Le 19 Heures 30 de RTI 2 du 16 avril 2023 par Anicette Konan

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00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir à tous et merci de toujours vous informer sur RTI2, la chaîne la plus proche des populations.
00:21 Au sommaire de l'actualité, le dimanche 9 avril marquait la célébration de la Pâque dans le monde entier,
00:28 une occasion qui a donné lieu à un déferlement des peuples du centre-est du pays vers le village pour fêter Pâkinou à l'instar des chrétiens.
00:37 Et pour notre dossier de la Deux, nous irons dans ces zones revivre l'atmosphère qui a régné.
00:43 [Musique]
00:46 Et puis hors de chez nous, sachez qu'au nord du Burkina Faso, il y a eu au moins 40 morts dans une attaque perpétrée par des hommes armés
00:53 non identifiés dans le détachement militaire du village de Aï Roma.
00:57 [Musique]
00:59 Encore merci de votre fidélité à la chaîne la plus proche de vous. Tout de suite, passons à notre rubrique du jour, le dossier de la Deux.
01:08 [Musique]
01:13 Pâque est une célébration chrétienne qui suit le carême de 40 jours.
01:18 Ce moment choisi par le peuple Baoulé et Agni du centre et centre-est du pays pour fêter Pâkinou à l'instar des chrétiens.
01:26 Cette occasion a donné lieu à un hurrier de ces peuples vers le village respectif.
01:31 Pourquoi ce déferlement vers ces localités ?
01:33 Nos reporters Théodore Zouzou, Gilles Thonian et Justin Yasselou en font incursion dans la région du Gbeke pour en savoir davantage.
01:41 Le reportage est commenté par Maïssa Kougeïa.
01:44 Vendredi saint, 48 heures avant Pâque à Abidjan.
01:50 C'est l'attente dans les différents lieux prévus pour le départ des convois et l'effervescence dans les différentes gares.
01:56 La rareté des cars pour satisfaire la très forte demande occasionne par moments des situations embarrassantes pour les voyageurs.
02:04 "Merci, je voulais débuter par Téhéba et voici, je suis très heureuse mais ça va bien aussi."
02:10 "Je veux aller à Congo pour fêter la fête des Pâques."
02:13 "On a choisi d'aller en convoi parce que quand on va en convoi, c'est plus sécurisé que d'aller en détail."
02:22 Pour rien au monde, ces voyageurs ne peuvent abandonner leur projet de partir d'Abidjan ou des autres villes pour leur village respectif.
02:29 Ils partent pour le centre et le centre-est du pays, célébrer Pâque, connu sous la traditionnelle appellation de Pâkinou par les peuples Agni et Baouli.
02:39 C'est devenu une tradition pour ces deux peuples.
02:41 "On arrive à Minou, on rentre à Bonda. Nous, on n'a pas de problème. Si ça a une Minou, on s'en va."
02:47 Pâkinou, pour désigner Pâque chez les Baoulis, a une origine encore discutée.
02:52 Voici ce que disent un cadre à la retraite à Aoussi-Takikro, village de la sous-préfecture de Bamoro et le chef canton de Béhomis au centre du pays.
03:01 "Aujourd'hui, nous apprenons partout à la télévision que oui, ce sont les créateurs du Pâque.
03:07 Mais si j'ai bonne mémoire, je peux dire que ce village-là était le premier créateur de Pâkinou, en 1975."
03:13 "Dans les années 73, etc., on a commencé à fêter Pâque. C'est Béhomis Village, à travers une association que nous avons qu'on appelle le Club Bangbo."
03:22 Le chef canton Globamulon affirme que son géniteur est l'initiateur de Pâkinou.
03:27 "Ceux de la basse-côte qui viennent au village avec leurs enfants pour connaître ceux qui sont ici, ceux de la diaspora en ville qui viennent aussi pour faire connaissance avec leurs parents qui sont en basse-côte,
03:40 afin que nous puissions nous retrouver dans la gaîté, dans la joie.
03:45 En 1970, mon père a occasionné cette fraternité pour que nous puissions faire une grande fête au niveau des Diabos, sous ce manguier même.
03:55 Le problème de Pâque, c'est que c'est un concept aussi de l'origine de la Pâque en Pays-Bas-Ouest, surtout à Diabos."
04:02 Un notable donne les raisons de cette initiative de Nanakwasi Batey.
04:06 "Bahabatey est une personne qui avait de l'avance sur son époque.
04:12 Il avait, par le passé, par rapport aux ressources dont il avait besoin, envoyé ses enfants en basse-côte.
04:21 Et à un moment donné, les travaux ici, ils n'avaient pas de ressources pour faire.
04:28 Il fallait les rassembler, donc il a exigé qu'ils viennent.
04:31 Pâque était une occasion d'être réunis et de retrouver tout le monde."
04:36 Cependant, tous sont unanimes sur un fait, Pâquenou est une occasion de retrouvailles.
04:41 "Qu'on soit fonctionnaire, étudiant, etc., c'est un moment qui est propice à tout le monde et on se retrouve au village pour parler de développement."
04:49 Pâquenou est donc un moment où les paysans abandonnent, un temps soit peu, les travaux champêtres pour s'adonner à d'autres activités.
04:57 Aussi, Pâquenou est une opportunité pour les mutuels de développement d'organiser des séances de dépistage gratuits de diverses pathologies.
05:06 Des compétitions sportives sont également de mise, comme ici à Diabos, toujours dans le centre ivoirien.
05:12 "Nous avons décidé, nous, Uogblo, d'organiser un tournoi pour nous permettre de courir, de faire le sport.
05:19 Une fois qu'une équipe a gagné, tout le monde a gagné. C'est pour ça que nous sommes tous dans la joie. Il n'y a pas de défaite chez nous."
05:25 Pâquenou, c'est aussi un retour aux sources à travers des jeux patrimoniaux transmis aux plus jeunes, une façon de les pérenniser.
05:33 "C'est un jeu qui envoie des disparitions. On joue ça pour montrer aux jeunes pour que nos enfants puissent continuer à jouer dans le futur."
05:43 Ces différents jeux sont facteurs de rapprochement et de cohésion.
05:46 "C'est un jeu, il n'y a pas de cafouillage dedans, ça te permet de calculer à l'aise."
05:53 Les réunions pour le règlement des litiges familiaux et le développement des différents villages occupent une place importante.
06:00 Des projets pour l'amélioration du cadre et des conditions de vie des populations sont définis de façon consensuelle,
06:07 de même que les stratégies pour leur réalisation.
06:10 Quant aux soirées, elles sont chaudes, inoubliables, avec des danses sorties du riche patrimoine baoulide.
06:15 "C'est un jeu, il n'y a pas de cafouillage dedans, ça te permet de calculer à l'aise."
06:23 "C'est un jeu, il n'y a pas de cafouillage dedans, ça te permet de calculer à l'aise."
06:41 Pendant ce temps, au clair de lune, d'autres préfèrent consommer du café dit baouli.
06:46 "Je prends de l'eau avec sucre, seulement et puis je bois du café."
06:50 "Pas qu'il y ait un réveil ou pas qu'il n'y ait pas de réveil, je m'en vais."
06:52 Pour ceux qui ne sont pas adeptes de danse traditionnelle, dans les makis, tout est mis en place pour passer des soirées agréables.
06:59 "Le travail a été déjà fait depuis la base, maintenant nous, on ne fera qu'apporter des artistes, organiser des petits jeux, des petites compétitions."
07:07 Des visiteurs, ou parfois des curieux, se mêlent à cette atmosphère de fête pour connaître la raison de cette ruée des populations du centre vers leur village d'origine.
07:17 "J'ai été supprimé, je peux dire, de l'enthousiasme de ce monde, de ce village. J'ai été invité pour la première fois par un frère.
07:26 J'ai vu aujourd'hui que vraiment, Pakinou existe vraiment dans le village. La culture est telle. J'attends Pakinou 2024 encore pour revenir à Benekoski."
07:34 "Ce qu'on appelle Pakinou au village, il n'y a rien de tel. C'est trèèèèès trèèèèès bon. Je suis trèèèèès content."
07:42 Au-delà des retrouvailles, Pakinou est l'astuce toute trouvée par le peuple baoulé pour apporter un mieux-être dans les différentes localités.
07:50 Pakinou, les raisons de la ruée vers les villages, un dossier de Thordozuzu, Giltonien, Yasselou, Justin et Maïsako Gueye à revoir sur RTI.info.
08:03 En société, l'esclavage existe toujours et plusieurs enfants en sont victimes. Dans le monde et même en Côte d'Ivoire, dans la commune d'Ajamé,
08:11 il est impossible de sillonner les voies et ne pas voir, sans voir plutôt, des mineurs exercer des métiers d'apprentis de véhicules en commun,
08:18 de vendeurs d'eau glacée et plein d'autres. Des activités qu'ils exercent souvent même de gré ou de force, en vue de subvenir aux charges de leur famille.
08:26 Face à cette pratique déshumanisante, des voix s'élèvent pour condamner ce phénomène en ce 16 avril, qui marque la Journée mondiale contre l'esclavage des enfants.
08:37 Un reportage de Justin Kouassi et Maïsako Gueye.
08:40 Aboubaka Fofana, âgé de 15 ans, exerce le métier d'apprenti dans ce véhicule de transport en commun, communément appelé Gbaka. Ses journées sont pénibles.
08:51 - Moi, mon père n'est pas ici. Mon père est dans le village. Là, ici, il est là. C'est mon travail, c'est la guerre. Ça va passer. C'est mon travail, c'est le fait commun.
09:05 À l'instar d'Aboubaka, Myriam Monsielé est très jeune. À à peine 13 ans, elle vend des sachets d'eau glacée à Ajamé, quartier Liberté, une activité qui lui permet de participer aux charges de sa famille.
09:17 - Mes parents n'ont pas d'argent. Donc, ils veulent m'occuper de moi-même. Ils veulent avoir un petit jeton sur mon nez. Ils veulent finir à 18 ans. S'il y a quelque chose qui manque à la maison, ils payent.
09:29 Un peu plus loin, Fankwao et ses frères vendent de la Tique et du Plakali pour leur mère sur cette voie où la circulation est de plus en plus dense.
09:38 - Il n'y a pas d'argent pour nous nourrir. Ça coûte ça. On a besoin d'un nom avant des marchandises.
09:44 Et pourtant, selon la déclaration de 1898 de l'Organisation internationale du travail, OIT, sur les principes et droits fondamentaux au travail, les États membres ont l'obligation de respecter, de promouvoir et de réaliser le principe concernant toute forme de travail forcé ou obligatoire.
10:03 En Côte d'Ivoire, pour marquer la Journée mondiale contre l'esclavage des enfants, célébrée le 16 avril, des voix s'élèvent pour dénoncer ce phénomène.
10:11 - Normalement, quand tu es petit, tu dois aller à l'école pour être instruit. Mais là, bon, nous, ce qu'on remarque, c'est qu'on voit beaucoup d'enfants à 7 ou 6 ans qui se promènent sur la route, trouvant de l'eau. Ça va bien.
10:21 - Je crois que le fait que l'enfant doit aller souffrir pour avoir de quoi manger, puisque c'est le parent, en réalité, qui a habilité à comment soigner l'enfant, puisqu'il a un certain âge. Le seul travail que l'enfant doit faire, c'est aller à l'école.
10:34 Le phénomène du travail des enfants est de plus en plus récurrent dans le monde. Cette pratique prive les enfants de leurs droits fondamentaux.
10:43 À la page « Réligion », les membres des familles sous mauro-éthymité de Séguéla se sont retrouvés dans la commune de Yopougon le dimanche dernier à l'occasion d'une rupture collective.
10:53 Regroupés au sein d'une association appelée Souti, ces natifs de Séguéla, nord-ouest de la côte d'Ivoire, envisagent de contribuer au développement de leur localité. Maïssa Kogay a participé à cette rupture collective.
11:08 Une rupture collective aux allures de retrouvailles, c'est ce à quoi ont pris part les membres des familles sous mauro-éthymité natifs de Séguéla.
11:17 Regroupés au sein d'une association, ces natifs du nord-ouest du pays ont partagé des mets cuisinés pour l'occasion.
11:23 Nous sommes vraiment heureux ce soir de faire les retrouvailles avec la famille parce qu'il y a longtemps on s'est vu avec certains.
11:31 Parce que nous on a quitté le village, on est venu faire des études ici. Ceux qui vivaient ici on les connaissait pas avant.
11:36 Donc aujourd'hui ils ont organisé une rupture collective pour que toute la famille se réunisse, partage des plats.
11:43 Il faut saluer les membres du bureau pour l'initiative parce qu'il faut dire que ça fait un bon moment. La famille ne s'est pas retrouvée en grande nombre comme ça pour passer ce bon moment ensemble.
11:55 Les familles Sotis entendent à travers leur association créer un cadre de promotion de talents issus de la famille.
12:02 Les actions que nous comptons mener, nous avons entre autres la promotion des fils et filles de la grande famille sous mauro-éthymité à Abidjan.
12:10 L'insertion de nos membres qui n'ont pas jusque là du travail et pour ceux qui ne sont pas diplômés, travailler pour pouvoir leur apporter un financement.
12:22 Au-delà des rencontres fraternelles, les participants à cette rupture collective ont été instruits sur certaines spécificités liées au mois de Ramadan.
12:31 Il y a des gens qui ne prennent pas l'intention. Pour formuler l'intention, c'est très important. C'est lui qui ne prend pas l'intention, ça veut dire qu'il ne gêne pas.
12:43 On a essayé d'expliquer pour que chacun, ceux qui n'ont pas encore fait, dès ce soir, ils doivent le faire.
12:50 La rupture collective organisée par les familles sous mauro-éthymité s'est achevée par la prière du crépuscule.
12:59 Cette même atmosphère, sachez que les fidèles musulmans de la commune de Yopougon, quartier Batim,
13:04 cette fois-ci, se sont retrouvés pour rompre le jeûne ensemble afin de consolider les liens de fraternité, de solidarité et de vivre ensemble.
13:12 Une initiative saluée par fidèles et guides religieux de la commune. Le compte-rendu est signé par Gassou Rokone de Madangui.
13:20 La commune de Yopougon, les fidèles musulmans du quartier Batim se sont réunis pour rompre le jeûne.
13:26 Une initiative qui vise à promouvoir les valeurs de paix, d'entente, de solidarité et de vivre ensemble.
13:32 Dans l'islam, nous le très conseillons de partager, d'inviter les frères et soeurs, les voisinages, pour avoir le mérite.
13:40 C'est le mot le plus sacré en l'islam. C'est le mot, le demain enchaîné, qu'il faut beaucoup de partage pour avoir le paradis.
13:49 C'est la huitième édition de la récolte collective que nous faisons, pour affirmer nos liens de fraternité islamique, nos liens de fraternité de voisinage.
13:59 Un geste salué par l'imam de cette communauté.
14:02 A chaque fois quand on ensemble, c'est comme une solidarité. Ça nous donne aussi de la force et une bonne image de l'islam aussi.
14:12 La rencontre de partage a été marquée par des prières et des bénédictions pour les filles et fils de la Côte d'Ivoire.
14:19 Nous continuons de mettre l'accent sur la solidarité. Le président des jeunes du saux quartier Boissec, Dabobo PK18, a procédé à une distribution de plusieurs kits alimentaires aux familles en difficulté pendant ce mois de ramadan.
14:33 Un acte de générosité dédié à la première magistrate de la commune, Dabobo Kandiyakamara, dans l'objectif de manifester un élan d'amour afin de renforcer les liens de fraternité et de vivre ensemble.
14:46 Voilà aux secours des familles en difficulté à l'occasion du mois béni de ramadan.
14:52 C'est tout le sens de l'élan de solidarité d'Abou Draman Ouatsara, président des jeunes du saux quartier Boissec, Dabobo PK18.
15:00 Un geste d'entraide posé au nom de Kandiyakamara, maire de la commune Dabobo.
15:05 Chaque année, nous pensons un peu avec ce que Dieu nous a donné, comme le peu que nous avons, de pouvoir penser un peu aux familles des minutes de notre quartier.
15:15 Et nous prions Dieu pour que les années à venir, nous puissions faire plus que ça.
15:19 Une initiative encouragée par les bénéficiaires.
15:22 On leur dit merci pour ce don dans ce mois de carême. Ils ont bien fait de penser à nous.
15:29 Si la tête de la jeunesse a pris ce don par les cornes déjà en faisant ce don dans ce mois de bénédiction,
15:36 je pense que nous devons dire grand merci à cette jeunesse que Dieu nous a conduit en bonne santé.
15:41 Depuis le début du mois béni de ramadan, des âmes généreuses et sensibles à la situation de précarité,
15:48 des familles en difficulté manifestent de plus en plus des actions de solidarité et d'entraide afin de consolider le vivre ensemble.
15:57 Et toujours en religion, les jeunes filles de l'église évangélique des Assemblées de Dieu,
16:02 Temple Peignel de Yopougon-Koweït ont eu leur retraite spirituelle annuelle.
16:07 Il faut souligner que cette initiative est faite pour enseigner à ces jeunes filles les valeurs cardinales, sociales, familiales et matrimoniales.
16:14 Et afin d'être autonome dans leur marche chrétienne, le reportage est signé Clément Boukho.
16:20 Les jeunes filles de l'église évangélique des Assemblées de Dieu d'Abydjan Sud, dans la commune de Yopougon,
16:26 observent une retraite spirituelle. C'est temps de prière pour renouveler leur relation avec Dieu.
16:32 J'ai appris beaucoup parce qu'en dehors du milieu chrétien, nous jeunes filles nous sommes confrontées à des vices de la société.
16:39 Donc avec ces enseignements qu'on apprend aujourd'hui, on peut marcher avec fierté dans la société.
16:45 À cette occasion, ces jeunes filles ont été instruites sur l'importance de la sanctification pour réussir leur marche chrétienne.
16:53 C'est important de participer à cette retraite parce que de nos jours, le temps est difficile. La foi même chrétienne est menacée.
17:03 Alors quand nous convoquons ces moments, c'est pour leur permettre de relever un peu leur niveau spirituel.
17:10 On les réunit pour chercher la face de Dieu, pour se séparer un tant soit peu de leur maison, de leur famille, d'être en train quotidien,
17:17 pour venir ensemble, invoquer le Seigneur, les enseigner et puis leur donner le goût de la prière, vraiment se rapprocher de Dieu.
17:25 Nous les encourageons à se sanctifier, à se mettre à part, pour ne pas se compromettre par rapport à leur foi chrétienne.
17:32 La vie chrétienne est une vie de sanctification, de consécration et de crainte de Dieu.
17:36 Elle doit se démarquer du péché, se démarquer de tout ce qui peut compromettre la foi pour pouvoir être à la lumière de Christ.
17:42 Il faut qu'elles soient également des témoins de Jésus Christ, il faut qu'elles puissent apporter l'évangile à leurs amis.
17:47 Ces moments étaient l'occasion pour ces futures femmes de faire des actions de grâce et louer le Tout-Puissant.
17:53 Et si on allait faire un peu de sport à San Pedro, là-bas la Direction régionale des sports a organisé à l'occasion de la journée internationale du sport,
18:03 une marche sportive et une séance de fitness pour le bonheur des populations, Sam Konan.
18:11 La journée internationale du sport célébrée à San Pedro.
18:15 Les activités ont démarré par une marche sportive qui est partie du centre polyvalent Georges Sangaré
18:22 pour s'achever dans la cour de la préfecture des régions, avec une séance de fitness.
18:28 Il est bon de pratiquer le sport parce que quand on pratique le sport ça nous met en bonne santé et on travaille bien à l'école.
18:36 Le sport est un facteur de rassemblement parce que, regardez où je vis, pour le sport toutes les forces sont réunies.
18:43 Nous avons les forces de la sécurité, la société civile, les élèves, les fonctionnaires et autres, si ce n'est que le sport.
18:51 Cette journée sportive répond à la célébration de la journée internationale du sport.
18:56 Monsieur le ministre du sport, Paul-Henri-Claude Dao, a bien voulu instruire ce service à l'effet de célébrer cette activité dans nos différentes régions et départements.
19:05 C'est ce que Saint-Pédro vient de faire. Il faut dire que le sport Saint-Pédro se porte très bien.
19:10 Tous les samedis, ce qu'on a fait ce matin, c'est fait tous les samedis sur les 365 jours de l'année.
19:15 La remise de la déclaration du ministre du sport au corps préfectoral a mis fin à la célébration de la journée internationale du sport dans la cité portuaise.
19:28 Nous vous l'annoncions en titre au Burkina Faso, 40 personnes dont 6 soldats et 34 volontaires pour la défense de la patrie ont été tués suite à une attaque hier samedi 15 avril dans la région du Nord.
19:40 Des hommes armés non identifiés ont attaqué le détachement militaire du village de Aourima.
19:45 Et toujours dans cette atmosphère de désolation, les combats entre armés et paramilitaires au Soudan font rage dans la capitale soudanaise
19:56 où les habitants sont enterrés au moins 56 morts parmi les civils et des dizaines parmi les forces de sécurité.
20:02 Ainsi, quand environ 600 blessés, 3 humanitaires du programme alimentaire mondial ont été aussi tués.
20:09 Et puis en Syrie, selon l'observatoire syrien du respect des droits de l'homme, le groupe djihadiste a tué au moins 26 personnes ce dimanche
20:17 alors qu'elle ramassait tout simplement des truffes du désert dans l'Est de Hama.
20:22 Au moins 10 d'entre elles étaient des combattants pro-régime.
20:26 En cette période de crise économique, la truffe, ce champignon qui se vend très cher, est très convoitée.
20:31 Malgré ces risques que représentent sa quête, notamment les groupes armés et mines enterrées,
20:37 le kilo de truffes se vend entre 5 et 25 dollars alors que le salaire mensuel droit moyen d'un Syrien est désormais de 18 dollars.
20:47 Merci et bon dessus du programme sur RTI 2, la chaîne la plus proche de vous.
20:51 Merci.
20:52 [Musique]

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