MEURTRE A TOURS / Comment expliquer le geste fou du père ?
TEMOIGNAGE / La lente reconstruction d'un dentiste agressé
COMMERCES / Un supermarché coopératif et participatif
BALLAN-MIRE / Plonger avec son handicap
TEMOIGNAGE / La lente reconstruction d'un dentiste agressé
COMMERCES / Un supermarché coopératif et participatif
BALLAN-MIRE / Plonger avec son handicap
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00:00 [Générique]
00:10 Bonsoir à tous, ravi de vous retrouver pour ce nouveau journal.
00:14 À la une de ce jeudi 13 avril, 48 heures après le meurtre de Luna, l'énigme du père.
00:19 Hospitalisé en psychiatrie, l'auteur présumé n'a toujours pas expliqué son geste fou,
00:24 précision, dans un instant.
00:26 Il a échappé au pire, mais les blessures psychologiques sont encore à vif.
00:30 Six mois après avoir été poignardé à son cabinet par un patient,
00:33 ce dentiste tourangeau tente de se reconstruire son témoignage dans ce journal.
00:39 Et puis, à l'aise dans leur tête et leur corps, des jeunes en situation de handicap
00:43 profitent d'un baptême de plongée, à la clé l'expérience de la légèreté reportage à balles enmirées.
00:53 Mais d'abord, cette douzième journée d'action contre la réforme des retraites,
00:57 veille de décisions du Conseil constitutionnel.
01:00 À Tours, ils étaient entre 3 et 4 000, en baisse.
01:04 Mais pour les opposants à la retraite à 64 ans, pas question de baisser les bras.
01:08 Ils entendent poursuivre leur combat, quelle que soit la décision des sages.
01:12 On écoute.
01:14 C'est un peu la dernière chance, la manif.
01:20 Après, si ça, on ne sait pas trop ce qu'on va pouvoir faire.
01:23 Est-ce que c'est d'autres manifs ? Est-ce que c'est d'autres mouvements ?
01:26 Je suis assez convaincue que le Conseil constitutionnel va laisser passer la loi.
01:32 Et je continuerai sans doute à manifester si ça passe.
01:35 On n'en peut pas à 64, ça fait trop.
01:37 On garde la réforme à 60 ans, voire 58, pourquoi pas, mais pas la réforme à 64.
01:42 Pour avoir travaillé dans les métiers du bâtiment, avoir soulevé des poutres,
01:44 monté des escaliers, je n'aurais pas vu faire ça pendant des années.
01:47 Je vois mes collègues qui ont fait de la maçonnerie,
01:50 travailler encore deux années de plus, c'est à les tuer.
01:52 Il y en a certains, ils se font poser des prothèses et tout.
01:54 Non, non, non, c'est une connerie.
01:57 Les mobilisations aussi abloient, entre 2 et 5 000 manifestants selon les estimations.
02:02 Et puis cette image, regardez, c'était hier soir à Pars et Mêlès,
02:04 le blocage pendant plus de deux heures du dépôt logistique d'Auchan,
02:08 dans la zone du Cassantin.
02:10 Une soixantaine de manifestants ont empêché les camions d'entrer et de sortir.
02:14 L'action a pris fin peu après minuit.
02:18 Retour à présent sur le meurtre de cette étudiante de 22 ans à Tours.
02:23 On vous en parlait hier.
02:24 Et encore beaucoup de questions ce soir, sans réponse.
02:27 Comment expliquer le geste fou de ce père ?
02:31 Toujours pas de réponse à cette heure.
02:33 Peu après son arrestation, l'auteur présumé du crime a en effet été hospitalisé
02:37 en psychiatrie sans avoir pu être entendu.
02:39 Faustine Lunot avec Léa Turquier.
02:43 La rue Voltaire a retrouvé son calme 48 heures après le drame
02:46 qui s'est produit au numéro 24, derrière moi.
02:48 Ce matin dans le voisinage, tout le monde était encore choqué.
02:51 La plupart des habitants des immeubles voisins que nous avons rencontrés
02:55 ont entendu l'intervention de la police en bas de leur fenêtre.
02:58 J'habite juste en face et j'ai entendu un gros bruit.
03:00 Alors je me suis demandé si c'était une explosion de quelque chose
03:03 ou une porte qui est défoncée.
03:06 Je ne savais pas bien.
03:07 Et j'ai entendu des cris qui commençaient à monter.
03:11 Alors quand je suis allé à ma fenêtre,
03:13 les cris venaient déjà de l'intervention de la police
03:16 et certainement du meurtrier.
03:19 À ce moment-là, je ne savais pas.
03:21 À ce jour, on ne sait toujours pas pourquoi ce père de 45 ans
03:24 s'en serait pris à sa fille à coups de couteau.
03:26 L'homme mis en cause est resté mutique.
03:29 Déjà condamné par le passé pour des faits de violence et des délais routiers,
03:32 il a tout de suite été placé en garde à vue.
03:34 Mais celle-ci a rapidement été suspendue en raison de son état psychiatrique
03:37 avant que son audition ait pu avoir lieu.
03:40 Il est actuellement hospitalisé sous contrainte.
03:42 L'enquête, elle, se poursuit.
03:44 L'autopsie du corps de la victime confirme que la jeune femme de 22 ans
03:48 est décédée de ses blessures par arme blanche.
03:50 Mardi soir, à l'arrivée de la police sur place, alertée par le voisinage,
03:54 elle était encore consciente et aux prises avec son agresseur.
03:57 Les forces de l'ordre ont réussi à maîtriser le suspect
04:00 après avoir enfoncé la porte de l'appartement en rez-de-chaussée
04:03 à l'aide de leur arme à feu.
04:05 Mais malgré l'intervention des secours,
04:07 la victime est décédée quelques minutes plus tard.
04:09 Il s'agissait d'une jeune étudiante en classe préparatoire
04:13 à l'école Brassard à Tours.
04:15 Depuis ce matin, une cellule psychologique a été mise en place
04:18 au sein de l'école d'art pour les élèves qui le souhaitent.
04:22 Comment reprendre le fil de sa vie après une agression ?
04:25 Cette question, le docteur Xeb se la pose encore.
04:28 Six mois maintenant que ce dentiste tourangeau a été poignardé
04:32 par un patient, ce patient pris d'une fureur incontrôlable.
04:35 Il avait confondu un doigtier en latex utilisé en radiologie
04:38 avec un préservatif.
04:40 La victime et son avocat veulent aujourd'hui un procès témoignage
04:44 avec Hélène Chaplet.
04:46 C'est une des blessures, c'est comme si c'était un tatouage
04:49 qui va rester toute la vie.
04:52 Six mois après son agression, ses plaies sont désormais cicatrisées
04:55 mais le traumatisme, lui, est toujours là.
04:57 Le docteur Jean-Xeb n'a pas encore repris son activité professionnelle.
05:01 Il faut dire que son cabinet dentaire était inaccessible.
05:04 Les cellules posées n'ont été enlevées que le 20 mars dernier.
05:08 Dernièrement, le praticien a franchi un nouveau cap.
05:11 Il est retourné sur son lieu de travail, là où il a reçu 10 coups de couteau.
05:17 Mon psychiatre m'avait prévenu, mais je ne voulais pas croire.
05:21 Et effectivement, quand je sors, quand je me rapproche de mon cabinet,
05:26 quand je rentre dans l'entrée de l'immeuble, oui, j'ai une certaine appréhension,
05:29 j'ai mon cœur qui bat.
05:30 Une fois que j'y suis, puisque maintenant j'ai été vendredi dernier,
05:35 j'ai eu les larmes aux yeux quand je suis entré dans mon cabinet.
05:38 Ça m'a fait un petit choc.
05:40 Mais il va falloir que je m'y habitue, que je me réapproprie les lieux.
05:45 Et ça va se faire petit à petit.
05:48 Et j'espère reprendre peut-être dans quelques mois, je ne sais pas.
05:54 Un autre combat attend également le docteur Xeb,
05:57 faire en sorte que son agresseur réponde de ses actes devant la justice.
06:01 Aujourd'hui, il vient faire le point avec son avocat sur les suites de son dossier.
06:05 Après avoir passé quatre mois en hôpital psychiatrique,
06:07 le mis en cause est aujourd'hui placé en détention provisoire à Orléans.
06:11 S'il est déclaré pénalement irresponsable, il pourrait ne jamais y avoir de procès.
06:18 Il n'est pas concevable pour le docteur Xeb et son assistante dentaire
06:23 qu'il n'y ait pas de procès.
06:25 Donc nous allons être particulièrement vigilants concernant les expertises psychiatriques.
06:31 Et si des experts psychiatres ont des conclusions qui nous semblent en inadéquation
06:36 avec la réalité du personnage,
06:38 bien entendu nous aurons la possibilité de demander des contre-expertises.
06:43 Donc la question c'est abolition ou altération du discernement.
06:49 Qui dit abolition dit pas de procès, qui dit altération dit procès.
06:54 L'ancien patient du docteur Xeb, un réfugié tchadien d'une quarantaine d'années,
06:59 pour tentative d'assassinat avec préméditation,
07:02 encoure la réclusion criminelle à perpétuité.
07:06 En bref, cette nouvelle affaire qui secoue Tour Métropole.
07:12 À peine réélu, son président Frédéric Ogis est mis en cause
07:15 pour un propos raciste à l'encontre d'un vice-président.
07:18 Selon nos confrères de France 3 qui révèlent l'affaire,
07:20 le maire de Jouet-les-Tours aurait traité celui de fondette de "sale portugais".
07:24 Et ce devant témoin, l'effet présumé remonte au 4 avril
07:28 à l'issue du Conseil métropolitain.
07:30 Contacté, Cédric de Oliveira ne nous a pas répondu.
07:33 S'il n'a pas porté plainte, il a toutefois signalé l'effet au préfet d'Indre-et-Loire,
07:37 du côté de Frédéric Ogis.
07:39 Cette fois, il aurait formulé des excuses par écrit,
07:41 selon une information de nos confrères de 37 degrés.
07:46 Ce soir, ne manquez pas votre nouveau numéro du Grand Talk.
07:49 En plateau notamment, une invitée d'exception,
07:52 celle qui a relancé le Tour Métropole basket en grande difficulté en National 1,
07:56 la coach Valérie Garnier.
07:59 Et oui, Florent, quelles sont ses ambitions pour le club ?
08:02 Comment va-t-elle remobiliser les joueurs ?
08:04 On fait le point avec Valérie Garnier dans La Petite Histoire.
08:07 Elle revient également sur ses débuts dans le basket.
08:10 Focus dans le Grand Talk sur la maillotique.
08:13 La France connaît une pénurie sans précédent de sages-femmes
08:16 dans les maternités, mais également en ville.
08:19 On tente de ne pas limiter le travail des sages-femmes,
08:21 vous le verrez dans le Grand Talk à la salle d'accouchement.
08:24 On va parler de la réalité de ce métier.
08:26 Enfin, volets, baskets, hand et puis hockey,
08:29 à quelques semaines de la fin de la saison,
08:31 les objectifs des équipes locales ont-ils été atteints cette année ?
08:35 Vous l'aurez compris, ce grand dossier est 100% sport.
08:39 Et tout ça, c'est dans le Grand Talk, ce soir à 19h.
08:42 Florent.
08:43 Merci Aurélie.
08:44 À tout à l'heure.
08:45 Et si en pleine inflation, la solution était de devenir patron de supermarché ?
08:51 L'avantage, un accès à des produits locaux
08:53 et parfois bon marché, ça vous semble compliqué ?
08:55 Eh bien, pas tant que ça, à condition de partager le pouvoir.
08:59 Bonsoir Judith Galteau.
09:00 Bonsoir.
09:00 Vous êtes présidente du Troglo,
09:02 c'est le nom d'un nouveau supermarché situé boulevard Louis XI à Tours,
09:06 ouverture imminente, c'est le 27 avril, dans deux semaines précisément.
09:11 Le Troglo, c'est un supermarché pas tout à fait comme les autres,
09:13 il appartient à ses clients, à ses coopérateurs.
09:16 Qu'est-ce que ça veut dire exactement ?
09:18 En fait, le principe, c'est que les coopérateurs sont propriétaires du supermarché
09:25 en acquérant des parts sociales.
09:27 Voilà, donc c'est des parts sociales à 10 euros.
09:31 Donc, il faut en acquérir 10,
09:33 sauf pour les étudiants et les bénéficiaires de minima sociaux.
09:37 Le supermarché leur appartient et il faut qu'ils mettent la main à la pâte aussi ?
09:41 Voilà, donc pour pouvoir faire ces courses,
09:44 il va falloir participer au fonctionnement du magasin.
09:48 Donc, c'est une participation bénévole de 3 heures toutes les 4 semaines.
09:52 Ça, c'est la condition pour entrer au Troglo.
09:57 Est-ce que ça existe autre part ? D'où vient cette idée ? Est-ce que ça marche ?
10:01 Donc, le principe d'origine vient des États-Unis.
10:04 C'est même très ancien, ça date des années 70.
10:08 Il a été repris à Paris avec la Louvre.
10:11 Et puis maintenant, il y a une cinquantaine de supermarchés coopératifs partout en France.
10:15 Et là, vous êtes encore en pleine installation.
10:17 775 m², plus de 4000 références pour tous les goûts et toutes les bourses.
10:22 Voilà, donc c'est le principe.
10:23 Il faut que tout le monde puisse venir faire ses courses
10:26 et trouve ce qui l'intéresse pour le quotidien, pour les courses du quotidien.
10:31 Donc, il y a une gamme conventionnelle, une gamme bio et une gamme locale.
10:36 Donc, ça peut être aussi bio et locale.
10:39 Et toute une gamme de vrac aussi avec 200 références,
10:42 aussi bien en alimentaire que non alimentaire.
10:45 Est-ce qu'il y a des... Voilà, ça peut être bon marché.
10:48 Est-ce que certains produits sont moins élevés que d'autres, que la concurrence ?
10:51 Alors, par rapport à une grande surface classique, en fait,
10:54 la marge est la même sur tous les produits.
10:57 Donc, pas de produits d'appel.
10:59 Et puis, des produits notamment frais intéressants,
11:04 fruits et légumes, voilà, sûrement très concurrentiels par rapport à d'autres supermarchés.
11:10 Ça, c'est possible parce que vous travaillez beaucoup avec des producteurs locaux
11:13 dans un rayon assez proche de Tours.
11:16 Oui, on a travaillé en commission.
11:19 C'est les bénévoles déjà coopérateurs qui ont travaillé en amont
11:23 pour aller rencontrer les producteurs locaux
11:27 et leur faire une place vraiment particulière dans ce magasin.
11:30 Ils ont tout de suite accroché ?
11:32 Oui, oui, oui, vraiment.
11:34 Ils ont trouvé le principe très intéressant.
11:36 Et eux, ils gagnent leur vie correctement.
11:38 C'est ça le principe aussi ?
11:39 Voilà, en fait, c'est eux qui fixent leur prix.
11:41 Donc, après, la marge est appliquée sur leur prix.
11:44 C'est très transparent.
11:46 Déjà 600 coopératrices et coopérateurs.
11:48 Est-ce que vous craignez pas d'être victime de votre succès ?
11:51 Mais non, il faut qu'on soit encore plus.
11:53 D'accord.
11:54 Le projet est d'arriver au moins à 750 coopérateurs en fin d'année, là 2023,
12:00 et de grossir le plus possible
12:02 parce que plus on sera de coopérateurs, plus on sera de consommateurs
12:05 et plus on sera de bénévoles pour faire marcher le supermarché.
12:09 Et payer deux salariés, c'est bien ça.
12:11 Voilà.
12:12 Il y a quand même deux employés aujourd'hui.
12:14 Alors, comment on fait pour devenir coopérateur ?
12:16 On va sur votre site internet, c'est ça ?
12:17 Oui, voilà, on peut souscrire en ligne.
12:19 Le principe, c'est quand même de participer à une réunion de présentation.
12:24 Donc, là, elles ont lieu sur le site, maintenant,
12:28 les mardis soir et jeudi soir.
12:31 À partir de 18h30.
12:32 Ça a démarré, là.
12:33 Voilà, ça a démarré.
12:34 Donc, on peut aussi venir le lundi et le mercredi dans l'après-midi pour visiter.
12:39 Et voilà.
12:40 Pour se faire une idée.
12:41 Et ensuite, souscrire en ligne sur votre site internet.
12:46 Merci beaucoup, Judith Gatto.
12:47 Je rappelle, l'ouverture du Troglo, c'est le 27 avril.
12:50 Ce sera, donc, c'est Boulevard Louis XI à Tours.
12:53 Merci beaucoup d'être venue ce soir sur notre plateau.
12:55 Merci beaucoup.
12:56 Comme des poissons dans l'eau, sensation rare et agréable pour ces jeunes de 12 à
13:00 20 ans en situation de handicap.
13:02 Ils ont récemment pu profiter d'un baptême de plongée.
13:05 L'eau pour se libérer.
13:07 Ça se passe à l'Institut d'éducation motrice Charlemagne de Balenmiré avec Léa Turquiez.
13:12 C'est parti !
13:15 Et c'est parti pour le grand saut.
13:17 Une fois dans l'eau, visiblement, tout va bien.
13:25 Pour Tia et ses cinq autres jeunes, la plongée, c'est une grande première.
13:29 Et dès la sortie de la piscine, les avis sont unanimes.
13:33 C'était super cool.
13:36 Et si c'est à refaire, je le referai.
13:39 Qu'est-ce que tu as ressenti ?
13:40 Bien, à l'aise.
13:43 C'était super bien.
13:45 On voyait la vue de l'eau.
13:47 C'est vraiment bien, j'ai rien à dire.
13:49 C'est super bien.
13:50 Un baptême de plongée réussi pour ces jeunes de 12 à 20 ans en situation de handicap
13:55 moteur.
13:56 Tous sont suivis ici, à l'Institut d'éducation motrice Charlemagne de Balenmiré.
14:01 Alors, une après-midi comme celle-ci, forcément, ça change du quotidien.
14:05 Pour parler, on va utiliser les gestes.
14:09 L'initiative, elle vient de Salomé, monitrice éducatrice et surtout passionnée de plongée.
14:15 On a pris des jeunes qui ont l'habitude de venir en activité piscine, qui sont à l'aise
14:20 dans l'eau, qui sont aquatiques.
14:21 Et puis on leur a demandé s'ils étaient partants et j'ai eu que des oui.
14:24 C'est vraiment un dépassement de soi pour les jeunes parce que mettre la tête sous
14:27 l'eau, respirer, faire confiance à quelqu'un, c'est vraiment du lâcher prise et c'est
14:32 quelque chose auquel ils ne sont pas forcément confrontés.
14:35 Se dépasser et découvrir une nouvelle discipline, tout en étant encadré par des moniteurs
14:41 expérimentés.
14:42 C'est l'objectif de la commission Andi Sub au sein de la Fédération française d'études
14:47 de sport sous-marin.
14:48 C'est vraiment dans un esprit de découvert.
14:51 Ce ne sont que des moniteurs qui sont déjà qualifiés et qui dans leur club ont déjà
14:56 des plongeurs en situation de handicap et qui font donc de la plongée Andi Sub.
15:00 C'est que du bonheur.
15:01 Derrière les masques, des étoiles plein les yeux.
15:05 Voilà une journée que ces jeunes ne sont pas prêts d'oublier.
15:07 Maintenant, ils n'attendent plus qu'une seule chose, recommencer.
15:10 Une belle initiative.
15:14 Et puis c'était aujourd'hui la deuxième étape du tour du Loir-et-Cher.
15:17 151 kilomètres entre Sassé et Solom et la victoire du belge Yarnes Vande Par.
15:23 Le premier français est sixième.
15:25 Résumé complet à retrouver sur votre chaîne à 20h15.
15:29 Et c'est la fin de ce journal.
15:30 Merci à vous de l'avoir suivi.
15:31 Très bonne soirée.
15:32 A demain.
15:33 [Musique]