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00:00 -Ah là, ça va.
00:02 -Tout va bien avec monsieur Pascal Praud,
00:05 leur des pros.
00:06 C'est vraiment extraordinaire,
00:08 vous êtes incroyable dans cette émission.
00:11 Je vous souhaite de vous prendre pas mal le nez avec Pascal.
00:14 -Oui, mais parce que c'est une émission,
00:16 vous l'aurez remarqué, Jordan,
00:18 où on a non seulement le droit, mais le devoir,
00:21 de dire ce qu'on pense.
00:23 Et il est évident que, sur certains points,
00:26 avec Pascal, je ne suis pas totalement d'accord,
00:29 et je dirais que c'est un bonheur,
00:32 dans l'amitié, de pouvoir contredire l'autre,
00:36 mais en restant courtois.
00:38 -Vous parlez d'amitié avec Pascal Praud.
00:42 C'est un ami ?
00:43 -Je, peut-être, n'admettrais-t-il pas
00:46 cette appréciation que je porte sur notre rapport,
00:49 mais je le connais maintenant depuis tellement de temps,
00:52 j'ai pu discuter avec lui,
00:55 je participe à deux de ses émissions,
00:57 j'ose dire que ça crée plus que des liens
01:00 purement médiatiques, c'est clair.
01:02 -Est-ce que, des fois, ça part vraiment loin,
01:05 en coulisses, Philippe Bilger ?
01:06 Dès que l'antenne s'arrête, vous redescendez.
01:09 -Bien sûr. -On a du mal à s'imaginer ça.
01:12 Vous faites les choux gras des journaux,
01:14 quand on voit Philippe Bilger énervé contre Pascal Praud.
01:18 On le sent dans tous ses états.
01:21 -Ce n'est pas... Chez nous, ce n'est pas un jeu.
01:24 Je veux dire, lorsque, dans l'émission,
01:26 nous sommes en désaccord, c'est clair,
01:29 j'approuve aussi très souvent ce qu'il dit,
01:32 et lorsque l'émission est terminée, évidemment,
01:35 il n'y a pas l'ombre d'un problème, d'une rancune.
01:39 J'aime énormément ces émissions où, précisément,
01:43 on a le droit de tout dire, parce qu'après,
01:45 il n'y aura pas la moindre animosité.

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