"Le petit apéritif qui t'a aidé à mourir" : Gérard Klein se livre comme jamais sur son père René

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"Le petit apéritif qui t'a aidé à mourir" : Gérard Klein se livre comme jamais sur son père René

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Transcription
00:00 Dans son livre Gérard rêve encore, d'or est déjà disponible et que tel est loisir a pu lire, Gérard Klein ce livre notamment sur son père René, disparu il y a de nombreuses années maintenant.
00:22 Des confidences très rares, comme il le dit lui même.
00:29 Cist un livre, mêlant texte, parfois en rimes, et illustration, qui permettra notamment aux petits enfants de Gérard Klein de mieux connaître leur famille.
00:41 Celui qui a vécu une véritable métamorphose publie ainsi Gérard rêve encore sur son site officiel, 80 pages pour 80 ans, dans lequel il revient sur son rôle inespéré de Viktor Novak dans Linsky, non sans tacler ce personnage qui a fait son succès, sur les voyages qui ont marqué sa vie mais aussi sur René, son père disparu il y a plusieurs décennies maintenant.
01:06 « Si est-il la première fois que je parle de toi qu'on va te regarder comme un acteur j'ai fait le métier que tu aurais aimé faire, si est-il sûr, écrit celui qui était revenu sur ces périodes d'excès aux côtés d'un cliché en noir et blanc de son père en costume.
01:23 Si est-il la première fois que je parle de toi et qu'on va te regarder comme un acteur.
01:32 . Jusqu'à mes 15 ans, on était ensemble et puis la pension, l'armée et Paris nous ont séparés.
01:40 Mais les souvenirs, aussi bien matériels qu'immatériels, persistent, rougent les paquets de palmol qui venaient des États-Unis.
01:50 C'était marqué sur la petite bague qui fermait le haut du paquet.
01:57 . Vers les roseaux quand on était sur la barque à la pêche tous les deux et rouge et verte la barque en bois.
02:05 Gérard Klein, pas tendre avec les nouvelles séries sur les profs, revoit aussi en pensée l'établi paternel, son fer à souder mais ombre un très clair, il y avait une ambiance tranquille et je ne t'ai jamais vu en colère.
02:21 Et jaune la couleur du petit apéritif qui t'a aidé à mourir.
02:27 Et toujours avec moi, si est-il un drôle de truc. Sans oublier son parfum, pas vraiment d'eau de cologne mais mélange de tabac, cigarette, bistro.
02:37 Et la nuit, l'odeur petit apéritif qui t'a aidé à mourir, ajoute-t-il à nouveau.
02:47 Le père de quatre filles continue, je suis bien plus âgé que tu ne le seras jamais mais t'es toujours avec moi, si est-il un drôle de truc. Et puis j'ai cette photo, la seule.
02:58 T'étais plus marrant que t'aies n'a l'air. Et l'acteur de saluer la mémoire d'un joyeux fêtard qui aimait la rigolade, les moteurs de voiture américaine et les bons petits plats.
03:10 A lire aussi après 12 années passé à côté de toi.
03:17 Ce tacle de Gérard Klein à son personnage culte de Viktor Novak dans l'Institut.
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04:16 Bye !

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