Lara Fabian brade sa maison au Québec !
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00:00 Elle en demandait 3 millions de dollars, soit environ 2 millions et demi.
00:04 - Mais pour quelle raison ?
00:05 - Alors pour quelle raison ? Apparemment le marché s'est un petit peu effondré.
00:08 Mais en plus, il y a des lois qui ont été faites au Canada
00:11 pour privilégier, je crois, la vente aux Québécois plutôt que aux Français.
00:16 Du coup, ça a un peu fait baisser le marché.
00:18 Alors, on a quelques photos quand même de cette maison.
00:20 C'est un petit cottage sympathique.
00:22 Alors ça, ce n'est pas un cottage, c'est Lara Fabian.
00:24 - Elle n'est pas de ouf.
00:25 - C'est correct, 2 millions.
00:27 - C'est mignon. On a les photos à l'intérieur.
00:30 À la chambre.
00:31 - Sympa.
00:32 - C'est joli, sympathique.
00:33 - Il y a du goût.
00:34 - Ça sent portable à Lara.
00:36 - C'est bien.
00:37 - Peut-être Airbnb.
00:39 - Un petit salon.
00:40 - C'est chic.
00:41 - C'est chic.
00:42 - C'est pas mal.
00:43 - C'est classique, la maison de Johnny.
00:44 C'est mille fois mieux.
00:45 - Parce que Johnny n'a pas le même budget.
00:47 - Il n'a pas le même budget.
00:48 - Si, c'est le même prix.
00:49 - Alors, là, je mets un bémol.
00:51 La salle de sport en sous-sol, pour la respiration, c'est dangereux.
00:55 - En plus, il y a 2 vélos.
00:57 - C'est quoi, ça ?
00:58 - Il y a un sac.
00:59 - C'est un musée, une salle de sport, 2 vélos, une alter.
01:02 - Elle s'achète meublé.
01:04 - Il y a un petit lac aussi.
01:06 - Oui.
01:07 - Je me pose une question.
01:08 Elle vend parce que le marché s'effondre,
01:10 parce qu'elle ne veut pas perdre l'argent,
01:12 ou elle doit vendre parce qu'elle est en difficulté ?
01:14 - Je n'ai pas l'information précise de la raison pour laquelle elle vend.
01:17 En tout cas, elle vend.
01:18 - Au mauvais moment.
01:19 - Elle a du mal à vendre.
01:20 - Elle a baissé, effectivement,
01:22 parce qu'il n'y a plus que les étrangers résidents qui peuvent acheter.
01:25 Les étrangers de passage qui pourraient être intéressés
01:28 ou de riches investisseurs étrangers ne peuvent plus acheter.
01:30 - Parce qu'en fait, j'ai vécu à Vancouver pendant un petit moment,
01:33 et ce qui se passait...
01:34 - Vous avez vécu à Vancouver ?
01:36 - Je te jure.
01:38 Ce qui se passait, c'est que les étrangers venaient acheter en masse
01:42 tous les biens à Vancouver.
01:44 - Ça vous gratte ?
01:46 - Le marché...
01:48 Le marché...
01:49 Mais qu'est-ce que t'arrives ?
01:50 - Je vous gratte la cuisse en vous parlant.
01:52 - Le marché a explosé,
01:54 et les locaux, évidemment, n'arrivaient pas à suivre.
01:57 Et en France, il y a des...
01:59 - Au Pays-Basque, on a le même problème.
02:00 C'est très compliqué.
02:01 - Oui, sauf que le marché est ouvert à tout le monde au Pays-Basque.
02:04 - C'est inaccessible, surtout.
02:06 - C'est ouvert, mais...
02:07 - C'est trop cher ?
02:08 - Oui, oui, c'est devenu complètement fou.
02:09 - Vous avez une maison là-bas ?
02:10 - J'ai une maison.
02:11 J'ai fait un coup.
02:12 Moi, j'ai eu beaucoup de chance.
02:13 J'ai acheté beaucoup moins cher que le marché.
02:14 J'ai la chance, aujourd'hui, d'avoir une maison qui vaut beaucoup plus cher.
02:17 - Ah, très, très bien.
02:18 - Je suis très chanceux.
02:19 - Il a enterré le problème.
02:20 - Malheureusement, les gens...
02:21 (rires)
02:22 - Très bien.
02:23 - Je vous invite d'ailleurs tous à venir...
02:25 - Merci, merci.
02:26 - Gilles, vous, qui êtes toujours pour protéger les gens,
02:29 est-ce que cette mesure pourrait s'appliquer en France ?
02:31 Imaginez que maintenant, on privilégie la vente aux Français
02:33 et plus aux étrangers.
02:34 Et du coup, le marché parisien...
02:35 - Le marché s'effondre,
02:36 à Paris notamment, où les étrangers anglais, néerlandais,
02:40 ancien amants, il n'y a plus les Russes, mais...
02:42 - Il paraît que les Russes sont toujours là, mais avec des prêtres, non ?
02:45 - Oui, mais ils sont moins nombreux.
02:46 Mais ça s'effondre.
02:47 On pourrait, mais ça s'effondre.
02:49 Mais effectivement, dans le sud-ouest, les locaux sont en révolution.
02:52 Les jeunes primo-accédants ne peuvent plus...
02:54 - Ils ne peuvent plus s'y loger.
02:55 - C'est un vrai problème.
02:56 - C'est comme les Dorées.
02:57 Il y a une époque, les Dorées, maintenant, les gens qui ont des petites maisons,
02:59 ils sont à l'ISF.
03:00 Enfin, il n'y a plus de l'ISF, mais c'est fortement...
03:01 - On est aussi cher que dans le 7e.
03:02 - Enfin, tous ces problèmes de riches ne nous concernent plus.
03:04 (rires)
03:05 (musique)