"La clé, c’est de ne pas s’arrêter de tourner." Ce lundi de Pâques, Jean-Yves faisait face à plusieurs marmitons habitués du "bon coup de poignet", en lice pour le traditionnel concours d’aïoli qui s’est tenu à la chapelle Toutes Aures, sur les hauteurs de Manosque dans les Alpes-de-Haute-Provence.
Dans le cadre des fêtes folkloriques organisées là chaque année, la compétition est devenue un incontournable.
Gousses d’ail, œuf, huile d’olive et une pincée de sel : les ingrédients étaient les mêmes, seul le savoir-faire à fait la différence. Avec un résultat, pour certains, de haute volée culinaire. Comme pour Jean-Yves, lauréat du concours. "Ma grand-mère disait toujours de ne jamais regarder l’aïoli qui monte, c’est ça qui le fait retomber", plaisante le Manosquin.
Dans le cadre des fêtes folkloriques organisées là chaque année, la compétition est devenue un incontournable.
Gousses d’ail, œuf, huile d’olive et une pincée de sel : les ingrédients étaient les mêmes, seul le savoir-faire à fait la différence. Avec un résultat, pour certains, de haute volée culinaire. Comme pour Jean-Yves, lauréat du concours. "Ma grand-mère disait toujours de ne jamais regarder l’aïoli qui monte, c’est ça qui le fait retomber", plaisante le Manosquin.
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