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Transcription
00:00 Bonsoir, très heureuse de vous retrouver avec Émilie, Pierre, Patrick, Mohamed et Mathieu.
00:08 Salut les amis.
00:09 Bonsoir, on est ensemble jusqu'à 20h55 mais c'est à vous, deviens ce soir, c'est à eux,
00:15 jeunes mots subtils, pour allier la chasse aux oeufs et l'envie de consacrer l'intégralité
00:20 de l'émission à des invités qu'on admire pour leur engagement, pour leur parcours et pour leur talent.
00:25 On dit que c'est bon pour le moral, vrai ou faux ?
00:28 C'est très bon pour le moral, il y a énormément, regardez, regardez tout ce qu'il y a, ça va libérer le circuit de la récompense,
00:35 regardez, il y a plein de substances, le circuit de la récompense, plaisir, réconfort, détente, antidépresseur naturel,
00:41 si ça c'est pas bon pour le moral.
00:43 3, 2, 1, chasse aux oeufs, vite !
00:46 J'en ai un ici, j'en ai deux, j'en ai trois, j'ai trois oeufs.
00:50 C'est trop gros.
00:51 C'est pas juste, c'est trop gros.
00:52 Favoritisme.
00:53 Je suis la plus grande.
00:54 On fait pitié nous.
00:55 On va parler, vous avez bien compris, non pas oeufs, mais chocolat, tout de suite.
00:58 Vous faites partie des 5% de Français qui n'aiment pas le chocolat ?
01:02 C'est ça, enfin on dit qu'ils mentent, mais bon non.
01:06 Non mais le chocolat, parce qu'il y a différents types de chocolat.
01:08 Moi j'aime pas le chocolat noir, par exemple j'aime bien le chocolat au lait.
01:11 Moi le blanc ça passe.
01:12 Ah le blanc, le blanc il est un peu écœurant.
01:16 Tirez-le du plateau.
01:17 Oui alors, sachez un truc, Marie-Jeanne elle fait la loi ici.
01:22 17 000 euros pour une omelette et pas n'importe laquelle, celle de la confrérie mondiale
01:27 des chevaliers de l'omelette géante de Bessières près de Toulouse.
01:30 Ça s'invente pas, une tradition à chaque lundi de Pâques.
01:33 Depuis 1973, 50 ans plus tard, la manifestation attire des milliers de visiteurs dans la joie
01:38 et la bonne humeur.
01:39 Écoutez.
01:40 Mais ça paraît sérieux quand même, c'est pas de la rigolade ?
01:44 Si, beaucoup, beaucoup, mais pas pendant le temps de cuisson.
01:49 Et encore une fois, le public est venu la déguster gratuitement et en nombre.
02:11 A noter la poêle géante, mesure pas moins de 4 mètres de diamètre tout de même.
02:18 Ambiance, ambiance à Minnesota, l'international français Rudy Gobert a frappé son propre
02:23 coéquipier Kyle Anderson lors d'un temps mort.
02:26 Minnesota s'apprête à disputer le playing tour de qualifications supplémentaires pour
02:29 accéder au fameux play-off de la NBA.
02:32 L'américain reprochait visiblement à notre cher français, deux erreurs commises en défense,
02:36 le coup est parti.
02:37 Pierre après pierre, toute la nuit, les secours se sont activés pour déblayer les décombres.
02:44 Le 17 rue de Tivoli n'est plus qu'un amas de ruines.
02:47 Sur un terrain difficile d'accès, c'est entre les immeubles voisins que cette pince
02:51 a pu se faufiler pour soulever des tonnes de gravats.
02:54 C'est un travail lent et fastidieux, vous le comprenez.
02:58 Parce que s'il reste des vivants sous ces décombres, il faut les préserver à tout
03:04 prix et faire ça de manière, si je puis me permettre de m'exprimer ainsi, chirurgicale.
03:09 Elisabeth Lévy, 20 secondes avant la publicité.
03:13 Bien sûr Gérard Leclerc.
03:15 Pas de polémiques s'il vous plaît.
03:17 Pas de polémiques, excusez-moi, je vais dire ce que je pense.
03:19 Vous dites ce que vous pensez, mais je pense qu'il y a un moment où il y a des sens aussi.
03:22 Je trouve que c'est un peu une image des finales que Gérard vient de nous faire sur la cohésion marseillaise.
03:28 Moi je connais pas mal Marseille, j'y suis née, j'y vais souvent.
03:31 Excusez-moi, il y a une partie de la population de Marseille qui ne supporte plus ce qu'il
03:36 est en train de devenir.
03:37 Ça n'a rien à voir Elisabeth, pardonnez-moi, ça n'a rien à voir.
03:41 Quand je l'écoute la radio et que je vois pas ce qu'il y a autour de la table, il se
03:45 fait pas là des fois, M. Le Chypre ?
03:47 Ah M. Le Chypre !
03:48 Eh oui, je suis là !
03:49 Oh là là, j'ai l'impression de parler à un Avenger, mon dieu, dès que je vous entend très vite.
03:53 Ah la vache, M. Le Chypre, je suis un grand fan.
03:57 M. Poincaré à côté pareil.
03:59 Il est là, M. Poincaré, il vous écoute Nicolas, il est là Gregoire.
04:02 Gregoire, il peut appeler plus souvent.
04:03 Oh là là, c'est un arc-en-ciel, je parle au Avenger, mon dieu, ça fait des années
04:08 que je vous écoute, je suis trop content.
04:10 On parle à Marseille des quartiers européens, comme pendant la guerre d'Algérie, je suis
04:14 nabré de vous le dire, mais il y a les quartiers immigrés et les quartiers qu'on dit européens,
04:18 c'est un vocabulaire qui moi, me frappe.
04:20 Alors pour la cohésion, excusez-moi, c'est tout.
04:23 Ça n'a rien à voir.
04:24 Je vais vous donner deux exemples.
04:25 Non, la publicité.
04:26 Je réponds à Gérard.
04:27 Eh ben vous répondrez après la publicité.
04:29 Je vous l'ai dit, à quel moment on s'intéresse à l'avis de quelqu'un qui a 79 ans sur la
04:35 réforme des retraites ?
04:36 77 !
04:37 De 77 ans ?
04:38 Elle a pas le droit de parler parce qu'elle a 77 ans.
04:39 Moi je serais n'en même partisan de dire que passer un certain âge, quel est l'intérêt
04:43 de vous écouter ?
04:44 Quel est l'intérêt de les écouter ?
04:46 Quel est l'intérêt d'écouter des propos de gens qui ne sont même plus là en 2040-2070 ?
04:51 Le 49-3 !
04:53 C'est pas prévu dans la Constitution !
04:54 Est-ce que je peux te laisser parler ?
04:55 Est-ce que je peux te laisser parler ?
04:56 Est-ce que c'est dans la Constitution ou pas le 49-3 ?
04:59 Jean-Baptiste, toi, il était ministre le 49-3.
05:01 Est-ce que je peux terminer de parler ?
05:03 C'est la matraque avec Bruno.
05:04 C'est la matraque, mais moi je peux sortir le coup de poing, c'est pas le souci.
05:06 Non, non, pas le coup de poing, pas le coup de poing.
05:08 Non, attention, pas de violence.
05:09 Jean-Pierre Daroussin, qui a 70 ans, qui est contre la réforme, qui a signé la tribune.
05:15 Ah bah lui il est bien, j'imagine.
05:16 Non, mais je me dis aussi pareil.
05:17 Et lui il a le droit de voter ou pas ?
05:18 Mais non !
05:19 Non, voilà, et je vais aller au bout, je vais aller au bout.
05:22 À partir de quel moment des gens qui vont mourir dans une dizaine ou quinzaine d'années
05:27 ont-ils le droit de prendre des décisions ?
05:29 En France, on n'a pas de pétrole, mais on a le record du monde d'endurance à l'accordéon.
05:34 Chacun son truc, c'est le nôtre.
05:37 Et si vous voulez battre son record pour vous entraîner cette semaine…
05:40 Ouais, bah allez-y, c'est bien.
05:41 Oui, bon, non, moi déjà 30 secondes ça me suffit.
05:43 Faut quand même jouer 11 jours pour détenir son record.
05:46 11 jours d'accordéon non-stop.
05:47 Bon, on va réfléchir avec Jean-Baptiste.
05:49 Les vieilles personnes qui votent Emmanuel Macron,
05:52 qui ne s'intéressent pas à l'environnement,
05:53 qui ne s'intéressent pas aux dérèglements climatiques,
05:55 qui ne s'intéressent pas à l'avenir des travailleurs d'aujourd'hui pour leur retraite dans 40 ans…
05:59 On les tue, on les…
06:00 Bah, en tout cas…
06:01 Bah, il nous a cassé le doigt, là.
06:02 En tout cas, qu'ils aillent voter…
06:03 Ça va arriver sur l'euthanasie.
06:04 Mais écoutez, mais faisons évoluer la loi et mettons plus de 70 ans.
06:08 Non, mais ce que je veux dire, c'est que si vous avez passé un certain âge,
06:11 ne vous intéressez plus à votre propre confort personnel.
06:14 Qu'est-ce que je vais dire ?
06:16 Parce que ça t'arrange pas, toi.
06:17 Mais vas-y, Bruno, laisse parler.
06:18 Bah, tu vas dire des conneries, c'est tout.
06:19 C'est merveilleux, c'est pas que des conneries.
06:20 Non, vas-y, économiques.
06:21 Tu te connais en quoi, économiques ?
06:22 Excuse-moi, à un moment donné, tu es élu d'une maire,
06:26 pour qu'elle soit nuée, elle sera mon fille,
06:27 c'est plus le temps que d'intermérie.
06:28 Donc arrête de me parler de cette déconnerie.
06:30 C'est pas perturbant.
06:31 J'ai eu une bande de rire et je vais pas rire.
06:32 Non, mais c'est la vérité !
06:33 Alors là, je compte pour le gagne, c'est chelou.
06:36 En plus, sur les févres, il y a marqué "mariage et deuil".
06:41 On verra, on posera le bouquet.
06:44 Sur la mort de notre relation, soit sur le début de quelque chose.
06:48 Je crois que Jean-François s'est un petit peu dévoilé par rapport à vous,
06:54 qui est en face de vous.
06:56 À vous maintenant de nous dire ce que vous pensez de Jean-François.
06:59 Écoutez, il a l'air très gentil.
07:01 Je sais pas quoi dire de plus.
07:04 Il a une belle barbe.
07:05 Je pense que sa femme doit être ravie.
07:08 Est-ce que vous iriez dans un jacuzzi gonflable avec lui ?
07:12 Alors j'aurais peur Claude et Bordeaux.
07:14 Là, tu m'attraques.
07:19 Mais n'importe quoi, Arène.
07:20 Qu'est-ce que tu racontes, en fait ?
07:21 Non mais là, tu es agressivée. Pourquoi tu cries ?
07:23 Mais encore vrai ?
07:24 Regarde, tu es agressive.
07:25 Mais ça y est.
07:26 Tu cries ?
07:27 Mais ça va pas.
07:28 Tu as besoin de crier ou je crie, moi ?
07:29 Ça va pas, ça va pas. Vas-y, tu es en train de m'énerver, en fait.
07:31 Je suis gentil, je suis calme.
07:33 Non mais alors...
07:34 Je suis tranquille, mais c'est bon.
07:35 C'est la meilleure.
07:36 Tu as eu l'Oscar, toi.
07:37 Ouais, et toi ? Qu'est-ce que tu as eu ?
07:38 Le ballon de d'or, toi, tu as eu, non ?
07:39 Ouais, au moins, ouais.
07:40 De la connerie.
07:41 Arrête un peu, s'il te plaît.
07:43 Tu m'as mis en PLS, là. C'est bon, arrête.
07:45 Certes, il n'est pas encore au point.
07:48 Mais il se donne à corps perdu dans son tout premier ballet.
07:55 D'un coup, tu cries, après, tu te douces, après, tu vas peut-être recrier.
08:07 Oh, ça va.
08:08 Mais rien à voir, en fait.
08:09 Toi, les émotions, elles font ça.
08:10 Pardon, mais alors, toi, c'est comme ça, en fait.
08:12 Bon, finalement, on n'arrivera pas à s'entendre, finalement, c'est...
08:15 Ben non, mais...
08:16 J'essaye de mettre un peu d'eau dans mon vin pour qu'on puisse enfin se comprendre, tu vois, ce que je veux dire.
08:21 C'est plus du vin, c'est de la vignasse, après, là, que ça fait, voilà.
08:23 Bon, allez, c'est bon, t'es raison.
08:24 Allez.
08:25 Au Botswana, une antelope s'est lancée un défi de taille,
08:29 traverser une rivière de plusieurs dizaines de mètres de large.
08:32 Les touristes filmant la scène vont vite remarquer une deuxième présence dans l'eau.
08:40 Un crocodile a décidé de prendre en chasse l'animal.
08:43 À quelques mètres du rivage, le reptile tente une attaque.
08:48 Belle défense du cervidé, qui a vaillamment refusé d'être le plat du jour.
08:53 -J'aime pas ta façon de me parler, c'est clair ?
08:57 -Ben, très bien. Pas de souci. -Voilà.
08:59 -Je pense qu'on s'est tout dit.
09:02 -On s'est tout dit, ouais.
09:03 -Du coup, tu vas aller déposer sur le cercueil.
09:06 -Bon, putain.
09:07 -On va se faire un petit déjeuner. -Ouais.
09:09 -J'ai hâte de voir le mercredi.
09:13 Il a beau sortir le grand jeu,
09:22 elle en a vu assez.
09:24 Sous-titrage Société Radio-Canada
09:27 *Bruit de coup de feu*

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