contre la réforme des retraités virale,
02:51 depuis la publication de cette vidéo du Média Brut,
02:54 il a déjà été réutilisé plus d'un millier de fois sur TikTok,
02:58 où l'opposition au gouvernement se fait en dansant.
03:01 Doucement, doucement, doucement, doucement.
03:04 Ouais, la solidarité avec les soignants, vous avez été solidaires ?
03:07 Oui, c'est ça.
03:08 Vous avez bien laissé dans la mer.
03:09 À tort, à 20h, vous appréhendissez, on n'en parle pas des syndicats.
03:12 Et aujourd'hui, vous venez nous pourrir l'existence, OK ?
03:14 Non, moi, je ne suis pas encartée, madame.
03:15 Je suis citoyenne du monde.
03:16 Oui, et puis il ne faut pas mettre tout le monde en même sac.
03:19 Et regardez ce qu'elle regarde en même temps.
03:24 Eh bien oui, évidemment, BFM TV, elle vous regarde, Christophe, Adeline.
03:27 Elle est très fan.
03:29 C'est vrai, ça, non ?
03:30 Oui, oui, je suis très fan de Christophe et Adeline.
03:32 J'aime beaucoup leur journal.
03:34 Je trouve qu'il n'est pas en bonne humeur,
03:36 et ça nous fait du bien, nous, les usagers, qui galérerons depuis pratiquement trois semaines.
03:39 Mais je suis d'accord avec vous.
03:41 Moi, j'ai fait tous les manifs sur les hôpitaux.
03:44 Ah bon ? Et on en est où, aujourd'hui, les hôpitaux, vous pouvez le dire ?
03:47 Il n'y a pas assez eu de monde.
03:48 Nous, c'est les retraites, c'est 67 ans.
03:50 Vous nous avez aidés.
03:51 On a eu comme ça, bien profond.
03:53 Arrêtez ! Arrêtez !
03:55 Vous parlez de quoi ? Vous avez vu nos salaires ?
03:57 Vous avez vu nos retraites ?
03:58 C'est les plus avantageux qui se plaignent.
04:00 Stop ! Stop !
04:02 C'est pour ça que je fais mon boulot, là.
04:04 J'ai des gens qui m'attendent pour des chimios.
04:06 Vous comprenez ce que c'est ?
04:07 Voilà, donc vous voyez, elle est très fan.
04:11 Elle vous trouve très sympathique, à l'antenne.
04:13 Si elle savait, je ne vous dis pas, Laurent,
04:16 on s'en va dans les rues.
04:17 Je veux plaisir, je veux bien qu'on s'en parlie.
04:18 Excusez-moi, je suis comme ça, 6h30 du mat, à cause de quoi ?
04:23 À cause de nous, à cause de Macron.
04:25 C'est ça.
04:26 Tu l'as élu, connard !
04:28 C'est pas nous !
04:30 Quand on est plus Miss France, on fait quoi, en fait ?
04:34 De la radio.
04:35 Déjà, on fait de la radio.
04:36 Sinon, on dort.
04:37 On profite un petit peu de dormir.
04:38 Et puis, de temps en temps, on fait quelques apparitions.
04:40 Comme ça, tu m'as dit, il y aura une grande carrière après Miss France.
04:42 Je me retrouve là, donc écoute, je ne sais pas trouver ce que j'en suis.
04:45 T'as vu à côté de quitter, là ?
04:54 Justement, parce que je lui ai dit.
04:56 Il m'a dit "ta carrière s'arrête maintenant".
04:57 Je lui ai dit "non, elle commence".
04:58 Je te rappelle, il y a deux ans, tu faisais de la foire à la saucisse à Montélimar.
05:03 Donc c'est bon, on descend de deux étages.
05:05 Je ne vous dois rien du tout.
05:07 Vous êtes qui, vous ?
05:08 Donnez-moi le nom de votre avocat, puisque vous me le proposez.
05:10 Non, je vous donne rien.
05:12 Non, mais vous êtes qui ?
05:14 Pour la troisième fois, je suis Julien Courbet.
05:17 Oui, d'accord.
05:18 C'est quoi, vous êtes un représentant de l'État ?
05:20 Je suis empereur, monsieur.
05:22 Je me suis autocroclamé empereur d'Europe.
05:25 Et je suis là, et voilà.
05:26 2 800 euros dans la cagnotte pour Nicolas.
05:30 Est-ce que vous êtes heureux ?
05:32 Oui, super, c'est génial.
05:34 Vraiment bien.
05:35 Je suis derrière vous.
05:38 Jour de grève.
05:39 Mobilisation contre la réforme des retraites, la 9ème.
05:42 Doit-on souhaiter la bienvenue aux téléspectateurs de Télématins ?
05:45 Oui, soyez les bienvenus.
05:47 Vous allez découvrir un autre univers.
05:49 Défrontale en cuisine.
05:52 Ce restaurant gastronomique a choisi une action symbolique.
05:55 Éteindre la lumière le temps d'une soirée
05:59 pour dénoncer la flambée des prix de l'énergie.
06:02 Une initiative insolite du chef Christophe Marguer.
06:07 On va vous servir malgré tout de la vraie cuisine et des vrais plats chauds.
06:10 Voilà, bon appétit et bonne soirée à tous.
06:12 L'électricité monte, le gasoil, nos caddies.
06:18 On va faire des caddies.
06:19 On a des familles qui, aujourd'hui, sont obligées de se rationner.
06:22 On fait confiance au chef.
06:24 On peut dîner les yeux fermés, c'est pas grave.
06:27 C'est justement pour ne pas rompre cette confiance
06:30 que la profession n'envisage pas d'augmenter l'addition.
06:34 Impensable de répercuter la hausse du coût de l'électricité sur le client.
06:38 Comment vous estimez qu'on peut se sortir de cette crise aujourd'hui ?
06:42 Il faut renverser le gouvernement.
06:44 On voit bien qu'ils sont tous solidaires.
06:46 Ils sont tous à le bonne gamelle, comme on dit.
06:49 Ils profitent de tout.
06:50 Renverser le gouvernement et puis repartir sur de bonnes bêtes.
06:53 D'après le journal, à son arrivée en mai 2022,
06:57 déjà la première ministre s'en était plainte.
07:00 "Je suis à la tête d'un gouvernement à moitié composé de débiles."
07:04 Voilà ce que l'on leur a dit.
07:05 Depuis, Elisabeth Borne a démenti.
07:07 On tenait à vous remercier.
07:09 Ça a été vraiment super.
07:10 Vous avez fait un excellent travail.
07:12 Mille merci.
07:13 Vous étiez magnifique.
07:14 Non, c'est pas trop bien.
07:15 Non, non.
07:17 Toi, tu as fait une petite erreur.
07:18 Je me dis, peut-être qu'il y aura une épiphanie.
07:21 Peut-être que si ça se trouve, c'est le roi d'Angleterre
07:24 qui va venir donner des conseils de démocratie,
07:26 voire de république, au président.
07:28 En lui disant, nous on a une monarchie,
07:30 mais quand même, c'est pas une monarchie absolue.
07:32 Bon Ben, le pantalon s'est tombé.
07:36 Et vous, finalement c'était dégueulasse.
07:39 Vraiment, c'était minable.
07:41 Un mot pour définir son intervention d'hier ?
07:44 Orsole.
07:45 Il aurait mieux fait de se taire.
07:46 Arrogante.
07:47 Nul.
07:48 Le président de la République se comporte comme un casseur.
07:50 Il fait le pari de la violence pour faire passer sa réforme.
07:53 Vous êtes toujours pas d'accord ?
07:54 Mais non, on est seul.
07:55 Qu'est-ce qu'il vous faut ?
07:56 Il faudrait qu'on nous écoute.
07:58 Parce que moi, hier à midi, j'avais pas très envie d'écouter,
08:00 puisque je me sens pas écoutée.
08:02 Qui sont les factieux ?
08:04 Est-ce que c'est nous ?
08:05 Ou qui est-ce qui se détruit ?
08:06 Les factions et les factieux évoqués par le président de la République.
08:09 On nous dit, c'est quoi la France pour lui ?
08:11 C'est un joujou qui peut cacher.
08:13 Je vais faire réagir Clément Bonnard.
08:15 Le sentiment, je vous le dis,
08:16 d'une espèce de monarchie absolue
08:18 où tous les pouvoirs sont aujourd'hui entre les mains d'un seul homme.
08:21 Les Français font...
08:23 D'abord, il faudrait lui dire que les Français, c'est un F majuscule,
08:25 mais bon, ces gens-là,
08:27 évidemment, ils ont pas appris l'orthographe.
08:29 Les Français vont venir vous chercher et vous dégager.
08:32 Là, il parle à Emmanuel Macron.
08:34 Comme l'a dit Olivier Matheux,
08:36 vous allez la manger votre réforme.
08:38 Député de la République.
08:39 Vous allez ER.
08:40 "Qu'ils viennent me chercher", ça me fait...
08:41 Ça me rappelle aussi Macron sur l'affaire Mélenchon.
08:43 "Vous allez ER". Oui, non.
08:44 "Qu'ils viennent me chercher".
08:45 "Vous allez ER".
08:46 Là, on est en CM2, mais bon.
08:53 Comme ses étudiants en grandes écoles.
08:55 Moi, étudiant d'habitude,
08:57 à des frissons et ne veut pas regarder des films violents,
09:00 je me retrouve dans la rue, tellement en colère,
09:03 que je pense que la violence est malheureusement nécessaire.
09:07 Moi, il y en a une qui fait bien rire, c'est l'avocate.
09:12 Elle a qu'à enlever ses chaussures...
09:13 L'avocate, elle a un nom.
09:15 Elle a ses chaussures à talons et elle a ramassé les poubelles.
09:17 Pardon, monsieur ?
09:19 Elle a ramassé les poubelles.
09:20 C'est autant votre boulot que le mien.
09:22 Et c'est autant mon...
09:23 Non mais attendez, comment ça c'est autant mon boulot que le vôtre ?
09:25 C'est les militaires.
09:26 Vous êtes avocat, tu militaires.
09:27 Le militaire, son rôle, c'est pas d'aller ramasser les poubelles.
09:29 Ben l'avocat non plus.
09:30 Pourtant, l'armée l'a fait dans le passé.
09:32 Puis la remarque sur les talons aiguilles, on s'en passera.
09:34 Pardon ?
09:36 C'était une vraie question.
09:37 Voulez-vous coucher avec moi ce soir ?
09:39 Je vais peut-être partir.
09:43 Il faut que j'appelle ma femme.
09:44 Il y a un moment...
09:45 Il faut que j'appelle ma femme.
09:46 Toujours les mêmes questions.
09:48 Ah non, c'est pas les mêmes questions, c'est une question d'organisation.
09:50 C'est vrai, c'est vrai, tout à fait.
09:52 Mais c'est très bien d'être un homme organisé, ça se voit tout de suite.
09:54 Voilà.
09:55 Il s'agit de l'invention du jour, c'est une nouvelle intelligence artificielle appelée Cupid Bot qui pointe le bout de son nez.
10:01 Cette intelligence artificielle permet d'interagir avec les utilisatrices sur des applications de rencontre
10:06 en sélectionnant les profils compatibles et en ayant des conversations à votre place.
10:10 Ça c'est génial.
10:11 Grâce à elle, finis les prises de tête pour trouver la bonne disquette de drague en quelques messages.
10:15 Elle a pour but de charmer votre cible et d'organiser un rendez-vous avec elle.
10:19 Ah, je rappelle que je pourrais être votre père.
10:22 Alors, allons-y.
10:23 Ah, mais vous ne l'êtes pas justement.
10:24 Non, non, non.
10:25 C'est vrai.
10:30 Mais il y a une espèce de barrière, si vous voulez.
10:33 Ah, c'est bien, c'est bien.
10:35 Ah le sugar daddy, ah là là.
10:39 Ah ben Nagui comme sugar daddy, quel rêve quoi.
10:43 Cependant, la question éthique de la transparence vis-à-vis de l'utilisation des chatbots est soulevée,
10:48 les femmes n'étant pas informées qu'elles discutent avec un robot.
10:51 Oh merde.
10:57 Allez, allez, allez.
10:58 Zup, je loupe le ballon.
11:02 Je crois que t'as voulu shooter le gazon.
11:05 Moi-même je rigole tellement c'est nul.
11:08 Oh là là.
11:09 *Bruit de coup de feu*

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