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Jordan Bardella, le président du groupe Rassemblement national, était l’invité du Face à Face ce jeudi sur BFMTV et RMC.

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Transcription
00:00 Mayotte est en train de vivre une véritable descente aux enfers.
00:03 Il y a là-bas des bus scolaires qui sont attaqués par des bandes de jeunes comoriens à la machette.
00:08 Il y a des enfants qui sont tailladés.
00:10 On organise des couvre-feux pour protéger la population.
00:13 C'est notre futur en métropole en matière d'immigration si on ne reprend pas dès maintenant le contrôle.
00:17 Et je note encore une fois qu'en la matière, il n'y a que le Rassemblement National qui propose de reprendre le contrôle.
00:22 Honnêtement, on ne peut pas dire tout ça sans s'y arrêter un instant.
00:24 Je vous dis que c'est notre futur en métropole.
00:26 En gros, le tableau que vous nous décrivez de Mayotte, que personne ne nie, le gouvernement lui-même dit que c'est une catastrophe.
00:32 Et c'est pour ça qu'ils ont lancé cette opération qui a commencé hier.
00:37 Qui, du point de vue de la question de l'expulsion d'un certain nombre de personnes qui ne sont pas censées rester à Mayotte,
00:44 est en effet au point mort.
00:45 Trois expulsions sur les 50 000 clandestins.
00:48 Je veux dire, il y a 50 000 clandestins à Mayotte.
00:50 Le ministre de l'Intérieur qui nous a vendu la reprise en main du territoire de Mayotte n'a été en capacité que de discuter.
00:55 Il y a trois personnes au moment où on parle dans le centre de rétention.
01:02 L'île des Comores a refusé que les bateaux français accostent.
01:07 La France est humiliée par un archipel de 800 000 personnes.
01:11 La France, sixième puissance mondiale.

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