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Transcription
00:00 *Bruit de coup de poing*
00:02 *Cris de joie*
00:06 *Cris de joie*
00:08 Allez !
00:10 On se fait des bisous !
00:12 *Bisou*
00:14 Salut !
00:16 Et on souffle les bougies !
00:22 Bon Guy, vous voulez le numéro de qui ?
00:26 Parlons peu, parlons bien. Vous êtes fan de qui ?
00:28 Le numéro de...
00:30 Monsieur Macron par rapport à la réception internet.
00:32 Alors ça j'ai pas !
00:34 Si au contraire, je réussis,
00:38 moi le joueur à qui toujours
00:40 a réussi, qui a été réélu,
00:42 etc. J'arrive à le faire
00:44 passer par un vote normal
00:46 plus de 3 ou 5 voix.
00:48 Donc votre analyse après-midi...
00:50 Je pense qu'il va aller au vote.
00:52 Par élimination, je pense qu'ils ne veulent
00:54 absolument pas du 49-3,
00:56 en effet c'est pas flamboyant comme sortie.
00:58 A l'instant BFM TV annonce
01:00 que l'option du 49-3 vient d'être validée.
01:02 Donc ce sera un 49-3.
01:04 Selon BFM TV.
01:06 Un faux BFM TV c'est quand même...
01:08 Un ministre me dit exactement la même chose là, ce sera un 49-3.
01:10 Et là c'est
01:12 quand même une révolution qui se
01:14 prépare.
01:16 Sous les huées, Elisabeth Borne
01:18 se dirige vers la tribu.
01:20 Debout, les élus insoumis brandissent
01:22 des pancartes. 64 ans
01:24 ses noms et entonnent la Marseillaise.
01:26 Une bonne pensée de Confucius,
01:34 une petite impatience ruine un grand projet.
01:36 C'est bien juste ça.
01:38 Visage grave des ministres.
01:40 Le garde des Sceaux
01:42 réconforte Olivier Dussopt
01:44 qui a porté la réforme.
01:46 Finalement, elle n'est pas soumise au vote.
01:48 Sur le fondement de l'article 49
01:50 alinéa 3 de la Constitution,
01:52 j'engage la responsabilité
01:54 de mon gouvernement.
01:56 15h20,
01:58 la nuque quitte l'hémicycle avant la fin du discours
02:00 et ne décolère pas
02:02 contre le 49-3.
02:04 Cette étape
02:06 est éliminatoire.
02:08 Voilà, notre rêve il est complètement brisé en mille morceaux
02:10 et c'est trop dur.
02:12 Je m'en remets pas.
02:14 Franchement là j'ai du mal à accepter
02:16 vraiment, même si je sais que Jason a tout donné.
02:18 Franchement la défaite
02:20 elle est immense.
02:22 Passer en force est un signe
02:24 qu'ils enfoncent le pays
02:26 tout entier dans une crise de régime.
02:28 Et à ceux qui au pouvoir aujourd'hui
02:30 sèment le chaos dans ce pays,
02:32 nous répondrons évidemment par la censure.
02:34 Il faut censurer ce gouvernement.
02:36 Donc non seulement nous déposerons
02:38 une motion de censure, mais nous voterons
02:40 l'ensemble des motions de censure
02:42 qui vont être déposées. Elle a annoncé
02:44 elle-même qu'elle acceptait d'être le fusible.
02:46 Banco, qu'elle saute.
02:48 Etienne, Etienne,
02:50 hummm, ah,
02:52 on lâche rien.
02:54 49.3 ou pas ?
02:56 On en veut pas !
02:58 49.3 ou pas ?
03:00 On en veut pas !
03:02 C'est passé en marche forcée, c'est quand même
03:04 le 11ème 49.3 depuis le début de la mandature.
03:06 C'est quand même un signe, c'est quand même un problème
03:08 en démocratie.
03:10 Emmanuel Macron avait répété qu'il souhaitait
03:12 un vote, mais le 49.3
03:14 s'impose à lui.
03:16 A 14h40, il se justifie
03:18 devant le Conseil des ministres.
03:20 Les risques financiers, économiques
03:22 sont trop grands. Il y aura un vote
03:24 sur le texte. C'est la motion de censure.
03:26 On ne peut pas jouer avec l'avenir du pays.
03:28 Qui ne lâche pas son objectif.
03:34 En TT ? En TT, c'est bon !
03:36 Vous découvrez sur ces images
03:38 en direct la voiture
03:40 d'Elisabeth Borne, la première ministre qui a donc
03:42 été élisée, qui va se diriger vers l'Assemblée.
03:44 Ce n'est pas très loin, il y a la Seine à traverser.
03:46 Des dizaines de rassemblements d'opposants à la réforme
03:50 des retraites, tous déplorent
03:52 la méthode du gouvernement.
03:54 Il est tout seul. La population n'en veut pas
03:56 de cette réforme et lui, il la fait passer
03:58 en force. Donc évidemment, c'est logique d'être là
04:00 et d'être mobilisé aujourd'hui.
04:02 La loi n'est même pas votée. On a un 49.3. C'est vrai que
04:04 c'est vraiment du mépris, de la violence.
04:06 Je dis, il y a
04:08 du malaise et de la colère.
04:12 Je me dis, Nathalie, zène,
04:14 ferme ta grande gamelle,
04:16 porte ta brouette de travers et avance.
04:18 Est-ce que c'était bien le moment ?
04:24 Est-ce que c'était bien le moment de
04:26 d'imposer
04:28 une réforme génératrice
04:30 d'angoisse, dans un
04:32 moment où les gens
04:34 ont vu se succéder
04:36 beaucoup d'angoisse.
04:38 Le Covid, la guerre en Ukraine,
04:40 l'inflation,
04:42 la peur du lendemain.
04:44 Je travaille depuis là, j'ai 14 ans et demi.
04:46 Donc après, les gens me font rire.
04:48 "Oh, moi je veux pas travailler, ma vie."
04:50 Mais ça déconne.
04:52 Vous voulez valoriser
04:54 dans quoi ? À la pêche ?
04:56 À la chasse ? À quoi ? Non mais à un moment donné,
04:58 c'est bien le travail qui valorise l'homme, non ?
05:00 Est-ce qu'il n'y avait pas moyen
05:02 peut-être de retarder ?
05:04 Peut-être de se rasseoir ?
05:06 De rediscuter ? D'essayer de s'interroger
05:08 sur ce qui préoccupe autant
05:10 les gens depuis quelques mois, depuis quelques semaines.
05:12 Tous ces gens qui sont dans la rue,
05:14 tous ces gens qui ont
05:16 un sentiment
05:18 de ne pas être
05:20 entendus. Donc pourquoi
05:22 ne pas se rasseoir ? Est-ce qu'on était à six mois près ?
05:24 Est-ce qu'il n'y avait pas moyen de renouer
05:26 le dialogue ? Moi je ne crois qu'au dialogue.
05:28 Jordan Klein nous explique
05:30 sur quoi exactement.
05:32 Voilà, on a un petit souci avec ce sujet,
05:36 donc on y reviendra
05:38 dans un instant.
05:40 C'est un peu comme la réforme des retraites, rien n'est simple.
05:42 On pense qu'on va avoir un sujet, finalement il n'arrive pas.
05:44 Et finalement, il arrive. Est-ce que c'est de bon augure ou pas ?
05:46 Jordan Klein.
05:48 C'est ce qu'on appelle le 49.3.
05:52 Laurent-Alexandre,
05:56 si j'avais du courage, mais je n'en ai pas
05:58 beaucoup, je commencerais par
06:00 parler ce soir, ce matin, de
06:02 CHAP, J-P-T, FOR. C'est beaucoup plus important
06:04 que les retraites, c'est beaucoup plus important
06:06 que tout. CHAP,
06:08 J-P-T, FOR, la nouvelle version est sortie
06:10 hier ou avant-hier. Elle a mis
06:12 dix secondes, dix secondes
06:14 pour résoudre
06:16 le problème
06:18 de Polytechnique.
06:20 Dix secondes, c'est la nouvelle version.
06:22 Je suis Papa Flegitant.
06:26 Hop ! Et voilà, le travail.
06:28 S'il y en a qui veulent venir,
06:30 ce mesure à moi qu'ils y viennent.
06:32 Hop ! En voiture !
06:34 Oui, ce pays aide les gens qui ne travaillent pas.
06:38 - Mais là, tu mélanges tout ! - Pardon, mais...
06:40 - Tu mélanges tout, mais... - Non, je mélange pas tout !
06:42 C'est pas toi qui va me dire ça, pardon !
06:44 Quand tu sais que j'ai une réflexion, tu parleras de l'amour et dans le prêt.
06:46 - Mais, hein ? - Non, mais oh...
06:48 - Castaldi, oh... - Non, mais il était méprisant, là.
06:50 - Non, non, quoi ? - Il faut pas être méprisant avec moi.
06:52 - Non, mais il était méprisant. - C'est ce qu'il m'a dit.
06:54 - Il a le droit d'avoir un avis... - Il lui a dit "tu parleras
06:56 d'amour et dans le prêt". - Oui, oui.
06:58 - Ah oui, ça c'est moche. - C'est méprisant.
07:00 - Non, ça c'est moche. - Il est fier dessus !
07:02 Viens là !
07:04 Hop !
07:06 Hop là !
07:08 - Et je l'envoie ! - Comment vous vous sentez, là ?
07:12 Retournez un petit peu.
07:14 Est-ce qu'il peut y avoir des personnages de synthèse ?
07:17 Ça, c'est possible, mais je pense que l'opinion va préférer Pascal Praud
07:21 à un avatar créé par GPT-4.
07:23 Mais l'opinion, peut-être, mais ceux qui investissent...
07:27 Si, par exemple, nous six, nous sommes remplacés par des avatars
07:31 et que ça coûte moins cher et qu'on dit autant de choses intéressantes
07:34 et intelligentes qu'on en dit le matin...
07:35 Alors, je ne crois pas au remplacement des journalistes leaders charismatiques.
07:39 En revanche, je pense que les journalistes médiocres doivent se reconvertir d'urgence.
07:43 On voulait vous parler aussi des chiens. Vous aimez les chiens ?
07:47 - Non, à chaque fois. - Vous savez que les temps changent
07:49 aux États-Unis. Ça fait 31 ans que le chien préféré des Américains,
07:52 c'était le Labrador Retriever. - Je comprends.
07:54 - Et bien, désormais, c'est lui, le petit bulldog français
07:56 qui vient de détrôner, donc, le Labrador.
07:58 - Voici votre "Ça peut vous arriver", un divertissement intelligent
08:05 fait par des gens qui, eux, ne le sont pas.
08:08 C'est la maxime de l'émission. Ça va, Charlotte ?
08:11 - C'est fort de réussir à faire un programme intelligent avec des gens débiles.
08:15 - C'est là où c'est une véritable performance. - C'est vrai.
08:19 - Il est très fragile. Il a toujours des problèmes de respiration.
08:22 - Oui. - Ils ne vivent pas énormément de temps.
08:24 - Ça ronflait, ça bave. - C'est pour ça qu'il râle.
08:26 - Ça ne fait pas que ça.
08:28 - Ça quoi ?
08:31 - Ça ronflait, ça bave, mais...
08:33 - Voilà. - Ça fait des bruits qui sont très gênants.
08:37 - Il a un problème d'air. - T'as l'air d'être une experte.
08:41 - À sa tête !
08:43 - Là, c'est pas une image humoristique, mais par exemple, on lui demande
08:47 on voit des ballons de baudruche qui sont reliés au sol par des ficelles.
08:50 Et on lui demande "Qu'est-ce qui se passerait si je coupe les ficelles ?"
08:52 Et elle va répondre "Les ballons vont s'envoler."
08:54 - Merci, j'ai pas besoin de bail. - Mais non, mais parce que vous êtes un humain.
08:59 Mais vous vous rendez compte la capacité de l'art.
09:02 - Oui, oui. - Mais non, mais...
09:03 - Enfin... - Je me suis mal exprimé.
09:05 - 529 dollars pour la gagnante. Vous avez vu comment on fait gagner un bébé ?
09:13 - On lui donne notre téléphone portable. - On lui montre son smartphone.
09:15 - Oh non, mais c'est...
09:17 - Dans quelques années proches, nous serons tous sur notre canapé
09:20 avec le revenu universel pendant que J.P.T. fera le travail.
09:24 - Des ectoplasmes. - Bien à vous.
09:26 Alors, vous voyez, moi on m'accuse toujours de regarder en arrière.
09:28 Vous avez prouvé, vous avez peur. Peur du grand bouleversement.
09:32 - Pas du tout, Pascal. - Peur du changement.
09:33 - Alors, je vais vous dire, Pascal. - Vous êtes tétanisé devant ce monde qui arrive.
09:36 - Ce sont les transhumanistes. - Vous m'avez fait rire tout à l'heure.
09:38 - Ce sont les transhumanistes. - Vous avez la trouille.
09:40 - Non, pas du tout. - Parce que vous savez pas ce que ça veut dire.
09:42 - Que l'on trouve triste. - Que l'on trouve triste, madame.
09:44 Un patron vit un moment très fort face à la professionnelle.
09:48 Lui qui se considère comme un amateur de la communication.
09:50 On étudie vos mimiques, Élise.
09:53 - C'est un truc de dingue. - Oui, apparemment, oui.
09:55 Et donc, ces formations sont proposées aux patrons pour 500 euros de l'heure, quand même.
10:00 Moi, ça m'a... Je trouve ça assez effarant.
10:03 Et après, ce que je trouve intéressant...
10:04 - Si vous les faisiez vous-même, ça vous rapporterait des sous.
10:06 - Ça rapporterait des sous au service public. - Non.
10:08 - Faut se lancer, Élise. - Je suis tueur.
10:10 - Non, non.
10:11 Comment vous faites, vous, pour vous mettre dans la peau de cash
10:13 ou dans la peau d'Élise Lucet, justement, quand vous faites le training de l'interview ?
10:17 - Alors, il peut nous arriver de simuler un studio avec vos mimiques, vos façons de travailler.
10:23 Donc, ça, c'est la forme. - Oui.
10:25 - Donc, on étudie comment vous fonctionnez comme un coach.
10:30 Et il le ferait pour un sportif.
10:32 - Regardez, si elle m'attaque, de ma main droite, je la repousse.
10:37 Et en tournant mon corps comme ceci, je la pousse vers le bas.
10:41 Cela s'appelle le geste Peng.
10:43 Ce deuxième mouvement s'appelle la prise Lu.
10:46 Là, au contraire, quand mon adversaire m'attaque,
10:49 j'utilise sa force pour le tirer vers le sol.
10:52 Comme ça.
10:53 - Et vous répétez ? - Et on répète, bien sûr.
10:57 Parce qu'en fait, il y a une notion de déséquilibre.
11:01 Vous êtes la professionnelle, eux, ils sont amateurs.
11:04 - Dans la prise de parole ? - Dans l'interview.
11:06 Enfin, c'est les patrons des sociétés.
11:08 La connaissance de l'entreprise, il l'a beaucoup plus que nous.
11:10 Quand vous dites qu'il y a un déséquilibre, c'est plutôt dans l'autre sens.
11:13 - Non, non. L'exercice du patron qui se fait interviewer par vous,
11:18 c'est un moment très fort pour lui.
11:20 - Séquence rocambolesque dans un tribunal aux États-Unis.
11:24 L'homme en chemise bleue comparaît pour double meurtre.
11:27 Et comme le veut la loi dans l'Oregon,
11:29 les policiers qui l'escortent lui enlèvent ses menottes.
11:32 Le suspect prend alors la fuite et sa tentative d'évasion
11:35 et filmée par les caméras de surveillance.
11:37 Le fuyard réussit à s'échapper.
11:42 Il sera arrêté des heures plus tard et remis en détention.
11:47 Comment ne pas te louer?
11:51 Seigneur Jésus, comment, comment, comment ne pas te louer?
11:58 Comment ne pas te louer?
12:02 *Bruit de pet*
12:02 *Bruit de coup de feu*

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