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00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir à tous et merci de suivre le temps d'information sur RTI2, la chaîne toujours plus proche de vous.
00:23 Le sommaire de l'actualité, 1818 malades enregistrés cette année contre 1179 l'année dernière.
00:31 Le cancer du sein continue de faire des victimes.
00:34 Et pour notre rubrique du jour, les dossiers de la 2, nous nous pencherons sur le cas de Dame neutre,
00:40 âgée de 58 ans, victime de cette pathologie.
00:44 Et puis, hors de chez nous, les craintes d'un embrasement régional du conflit entre Israël et Hamas palestiniens.
00:52 À Gaza, ça croise en raison de la montée de la tension à la frontière entre Israël et le Liban.
00:59 Merci d'être des nôtres sur RTI2. Passons tout de suite à notre rubrique du jour.
01:06 [Musique]
01:11 Le cancer du sein, une maladie grave qui tue silencieusement, continue de faire des victimes chaque année en Côte d'Ivoire.
01:18 Cette année, 1818 malades ont été enregistrés contre 1179 l'année dernière,
01:26 selon le Centre national d'oncologie médicale et de radiothérapie à la Sanwa Tara, CNRAO.
01:32 Certaines malades se retrouvent surpris par cette pathologie, qui débute de façon banale et se développe après.
01:39 Ce mois, dénommé « Octobre rose » est donc dédié à l'amplification des campagnes de sensibilisation au cancer du sein dans le monde entier.
01:47 Quel est donc l'état d'esprit des malades ? Comment certains n'ont pu guérir de cette maladie ?
01:53 Et comment se fait la prise en charge dans les hôpitaux en Côte d'Ivoire ?
01:57 Éléments de réponse dans ce dossier signé Clarisse Kanyala.
02:00 Elle nous a trahuré, Justin Yasselou et Sidiki Ouattara.
02:04 Nous allons l'appeler neutre.
02:07 Elle a trouvé refuge chez sa fille dans la commune d'Aboubou, lorsque le cancer a fini par avoir raison de son sein droit.
02:15 Tout a commencé par un bouton insignifiant l'année dernière, dans son sein qu'elle a banalisé.
02:26 Loin pour neutre, âgée de 58 ans et mère de cinq enfants, de penser à un cancer.
02:32 Une maladie dont elle n'avait jamais entendu parler.
02:36 Le petit bouton me démangeait à chaque fois et moi je ne faisais que gratter.
02:42 Au fil du temps, le bouton a commencé à grossir.
02:45 Je pensais que c'était un fironcle.
02:47 J'ai donc commencé à faire des médicaments indigènes en vin.
02:51 Je suis donc allée à l'hôpital.
02:54 Rongée par la maladie, c'est un hôpital que neutre a été déclaré cancereuse après une série d'examens.
03:02 Une nouvelle qui l'a plongé elle et toute la famille dans une grande affliction.
03:08 C'est difficile pour nous de voir notre maman en train de souffrir comme ça.
03:12 Moi je suis un chauffeur de taxi.
03:15 Moi aussi je ne travaille pas comme ça.
03:18 De temps en temps je roule taxi.
03:20 Tu roules au jeudi, tu fais deux jours et tu n'as pas encore roulé.
03:22 Il y a maman qui est près de moi qui est malade.
03:24 Donc vraiment on demande de l'aide.
03:26 Nous on préfère l'opération.
03:28 Mais tout ce qu'il y a de mieux, on ne sait pas comment ça va se passer.
03:31 Ils vont faire le traitement d'abord.
03:33 Si on peut opérer, on va opérer. Si on ne peut pas opérer, on va couper.
03:39 Le traitement du cancer du sein est coûteux.
03:45 Il faut au moins 2 à 3 millions de francs CFA pour un traitement complet.
03:50 Consciente donc de leur situation précaire, la famille a préféré se tourner vers le Centre national d'oncologie médicale et de radiothérapie à la Sanwatsara,
04:01 Sien Rao, Dabijan, où la prise en charge du cancer est subventionnée par l'état de Côte d'Ivoire.
04:08 Ce qui permet aux malades de suivre un traitement normal.
04:12 Mais avant la prise en charge, le médecin doit s'assurer du stade d'avancement du cancer.
04:17 Une chimiothérapie est alors recommandée.
04:21 Vu la taille de la boule, généralement, on part plus pour une opération où on est obligé malheureusement de faire une améliation du sein.
04:33 Pour une raison scientifique où on ne peut se permettre de garder une cellule sur le sein.
04:42 On va réaliser une chimiothérapie dans un premier temps.
04:46 Une chimiothérapie recours de laquelle des perfusions et des injections sont faites aux malades dans l'objectif de faire fondre la boule dans le sein, comme dans cette salle.
04:56 À ce stade du traitement, les malades pourraient passer quelques jours avant d'être réadmis en radiothérapie dans une autre salle.
05:05 Ici, les malades sont mis dans cette machine pour être examinés au détail près.
05:13 Le traitement du cancer peut aller jusqu'à l'ablation du sein pour éviter que les cellules cancéreuses se propagent dans tout le corps.
05:22 Cette année, 1818 malades ont été enregistrés contre 1179 l'an dernier, soit une augmentation de 25% selon la directrice du CNRAO.
05:35 Plus le cancer est détecté tôt, plus les possibilités de guérison sont grandes.
05:39 Plus les malades sont détectés tard, plus les possibilités de guérison diminuent.
05:43 Et lorsque le cancer du sein est généralisé, il n'y a plus de possibilités de guérison, mais on peut transformer la maladie en maladie chronique, comme le diabète, comme l'hypertension, c'est-à-dire une maladie avec laquelle on peut vivre.
05:54 En ce mois d'octobre, déclaré rose, les campagnes de sensibilisation et de dépistage se sont multipliées dans le pays.
06:02 Comme c'est le cas ici à Beaunois, ville située à quelques kilomètres d'Abidjan.
06:07 Ce dépistage gratuit permet aux femmes de tout âge de connaître le statut.
06:12 Je suis soulagée en tout cas. Quand on me dit cancer du sein, j'ai peur.
06:17 Quand ma fille m'a appelée de venir, j'ai failli ne pas venir, mais j'ai pu le courage de venir et maintenant ça va. Je ne suis pas malade.
06:25 Selon le médecin, le cancer serait une maladie héréditaire dans la plupart des cas.
06:30 Vous êtes prédisposé à faire un cancer si éventuellement dans la famille, un proche parent a fait un cancer.
06:38 S'il y a une forcition du cancer dans votre famille, il y a des comportements qu'il faut adopter.
06:43 Consommation d'alcool, du tabac, ce genre de comportement, certains aliments à risque peuvent exposer à faire du cancer du sein.
06:53 Chaque année, ce sont au total 3306 nouveaux cas de cancer du sein enregistrés en Côte d'Ivoire, dont 1586 cas de décès.
07:03 Le cancer du sein est un véritable problème de santé publique. Un tueur silencieux.
07:09 Les plus chanceuses des victimes se sont retrouvées aujourd'hui avec un seul sein sur la poitrine.
07:14 Une situation que bon nombre d'entre elles vivent difficilement au quotidien.
07:20 Courage à toutes ces femmes atteintes de cette pathologie.
07:24 À Bouaké, dans la région de Bouaké, les grandes surfaces commerciales, boutiques et magasins sont sillonnées par le directeur régional du commerce et de l'industrie.
07:33 Sur l'objectif de s'assurer du respect des prix de certaines denrées alimentaires.
07:38 Et cette vérification s'est faite en présence de Jené Bawatara et Charles Tatou, de RTI Bouaké.
07:44 Commune de Bouaké, le directeur régional du commerce et de l'industrie de Bouaké entourée d'inspections.
07:53 Première étape, quartier commerce, dans les grandes surfaces commerciales.
07:58 À travers un échange, Patiga Momadou s'imprègne de la disponibilité des produits de première nécessité,
08:05 notamment le riz, les pâtes alimentaires, le lait, l'huile, la tomate concentrée et aussi du respect des prix maximaux fixés de ces produits de grande consommation par le gouvernement.
08:18 Marché de Bouaké, même exercice également dans les magasins et autres boutiques sillonnées.
08:23 - Il y a Saloni ici ? - Oui, il y a Saloni.
08:25 Saloni, il y a trois façons. Il y a 5% 25.200 séance. Il y a le 25%, 24.500 et le 20%, 24.250.
08:34 - Et l'huile, vous avez l'huile ? - L'huile, oui, il y a l'huile.
08:37 - Et le combien de litre ? - 25 litres. Là, ça fait 20.500.
08:41 Le directeur régional du commerce et de l'industrie satisfait quant au respect des prix.
08:47 Nous faisons dessus nos collaborateurs sur le terrain chaque semaine pour procéder à ce qu'on appelle un relevé des prix.
08:53 Et ce relevé des prix que nous avons entre les mains est conforme au prix que les opérateurs communs ont pointé à notre connaissance.
09:02 Cette action n'est pas anodine. Elle procède des efforts que le gouvernement de Côte d'Ivoire consente tous les jours sur le terrain
09:08 pour faire en sorte que le marché soit régulièrement approvisionné.
09:12 Les responsables des consommateurs et le vendeur saluent l'initiative.
09:17 Cela de saluer les commerçants et les opérateurs économiques, de continuer dans cet élan d'efforts qui est consenti par le gouvernement en faveur des consommateurs.
09:29 Nous faisons de gros efforts pour sacrifier tout ce que nous-mêmes gagnons pour enlever sur le sac pour que la population soit soulagée.
09:36 Fatiga Momadou appelle aussi les opérateurs économiques au strict respect du prix du sucre en dépit de la pénurie que connaît ce produit alimentaire.
09:46 En cas de non-respect des prix plafonnés, tout contrevenant s'expose à la rigueur de la loi selon le directeur régional du commerce.
09:56 De nombreux conflits et fonctions ont été enregistrés ces dernières années entre les populations de la frontière ivoiro-guinéenne.
10:05 Des conflits qui ont vu des pertes en vue humaines et des dégâts matériels importants.
10:09 En entendant donc la matérialisation de la frontière entre ces deux pays, la Commission nationale des frontières de Côte d'Ivoire associée à celle de la Guinée
10:18 mène une campagne de sensibilisation auprès des populations.
10:21 Elle a démarré à Koulaleu dans le département de Sipilou en Côte d'Ivoire et Gonata en Guinée-Conakry, le compte-rendu signé Momadou Kouassi de RTI-Ment.
10:31 Côte d'Ivoire, Guinée. Ces deux pays partagent 610 km de frontières.
10:37 Faute de matérialisation de la limite entre ces deux États, des conflits font s'y enregistrer régulièrement entre les populations rivérennes de la frontière.
10:45 En réalité, il n'y a pas de problème de personne, mais les travaux agricoles sont toujours menacés.
10:53 Lorsque c'est la période de sémail, là il n'y a pas de problème.
10:58 Mais lorsque c'est la période de récolte, par exemple, certains Guiniens viennent récolter le riz de la population de Koulaleu.
11:05 Or en réalité, c'est la population de Koulaleu qui a ses champs dans la zone frontalière en question.
11:13 Une situation dans laquelle les deux pays veulent trouver une solution définitive.
11:17 Une délégation mixte ivoiro-guinéenne, conduite par les responsables de la Commission nationale des frontières, est accueillie à Koulaleu, un village du département de Sipilo.
11:25 Il s'agit pour Diakaledia Konate et le corps préfectoral des deux pays de sensibiliser la population à la préservation de la paix au niveau des frontières et surtout à une cohabitation pacifique.
11:35 Nous sommes venus dire à nos parents que nous avons commencé les travaux de délimitation de la frontière, que nous sommes à la tâche, mais cela ne les empêche pas de créer un environnement paisible.
11:47 Parce que même si nous délimitons, la vie doit pouvoir continuer pour eux.
11:52 Nous les avons exhortés à développer le dialogue, à développer la diplomatie coutumière et traditionnelle.
12:00 Nous avons également exhorté les chefs d'unités, des forces de défense et de sécurité, mais également les autorités préfectorales à créer des cadres de dialogue.
12:09 Le lendemain, c'est au tour du village de Konota de recevoir la délégation.
12:14 Ici, en territoire guinéen, les populations sont invitées au règlement pacifique en cas de conflit.
12:19 Nous deux gens, nous sommes ensemble. Les préfets sont ensemble. Les forces de défense et de sécurité qui ne se connaissaient pas, maintenant ils se connaissent. Ils sont ensemble.
12:26 Quand il y a un problème, c'est à eux de résoudre directement le problème. Vous les appelez, ils résoudent directement le problème.
12:32 Donc vous n'avez pas besoin vous-même de faire la justice si vous avez des problèmes. Remontez au fur et à mesure.
12:38 Pour résoudre complètement la question de matérialisation de la frontière, Diakhali Diakounate annonce des mesures.
12:44 Actuellement à Dakar, aux archives de l'AOF, on a une équipe de Guinéens et Ivoiriens qui sont allés chercher les documents pour voir la frontière, ça passe où.
12:55 Si on dit non, on a toujours considéré que le fleuve, c'est ça qui nous sépare. Est-ce que c'est ce que le blanc vous a dit ?
13:02 Ce que le blanc a dit, c'est ce que nous, on est allés chercher à Dakar. Si on n'a pas vu à Dakar, on va aller à Paris.
13:08 Si on n'a pas vu à Paris, on va aller à Aix-en-Provence. Les archives d'outre-mer, tous les archives de la colonisation se trouvent à Marseille, Aix-en-Provence.
13:17 Si on n'a pas vu là-bas, on va à Washington ou à New York pour aller chercher les documents.
13:21 C'est quand on va finir les documents, on va regarder ce que le colon a dit. Bon, la frontière, ça passe ici, ça passe où ici ? C'est écrit.
13:29 C'est ça qu'on va prendre maintenant pour pouvoir faire le tracé.
13:32 En attendant, plusieurs villages situés dans la zone frontalière d'Ongbeya font l'objet de litiges en termes d'appartenance à un territoire.
13:42 La page culture à Grand Bassam, ce dimanche 29 octobre, s'est ouverte la deuxième partie de l'Abissa.
13:48 Il s'agit du Goiseau, la cérémonie de remise d'un don, un bolet, au peuple par le roi.
13:55 Mais la veille a eu lieu la cérémonie de matérialisation de la résolution des différents et de l'exigence du pardon entre le peuple Nzima, le chef du village d'Azureti.
14:05 Nanan Bounian a convoqué cette population pour les écouter avant la célébration du nouvel an du peuple Nzima en présence de Davis à Oyo.
14:14 Azureti, village de Nzima Kotoko, entre océan Atlantique et lagune à Grand Bassam.
14:25 Au domicile du chef du village, une rencontre d'échange initiée entre Nanan Bounian et ses sujets, représentés par les grandes familles.
14:35 Ces échanges directs portent sur les sujets qui ont meublé la vie du village durant l'année.
14:48 L'idée, régler toutes les mésententes qui opposent les habitants du village.
14:54 La période d'Abissa chez nous, c'est la fin d'année. On va rentrer dans une nouvelle année à partir du dimanche prochain.
15:00 Donc la population, après un an, on leur a posé la question de savoir s'il y a des griefs encore dans leur cœur.
15:07 Parce que nous allons rentrer dans le nouvel an et on ne souhaite pas rentrer avec de la rancœur.
15:13 Cette rencontre de pardon mutuelle et fraternelle est un passage obligé pour tous les Nzima avant le début de l'Abissa.
15:21 Abissa dit "moi je suis l'amour, je suis la paix".
15:29 C'est lui qui célèbre l'Abissa à la santé, à la paix.
15:35 Donc on ne va pas à Abissa avec de la rancœur dans l'Abissa, c'est très mauvais.
15:40 Accolades, salutations et partage de repas ont ponctué cette journée de préparation des cœurs à quelques heures de l'Abissa.
15:50 Retour à Abidjan dans la commune de Koumasi.
15:53 Un match de gala à rassembler les fils et filles du quartier Sikouji.
15:58 Cette activité est une initiative de l'association Reste du monde,
16:02 qui a pour objectif de renforcer les liens de fraternité au sein du quartier à la satisfaction des participants.
16:08 Justin Kouassi.
16:10 S'occuper sainement durant le week-end, c'est l'objectif de ce match de gala
16:14 entre les membres de l'association sportive de Marakana, dénommée Reste du monde.
16:20 Nous avons décidé d'organiser ces séances d'entraînement pour permettre aux jeunes et aux personnes âgées de ce quartier,
16:33 de la Sikouji, de pouvoir entretenir la forme physique et de pouvoir aussi préserver leur santé.
16:39 Ça permet de nous rapprocher, ça permet une cohésion sociale,
16:46 ça permet aussi de revoir certaines personnes que nous avons perdues de vue
16:51 et de garder ce contact-là pour d'autres événements.
16:55 Au-delà du sport, c'est aussi une amicale d'anciens joueurs.
17:00 Donc chaque samedi, ils se retrouvent ici pour revivre le passé sportif qu'ils ont vécu ensemble.
17:04 C'est une très, très bonne initiative parce que c'est une affaire de cohésion sociale.
17:07 Le match se joue au terrain Madame Diop de la Sikouji, dans la commune de Koumassi.
17:12 Cette activité sportive réjouit les participants.
17:15 Le sport, ça fait du bien.
17:17 Ça fait que j'évite beaucoup de bobos, comme les AVC, puis moi-même je préserve ma santé aussi.
17:26 C'est ce que je peux récuillir en cela. Donc vraiment, ça fait du bien.
17:31 À travers le Reste du monde, c'est la pratique du sport.
17:35 Vous savez que le sport, c'est la santé.
17:37 Mais au-delà du sport, il y a aussi la valeur de solidarité, d'entraide,
17:43 d'avoir des amis avec qui partager des moments de joie.
17:47 Il est conseillé à tout un chacun de pratiquer une activité sportive au moins trois fois dans la semaine.
17:54 Bon, on n'a pas toujours le temps de pouvoir le faire dans la semaine.
17:58 Nous, on se retrouve pratiquement tous les samedis pour pratiquer le maracana.
18:05 C'est un sport que nous, depuis petit, nous pratiquions.
18:10 À travers le maracana, en même temps, on pratique le sport pour la santé.
18:18 Créé en 1987, l'association regroupe quelques anciennes gloires du football ivoirien.
18:24 L'organisation envisage de s'inscrire à la Fédération Ivoirienne du Maracana et de discipline de associé FIMADA.
18:32 Hors de chez nous, la deuxième étape du Tour du Fasso, c'est de Nuiers, samedi,
18:37 le 28 octobre, entre le village de Niorida et la ville de Ziniare.
18:42 C'est 1 700 km de Sanssouri au Burkina Bépole d'Oman, Salif Ouattara, Marna Békona.
18:50 2h2545, c'est le chrono de Paul Domo sur l'axe Niorida-Ziniare.
18:57 Avec 8 secondes d'écart sur les leaders du peloton, le coureur Burkina Bépole affiche les ambitions de son pays
19:03 et conserve ainsi le maillot jaune de leader à l'issue de cette deuxième étape.
19:07 Ne pas se faire piéger, ne pas avoir à dépenser trop d'énergie,
19:11 parce qu'on a pris le maillot assez tôt, donc il va falloir être intelligent et jouer sur le collectif.
19:16 8e sur la première étape, le capitaine des éléphants cyclistes Abou Sanogo conserve son ranking au général.
19:23 Victime d'un grand isolement dans le peloton de tête, 52 secondes l'éloignent désormais du maillot jaune des leaders.
19:30 Ce dimanche 29 octobre 2023, c'est au tour de la capitale Ouagadougou d'accueillir la caravane du Tour du Fasso,
19:37 un circuit fermé de 140 km dont l'arrivée sera jugée sur le boulevard Thomas Sankara.
19:44 De retour à la table des négociations en Arabie Saoudite, les généraux soudanais en guerre tentent de gagner des points sur le terrain militaire
19:52 en concentrant leurs efforts sur Niala, la deuxième ville du pays au cœur du Dafour.
19:58 Et puis nous terminons ce temps d'information au Hamas qui a fait ça ce dimanche,
20:04 de violents combats en cours entre ces combattants et les forces israéliennes dans le nord de la bande de Gaza
20:11 où l'armée israélienne mène des incursions terrestres depuis vendredi soir.
20:16 Merci de nous avoir suivis. Bonne suite au programme sur RT2, la chaîne toujours plus proche des populations.
20:23 [Musique]